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_murs
Articles
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La Ville écrite | entrée des artistes
18 décembre 2018, par arnaud maïsetti -
La Ville écrite | celles qui
5 août 2016, par arnaud maïsettià nos cauchemars
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La Ville écrite | faire
9 août 2016, par arnaud maïsettimais quoi
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La Ville écrite | les chats sont l’opium du peuple
21 février 2016, par arnaud maïsettitransaction réalisée par
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La Ville écrite | réponses
21 juin 2017, par arnaud maïsettifaire entendre
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Réservé à l’affichage électoral | astres morts
18 juin 2017, par arnaud maïsettiNos ombres mortes de la veille
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Marseille, de Noailles à La Plaine | et je regarde tomber la pluie
7 mars 2019, par arnaud maïsettiEffondrements
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dans les espaces vides de la ville
13 juillet 2014, par arnaud maïsettiles espaces vides de la ville — dans les arènes, les cris montent, les animaux hurlent à la mort la mort qu’ils veulent donner sans savoir qu’ils chantent déjà la mort qu’on va leur donner, pour la gratuité du don, la beauté du geste, le sang, le cri du sang quand il va tomber ici, le sable étranglé sous les pas des combattants, les types partout autour qui continuent de pousser les hurlements depuis deux mille ans dans cette arène vide où ce jour de juillet, de pluie, de brume d’automne, je traverse (...)
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La Ville écrite | à l’éducation
4 janvier 2016, par arnaud maïsettinon
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ne serait-ce qu’implorer son rêve,
22 avril 2020, par arnaud maïsetti22 avril 2020
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se regarder comme quelque chose d’étranger
20 avril 2020, par arnaud maïsetti20 avril 2020
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Marseille est une ville impossible
8 janvier 2016, par arnaud maïsettiMarseille est une ville impossible. Ils lèvent cette ville comme du ciel. Par pelletées de nuages et en écrivant sur tous les murs des lettres dans le désordre. La mer touche un peu de la montagne, ou est-ce l’inverse ? Il y a des routes qui longent des routes, et plusieurs centres que rien ne relie. Il y a ce type près d’ici, tout près de l’endroit où je prendrai l’image de cette grue par-dessus l’arbre qui retient les dernières feuilles de l’automne, au cœur de l’hiver, ce type qui dort par terre et (...)
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La Ville écrite | mon nom, sous le pont
29 avril 2013, par arnaud maïsettidreemeur
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Paris dans Hanoi le soir
9 octobre 2017, par arnaud maïsettiPeut-être me direz-vous : « Es-tu sûr que cette légende soit la vraie ? » Qu’importe ce que peut être la réalité placée hors de moi, si elle m’a aidé à vivre, à sentir que je suis et ce que je suis ? Baudelaire, « Les fenêtres », Petits poèmes en prose, 1869.
Angel Olsen, « Windows », (Burn Your Fire for No Witness, 2014
Paris : en coup de vent, comme on dit. D’une ville à l’autre, je perds dix degrés et le mistral. Ici, c’est de nouveau les grandes rues larges, la noirceur rapide des choses, les cafés (...) -
pour nous, dans la nuit [Avignon #1]
11 juillet 2018, par arnaud maïsettiNous n’avons ici, dit-elle, qu’un soleil par mois, et pour peu de temps. On se frotte les yeux des jours en avance. Mais en vain. Temps inexorable. Soleil n’arrive qu’en son heure. Ensuite on a un monde de choses à faire, tant qu’il y a de la clarté, si bien qu’on a à peine le temps de se regarder un peu. La contrariété, pour nous, dans la nuit, c’est quand il faut travailler, et il le faut.
H. Michaux, Je vous écris d’un pays lointain
Plein ciel sur Avignon de nouveau – au pied de l’été donc, comme (...) -
Les villes qui n’existent pas | Paris, rue Beauregard
28 décembre 2018, par arnaud maïsettisous la ville, la ville
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Rimbaud | Ici je rêve de
12 février 2012, par arnaud maïsettiSur le mot rêve dans Illuminations
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Saint-Thomas
5 avril 2010, par arnaud maïsettiDes murs, je traque les visages, les peaux mortes, les mouvements de sédimentation des villes — les expressions possibles d’une durée arrêtée ; et plus loin, emmenée.
Comme des entrailles, ces murs ouverts : j’ai le geste de Thomas — fouiller la plaie avec mes doigts, toucher la preuve de la vie après la mort : vérifier, de mes yeux vérifier : demeures saignantes des projets arrêtés.
Murs aux multiples épaisseurs : de la peau rongée jusqu’aux nerfs, grattée à l’os quand la douleur est trop forte pour (...) -
[ La ville écrite, un projet ]
29 octobre 2013, par arnaud maïsettile projet, pourquoi & comment
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Marseille Belle de Mai | les murs de cette ville
3 décembre 2014, par arnaud maïsettides mots qui ne sont pas prononçables, pas lisibles — et on lirait sur eux autre chose ; seulement des coups qu’on porterait au visage de ce qui n’en a pas ; des phrases sans point sans majuscule sans verbe sans forme possible donnée au sens ; et des appels ; des signes sur les parois d’une ville — et déjà entendre ceux qui hurlent les yeux crevés devant ce qui formule la fin d’une civilisation : ne voient pas que se dresse là quelque chose qui relève d’un plan secret pour en inventer une autre — ; des (...)