face à l’île Maire (et à tout ce qui m’entoure)
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_ciels
Articles
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Marseille | sud, sud-ouest
28 janvier 2016, par arnaud maïsetti -
contredire le soleil du solstice
24 décembre 2017, par arnaud maïsetti24 décembre
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et au soleil et toujours
4 juin 2018, par arnaud maïsetti4 juin 2018
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premiers feux
2 janvier 2011, par arnaud maïsettilumières d’aube
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il peut arriver que l’on s’impatiente un peu (zone de silence)
25 janvier 2014, par arnaud maïsettiDes cent quarante-huit images prises dans la journée, je ne parviens à en déposer aucune ici. Toujours des forces entre soi et le monde résistent, surtout quand ces forces sont le monde lui-même : s’y soumettre.
Je n’ai pas la patience d’attendre ce soir (ni la force de veiller davantage) — si je ne connais pas le mot qui dirait le contraire de l’attente, je sais la valeur de l’impatience.
Plus tard, peut-être.
Plus tard, je déposerai les images que j’ai arrachées au trajet de train, quand au matin (...) -
puis la lumière du feu impérissable
27 avril 2020, par arnaud maïsetti27 avril 2020
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La Ville écrite | regarde le ciel
24 octobre 2011, par arnaud maïsettiJ’obéis aux ordres – sur le théâtre d’opérations,
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foules du présent, images de ces jours
30 juillet 2016, par arnaud maïsettiUne foule immense, compacte, silencieuse, s’était levée, peut-être un matin, un soir : on ne savait pas. Quand on passait auprès d’elle, on cherchait à y tirer une leçon : il n’y en avait pas. C’était peut-être cela, la leçon : foule qui était, de ces semaines, l’image parfaite, terrible et calme sous le jour. Immense, compacte, et silencieuse, et qui ne réclamait rien que d’être ici, foule sous le jour, commune appartenance au désir de commune.
De loin, on avait l’impression que la foule regardait d’un (...) -
de son ombre
4 septembre 2013, par arnaud maïsettije vois des spectres nouveaux roulant à travers l’épaisse et éternelle fumée de charbon, − notre ombre des bois, notre nuit d’été ! − Rimb., Ville
et on ne saute pas au-dessus de son ombre, -
couleur passée des jours
26 mars 2020, par arnaud maïsetti26 mars 2020
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comment je pourrais le dire (ainsi)
11 mai 2013, par arnaud maïsetticomment le ciel, et le jour ensemble, et comment marcher quand la ville partout est levée devant soi de murs de verre, comment dire le verre quand il n’est plus qu’un mur et le mur quand on le rêve de terre et qu’on y plongerai les pas pour en marcher la durée : comment ; comment aller jusqu’à l’endroit où faire la chaîne pour dire nous faisons la chaîne et ici nous disons à qui je tiens la main et dans la main de qui je suis tenu, comment quand il faudrait ici lire chaque pont pour vérifier son nom et (...)
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La Ciotat & Cadolive | Sur les hauteurs
21 novembre 2017, par arnaud maïsettiprendre le vent
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en attendant le bateau (folie des assauts)
26 août 2013, par arnaud maïsettiIl n’y a que l’eau, les femmes et la mort, qui nous prennent dans notre nudité. Nous changent.
G. Perros
La rentrée comme une grande retraite au large. Dans les regards des gens, je le voyais, c’était aujourd’hui : aujourd’hui qu’on concéderait sa vie à la vie réelle. Me suis assis au même café, au même endroit, à la même table, repris la ligne là où je l’avais laissée hier, l’ai tirée là où je l’ai pu ce soir, là où je la reprendrai demain matin ; j’avais oublié qu’il pouvait faire froid.
Entendu, à la (...) -
XI.
24 septembre 2004, par arnaud maïsettiil s’agit maintenant
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la seule souffrance que tu puisses éviter
13 avril 2020, par arnaud maïsetti13 avril 2020
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VIDÉO | Marche
2 juillet 2017, par arnaud maïsettidans la folie de la lumière
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à l’envers du monde
25 novembre 2015, par arnaud maïsettidu train comme allégorie
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Respiration #2 | au bord
21 juin 2017, par arnaud maïsettiMarseille, Pointe Rouge
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entre deux éclats
4 octobre 2013, par arnaud maïsettiimages du ciel d’orage
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des lieux comme des secrets
20 juin 2017, par arnaud maïsetti20 juin 2017