dans la folie de la lumière
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_routes & chemins
Articles
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VIDÉO | Marche
2 juillet 2017, par arnaud maïsetti -
au lendemain de revenir
19 octobre 2015, par arnaud maïsettiÀ la veille de ne jamais partir du moins n’est-il besoin de faire sa valise ou de jeter des plans sur le papier, avec tout le cortège involontaire des oublis pour le départ encore disponible du lendemain.
F. Pessoa, Poésies d’Alvaro de Campos, Traduit du portuguais par Armand Guibert Partir. Dix jours loin, très loin. Le jour et la nuit renversés, la chaleur, les visages, les langues qui se crient, les rêves endormis, et la fatigue qui emporte, des villes inouïes, le sentiment d’avoir tout laissé (...) -
[ phrases ] #3 — rêves de cendre
8 octobre 2011, par arnaud maïsettiÀ chaque carte retournée : toujours l’envers — le tarot ne ment pas, surtout quand il est divinatoire ; je suis seul dans ma chambre – je ne la connais pas, ne l’ai jamais vue, sûr cependant que c’est la mienne : il n’y a aucune photo, ni fenêtre, ni bureau, un seul lit minuscule, et une lumière qui vient du plafond haut : oui, c’est bien ma chambre –, et je tire les cartes, je sais la question que je leur pose (mais je l’ai oubliée au réveil), et les quatre cartes sont posées devant moi, face contre (...)
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Layla | reprise à la Loge, Paris
9 octobre 2017, par arnaud maïsettila route qui continue
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je marche (interminablement)
16 février 2012, par arnaud maïsettiLA SOIF
J’appelle l’éboulement (Dans sa clarté tu es nue) Et la dislocation du livre Parmi l’arrachement des pierres.
Je dors pour que le sang qui manque à ton supplice, Lutte avec les arômes, les genêts, le torrent De ma montagne ennemie.
Je marche interminablement.
Je marche pour altérer quelque chose de pur, Cet oiseau aveugle à mon poing Ou ce trop clair visage entrevu A distance d’un jet de pierres.
J’écris pour enfouir mon or, Pour fermer tes yeux.
L’épervier, (...) -
enjambe le ciel
8 octobre 2019, par arnaud maïsetti8 octobre 2019
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Vietnam #2 | Vers Sa Pa
26 octobre 2015, par arnaud maïsettile 6 octobre
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Dans la désolation
18 octobre 2011, par arnaud maïsetti(dé-zo-la-sion ; en vers, de cinq syllabes) s. f.
1° Action de désoler ; résultat de cette action. Il mit en désolation le sanctuaire, PASCAL, Proph. 26.
… avancer dans la désolation, comme on fait le tour du propriétaire d’un lieu possédé par toutes mes vies passées…
En regardant de loin fumer leurs villes et leurs maisons réduites en cendre, ils pleuraient la mort de leurs proches et la désolation de leur pays, FLÉCH. Hist. de Théodose, I, 32.
… marcher dans la désolation et reconnaître chaque (...) -
Hurlements en faveur de soi [# 2]
4 décembre 2011, par arnaud maïsettiVingt-sept variations : violence ; corps ; désir
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La Route, récit [#2]
21 mars 2012, par arnaud maïsettij’ai des souvenirs
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La Route, récit [#1]
27 février 2012, par arnaud maïsettisur la route encore
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Bob Dylan | Discours du Nobel
2 avril 2017, par arnaud maïsettiimprononçable
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Québec | Montréal, route
24 juillet 2012, par arnaud maïsetti61 images - entre Québec et Montréal
printemps 12 -
Montréal | ville ouverte #1
13 mai 2012, par arnaud maïsettiMonde neuf
printemps 12 -
une traversée | jusqu’ici
1er octobre 2013, par arnaud maïsettiparis - aix (via versailles)
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Maroc | Erg Le Chabby
27 avril 2012, par arnaud maïsettisans peines
printemps 12 -
España #1 | Barcelona [1]
12 novembre 2014, par arnaud maïsettile geste de la main
automne 14 -
pas même la pluie
10 janvier 2011, par arnaud maïsettiLonesome Road Blues (Old Crow Medicine Show) Il passe de l’eau sur son visage Et la laisse sécher L’eau se relève comme un voile léger Comme un visage qui disparaît fragment après fragment
Que d’absence
Abbas Beydoun (Tombe de verre, trad. Bernard Noël, 2007)
Je me retournerais bien, si j’avais le corps pour cela, et ce que je verrais de la route dessinée par mes pas aura comme le tracé donné par un homme jeune encore, qui ne sait pas son âge, et qui se perd, et qui ouvre les yeux.
Maintenant je (...) -
Bertrand Cantat | Amor fati
29 décembre 2017, par arnaud maïsettija sagen
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Que ma joie demeure | « Mais le désir est le désir »
14 mars 2013, par arnaud maïsettiLecture linéaire d’un livre de grand chemin (« pour que demeure la joie au-delà de la joie toujours ») Il tournait le dos à la forêt.
Et puis la vie, la vie et la vie. Pas malheureux, pas heureux, la vie. Des fois il se disait… Mais tout de suite, au même moment, il voyait le plateau, et le ciel couché sur tout et loi, là-bas loin à travers les arbres, la respiration bleue des vallées profondes, et loin autour il imaginait le monde rouant comme un paon, avec ses mers, ses rivières, ses fleuves et ses (...)