vingt sept images du jour tombé
hiver 14
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_ciels
Articles
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Aix | le pont au pli du jour
17 mars 2014, par arnaud maïsetti -
peut-être les regards des combattants me cherchent-ils à travers l’obscurité de la forêt
2 mai 2020, par arnaud maïsetti2 mai 2020
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Prado | le ciel vu de la mer (et le vent)
5 février 2017, par arnaud maïsettitreize fois le vent
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d’une semaine l’autre : trains, correspondances et autres départs
16 octobre 2017, par arnaud maïsettiIl fallait à Persée pour poursuivre les monstres une capuche de nuages. Cette capuche nous nous la sommes tirée sur les yeux et les oreilles, pour pouvoir faire comme si les monstres n’existaient pas. [/Karl Marx, « Préface à la première édition allemande », dans Le Capital./] The Clash, « Train In Vain » (The London Calling, 1979)
D’une semaine l’autre, rien qu’un passage qui voudrait seulement trouver les endroits de passage plus denses et rapides, ceux qui conduisent d’ici à là-bas – (…) -
au mois de juin (mais voilà, à la fin)
1er juin 2013, par arnaud maïsettiOr, n’est-ce pas joyeux de voir, au mois de juin Dans les granges entrer des voitures de foin Énormes ? De sentir l’odeur de ce qui pousse, Des vergers quand il pleut un peu, de l’herbe rousse ?
A. R.
Tout ce mois sur les routes, et finalement je n’ai pas cessé d’être sur le retour, comme si je n’avais finalement fait que revenir – et je suis revenu ; je n’étais pas parti, je ne partirai pas, ce n’était pourtant pas faute de. À la fin du mois de mai, c’est toujours avril, mars, toujours (…) -
pensées en remontant rue Tolbiac (dans la broussaille des flancs le bonheur)
19 avril 2013, par arnaud maïsettij’ai pensé à ce texte que j’écrirai en rentrant, pendant que je remontais la rue vers la chambre, immédiatement, et je l’ai vu défiler mentalement devant moi avec la précision définitive des textes qu’on lit dans les rêves, j’ai pensé qu’il ne me faudrait que penser à cette pensée, une fois rentré, pour en finir avec cette pensée, et que cela serait bien, que cela serait enfin bien, et immédiatement après j’ai pensé, parce que j’ai croisé le regard d’un vieil homme qui sans doute avait (…)
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Le ballet du feu
7 septembre 2016, par arnaud maïsettichorégraphie des Canadairs sur Marseille
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Pointe Rouge | ce qui dore, le soir
3 septembre 2016, par arnaud maïsettiAlain Bashung, Je me dore (Tournée des Grands Espaces, 2004) [/Jamais le soleil ne voit l’ombre. Léonard de Vinci /]
Et veille sur nous. Sur l’ennui terrible de ces jours avant la tempête, ou avant la nudité des branches. Avant les luttes qui recommenceront, et avant le sommeil qui viendra bien assez tôt. Avant les drames, après ce qui nous reste de joie. Veille sur nous depuis ce qui tremble sous le vent : le mot de canopée, celui de cime, d’adombrement du ciel par l’ombre elle-même. Tous (…) -
les nuages (qui passent... là-bas)
25 août 2010, par arnaud maïsetticiels sur fond de nuages
été 10 -
Détruire le ciel
26 mai 2019, par arnaud maïsettiimpossibilité des corneilles
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comme du commencement du monde à l’autre bout
9 janvier 2018, par arnaud maïsetti9 janvier 2018
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l’existence du terrible dans chaque parcelle de l’air
29 janvier 2017, par arnaud maïsetti29 janvier 2017
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connexions déconnexions
21 août 2017, par arnaud maïsetti21 août 2017
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je ne puis triompher qu’en rêve
4 mai 2020, par arnaud maïsetti04 mai 2020
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premiers feux
2 janvier 2011, par arnaud maïsettilumières d’aube
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des lieux comme des secrets
20 juin 2017, par arnaud maïsetti20 juin 2017
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derniers feux, premières vagues
3 janvier 2018, par arnaud maïsetti2 janvier 2018
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en restant vivant (ma place sous le ciel)
8 août 2013, par arnaud maïsettiIl suffit, à trente ans, de penser qu’on aurait pu mourir à quinze ans, et de voir ce qu’on a perdu, gagné, en restant vivant, pour trouver ridicule tout effroi de la mort.
G. Perros, Papiers Collés
Que le passé est comme le malheur, qu’il est partout. (Ce n’était pas cela, la phrase, entendue au réveil, est-ce dans le rêve, ailleurs ?)
Toute la journée d’hier, complètement accablé de fatigue – première fois depuis des années : dormir avant la nuit, de pur épuisement. Se réveiller (…) -
Vietnam #3 | dans les hauteurs des Hmongs
30 octobre 2015, par arnaud maïsettile 7 octobre
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à l’envers du monde
25 novembre 2015, par arnaud maïsettidu train comme allégorie