coucher de soleils sur Pélissanne
Accueil > Mots-clés > _Écrire > _ciels
_ciels
Articles
-
l’or précieux du temps
23 septembre 2013, par arnaud maïsetti -
Détruire le ciel
26 mai 2019, par arnaud maïsettiimpossibilité des corneilles
-
Aix | le pont au pli du jour
17 mars 2014, par arnaud maïsettivingt sept images du jour tombé
hiver 14 -
La Ciotat & Cadolive | Sur les hauteurs
21 novembre 2017, par arnaud maïsettiprendre le vent
-
Wiliam Blake | « Introduction »
26 avril 2020, par arnaud maïsettiécoutez la voix du Barde
-
Aut viam inveniam aut faciam (un trajet)
14 février 2014, par arnaud maïsettiPour me souvenir de ce jour, je n’ai rien d’autre : quelques images prises à la volée du ciel, en passant vite entre deux portes, deux heures, deux moments où la ville s’ouvre et où je m’engouffre, je crois que c’est cela : une brèche.
Je suis la brèche elle-même, et le mouvement en elle, et la force d’en retenir quelques fragrances, quelques épars dans l’étoilement des choses, la lapidation des regrets, et sur tout cela pèse comme le sentiment de ce qui passe, et ne reviendra plus, et pour cette raison (...) -
Vietnam #3 | dans les hauteurs des Hmongs
30 octobre 2015, par arnaud maïsettile 7 octobre
-
la destinée du Paradis
17 avril 2017, par arnaud maïsetti17 avril
-
VIDÉO | Lune d’ici sous vent du Nord
27 décembre 2017, par arnaud maïsettile bruit des choses qui s’éparpillent
-
la ville est impossible (ciels d’ouest)
13 mars 2014, par arnaud maïsettiÀ l’ouest est une porte, là que les anciens disaient croire la mort et ils y croyaient tant qu’elle tombait sur eux, chaque jour quand le jour descendait.
Je garde pour moi les images des ruines sur lesquelles tombe le ciel, et peut-être le ciel tombe-t-il pour cela, pour elles et pour le sacrifice qu’elles implorent et que le ciel honore.
Dans cette ville, je me suis longtemps demandé pourquoi demeuraient vides le soir ces larges rues commerçantes près de la rotonde, alors qu’il y a tant de (...) -
dans notre propre main la volonté, ce fouet
23 avril 2020, par arnaud maïsetti23 avril 2020
-
a mari usque ad mare (la reliance)
28 janvier 2014, par arnaud maïsettiElle était entièrement nue. Couchée sur le ventre, recouverte de quels rêves ? Le ciel, je sais comment le regarder, d’un seul coup et chercher le soleil pour le contre-jour, l’éblouissement semble ce miracle : ce qui permet de voir est ce qui aveugle, alors je ne reste pas longtemps les yeux plongés dans le soleil ; assez pour éprouver ce moment juste avant la douleur, et m’éloigner. Mais la mer ?
À cette distance la mer est à la fois tout le temps là, c’est le vent ; et si lointaine — la montagne (...) -
le chemin de crête
28 janvier 2020, par arnaud maïsetti28 janvier 2020
-
le cri des plaintes qu’on invente
28 mars 2017, par arnaud maïsettile 28 mars 2017
-
comme le mur sent la pointe du clou qu’on doit enfoncer en lui
6 mai 2020, par arnaud maïsetti6 mai 2020
-
Marcher sur les deux rives d’une rivière est un exercice pénible
5 juillet 2018, par arnaud maïsettiMarcher sur les deux rives d’une rivière.
Marcher sur les deux rives d’une rivière est un exercice pénible. Assez souvent l’on voit ainsi un homme (étudiant en magie) remonter un fleuve, marchant sur l’une et l’autre rive à la fois : fort préoccupé, il ne nous voit pas. Car ce qu’il réalise est délicat et ne souffre aucune distraction. Il se retrouverait bien vite, seul, sur une rive, et quelle honte alors !
Michaux, Au pays de la magie Maude Audet, Galloway Road
Toute cette vie serait décidément une (...) -
les aubes pas encore mortes
1er janvier 2019, par arnaud maïsetti1er janvier 2019
-
feux aux portes de la ville, nuit en plein jour
11 août 2016, par arnaud maïsetti11 août
-
Les villes qui n’existent pas | Atitlán
1er novembre 2017, par arnaud maïsettiun endroit pour vivre jusqu’à y mourir
-
regarde le ciel (et le Mistral tomber)
22 mai 2013, par arnaud maïsettije t’en supplie