l’Histoire et son Poème
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_histoires & Histoire
Articles
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Les villes qui n’existent pas | Troie
27 août 2017, par arnaud maïsetti -
Pierre Michon, l’assomption d’un nom mémorable
24 janvier 2014, par arnaud maïsettiCommunication au colloque à l’Université d’Amsterdam sur « le retour à la narration », organisée par Sabine Van Wesemael et Suze Van der Poll, janvier 2014.
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Nadia Tueni | « Crois-tu que la terre s’habitue à tourner ? »
3 décembre 2013, par arnaud maïsettic’est le bruit du jour sur le pavé
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Les villes qui n’existent pas | Tombouctou
23 septembre 2017, par arnaud maïsettila terre, l’or, la boue et la cendre
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Images du pouvoir | occuper la parole
22 février 2011, par arnaud maïsettiDiscours de Kadhafi, Libye
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à entendre | journée d’études Théâtre et Histoire : enjeux contemporains
5 mars 2012, par arnaud maïsettiMardi 6 mars 2012 : séminaire Imag’His Théâtre et Histoire : enjeux contemporains Dans le cadre du laboratoire de recherche Imag’his, j’organise avec Barbara Métais-Chastanier de Agôn une journée d’étude à l’ENS LYON sur les enjeux contemporains du théâtre avec la question du théâtre.
Ci-dessus, présentation de la journée et programme. En collaboration avec Agôn, le Labo Imag’his propose de consacrer une journée d’études à la question des liens entre histoire et représentations théâtrales, et plus (...) -
Ossip Mandelstam | « Acquérir une langue »
17 février 2014, par arnaud maïsettile bégaiement de la naissance
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« Tout ce qui ne se voit pas » | 100 monuments 100 écrivains
20 décembre 2009, par arnaud maïsettiaux éditions du Patrimoine
décembre 2009 -
les présages du possible
30 août 2018, par arnaud maïsetti30 août 2018
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au milieu des ruines
25 mars 2016, par arnaud maïsettiLes jours tombent de plus en plus lourdement dans le fracas des armes. On est au milieu, on passe entre eux comme on enjambe des ruines ou des corps. Les gares et les aéroports, les métros ou les rues sont le décor des catastrophes : au lieu des départs, des circulations et des passages, dans le cœur des villes, on dresse des hôpitaux de campagne, sirènes hurlantes et pas seulement le premier mercredi du mois.
Et puis, dans la vague répétition des horreurs, le sentiment d’une habitude insupportable (...) -
considérant d’ici la situation historique
31 juillet 2017, par arnaud maïsettiEt me voici, prophète à la tempe plus pure que les miroirs, enchaîné par les lueurs de mon histoire, couvert d’amours glaçants, en proie aux fantasmagories de la baguette brisée et demandant que par pitié, d’un seul brillant final, on me ramène à la vie.
André Breton, Poisson soluble (1924) Bob Dylan, Things have changed (2000)
Dans l’incertitude : prendre des forces depuis l’état impermanent des choses. Alors, dans le flux et reflux immobiles des événements, tâcher d’en épouser à la fois le mouvement (...) -
Pecha Kucha | Saint-Just, Vingt fois la terreur (le texte)
20 novembre 2012, par arnaud maïsettitexte et images
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le sommeil d’amour dure encore
21 juin 2020, par arnaud maïsetti21 juin
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Saint-Just | Anthologie française
21 novembre 2017, par arnaud maïsettiune émission Radio France
9 mai 1958 -
veillées d’armes
2 mars 2010, par arnaud maïsettiÉprouver combien le corps résiste, dans la fatigue à venir, celle qui se prépare nécessairement cette semaine de moindre vent, mais de plus grandes secousses en moi : les rendez-vous qu’on prend avec une part de nous même, au futur : comment se promettre qu’on ne les manquera pas.
Dans ces jours de veille, avant, juste avant de se défaire dans les nuits d’après : lignes qui se croisent et finiront par se rejoindre, on le sait — jours de veillées d’armes, où on fait le tour du champ de bataille avant (...) -
le temps propre (anachronisme parfait de Saint-Just)
7 novembre 2013, par arnaud maïsettiQue le temps n’existe pas – c’est ce que j’apprends ce soir en écoutant le type, attendant l’explication qu’il repoussera sans cesse, disant qu’il n’a pas le temps, que c’est trop compliqué : alors je reste là, dans ce début de la nuit déjà bien épuisée, et avec elle tout aussi épuisé, attendant que le temps qui n’existe pas m’emporte, comme un croyant sur les ruines d’un temple qui prierait le cadavre d’un dieu qu’il avait bâti de toutes pièces, et que les ennemis venus de l’autre côté de la frontière ont (...)
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Innocences des Kirghiz
9 avril 2010, par arnaud maïsettigeste soufflé — révolte désœuvrée
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apprendre à dire malesh
18 décembre 2017, par arnaud maïsetti18 décembre 2017
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Michel Slomka | Sinjar, Naissance des fantômes
1er octobre 2017, par arnaud maïsettil’histoire des peuples qui nous hantent
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Par où on s’évase_
Louis Imbert
4 juin 2010, par arnaud maïsettiLe dehors est en bloc. Je suis là-dedans et je cherche fissures. Il est très difficile d’en sortir. Par exemple, il y a le goût de poussière de tous ces légumes en boîte. Il y a la poussière le soir dans les rues et le plaisir à voir les premières fenêtres s’allumer sur les collines, qui paraissent extrêmement proches. Il y a la nuit et les roses aux jardins de Babur - le souvenir de ceux d’Ibn Battuta, j’ai compris physiquement pourquoi il est si important pour lui de les évoquer à chaque entrée dans une (...)