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_musiques
Articles
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J.P Nataf | Les lacets
4 décembre 2013, par arnaud maïsetti -
jusqu’où la mer échoue
25 septembre 2015, par arnaud maïsettiLa mer ne se retire pas, ici. Elle ne vient pas non plus. Quand elle bat, c’est sur elle-même. Leçon qu’il faut prendre. Dans les insomnies, penser à la mer réveille. Penser au ciel aussi, comme penser à tout ce qui s’échappe de soi entre la mer et le ciel.
Tout réveille, et il faut garder la veille comme le sommeil : à poings fermés, comme une colère contre soi. Journal intérieur de ces nuits tenu en silence.
Reprendre la clarinette. Apprendre à écouter de nouveau son propre souffle. Percevoir que le (...) -
d’aller au-devant (pensées contre les dépôts de bilan)
26 décembre 2013, par arnaud maïsettiDans les boucles de la musique, la voix ne cesse de dire les mêmes mots, ce ne sont pas les mêmes pourtant (To sleep is not even an option, Then I could use a little action, If you dare appear once more, If you dare appear once more), dans ces boucles je passerai le reste de la journée et tant pis si le jour tombe, moi non.
Je pourrais bien faire comme si c’étaient des jours comme les autres — autour c’est le temps mort des fins d’année où rien ne peut commencer, où tout attend que le temps (...) -
Koltès | « Le triomphe du bongo »
2 novembre 2011, par arnaud maïsettiDernière page de Prologue
1986 -
dans le silence d’écrire
26 juin 2016, par arnaud maïsettiIl n’y a de composition que musicale
Duras
Il faut imaginer la chaleur : insupportable et pesante. Pour rentrer d’Aix vers Marseille, c’est presque trente minutes ; mais à cette heure, il faut parfois plus d’une heure – quand il n’y a pas d’accident à l’entrée de la ville : une fois par semaine, à l’entrée de la ville, ce n’est pas rare –, et le bus est plein, et la lumière aveuglante.
Je m’assois à l’avant, l’homme à la fenêtre semble jeune, plus jeune que moi peut-être ; je ne sais pas. Il gardera le (...) -
Michel Lambert | Par mes chants
5 décembre 2015, par arnaud maïsettiMille six cent quatre-vingt neuf
(et merci à Jéremie Scheidler) Par mes chants tristes & touchants (tristes et touchants), Vous connaissez Iris la douleur (la douleur) qui me presse ; Par mes chants tristes & touchants (tristes et touchants), Vous connaissez Iris la douleur (la douleur) qui me presse ; Mes ennuis sont cruels, rien ne peut les bannir, Et je ne chante pas pour charmer ma tristesse, Mais plutôt pour l’entretenir. Mais plutôt pour l’entretenir. Mes ennuis sont cruels, rien (...) -
La Bohemia-Electronica | Par les lumières inouïes
5 février 2015, par arnaud maïsettiMarseille, Friche Belle de Mai, février 2015
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Felt_KMS
3 décembre 2010, par arnaud maïsettiAll The People I Like Are Those That Are Dead(Felt, ’Forever Breathes The Lonely Word’, 1986) Sur la pochette il est coupé en deux, comme déchiré entre deux existences. Un peu flou.
La première fois, c’est Lloyd Cole qui revient en souvenir inoffensif. La K7 gagnée à un concours d’une radio fm, il fallait répondre aux questions sur minitel, une k7 de Lloyd Cole and the Commotions on était en 1986. Rattlesnake.
1986, l’année de sortie de ’Forever breathes the lonely world’. Monde parallèle. Dimension (...) -
Lost in the Trees | Excos
16 juin 2014, par arnaud maïsettidispersion des cendres
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Marika Hackman | Cigarette
19 avril 2019, par arnaud maïsettiune dernière