à la minute où le soleil se couche, image fixe
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_ciels
Articles
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À l’heure dite, soleils couchés
3 novembre 2011, par arnaud maïsetti -
je ne puis triompher qu’en rêve
4 mai 2020, par arnaud maïsetti04 mai 2020
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devant de plus faibles encore
11 avril 2020, par arnaud maïsetti11 avril 2020
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l’or précieux du temps
23 septembre 2013, par arnaud maïsetticoucher de soleils sur Pélissanne
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silhouettes creusées à la surface de soi
6 novembre 2017, par arnaud maïsetti6 novembre 2017
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quelles forces reste-t-il à l’esprit qui divague
29 avril 2020, par arnaud maïsetti29 avril 2020
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dans la matière réfractaire que je suis
8 mai 2020, par arnaud maïsetti8 mai 2020
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Détruire le ciel
26 mai 2019, par arnaud maïsettiimpossibilité des corneilles
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Respiration #7 | là-bas
19 avril 2020, par arnaud maïsettiMarseille, Grand-Large
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solstice des vies passées, et à venir
21 juin 2016, par arnaud maïsettiLa nostalgie est une structure du temps humain qui fait songer au solstice dans le ciel.
Pascal Quignard, Dernier Royaume, Abîmes
Les Shoshones, les Cheyennes et les Sioux Dakota danseront aujourd’hui tout le jour face au soleil, la peau percée, dans les cris et le sang tombé – le jour le plus long est celui des plus longues douleurs et des plus terribles joies.
Sous Pharaon, devant le gonflement des eaux du Nil ce soir, des paysans par millions prieront genoux à terre le dieu Chacal et, (...) -
d’une saison l’autre, oubli, ravage
22 septembre 2016, par arnaud maïsetti22 septembre
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Autre Savoir | L’univers miscroscopique
3 janvier 2018, par arnaud maïsettiminuscules
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comme du commencement du monde à l’autre bout
9 janvier 2018, par arnaud maïsetti9 janvier 2018
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la crevasse dans le glacier
9 mai 2020, par arnaud maïsetti9 mai 2020
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la déchirure du ciel (ode & cataclysme)
26 novembre 2013, par arnaud maïsettisoudain le ciel percé, mais je ne sais pas, je voudrais que ce soit aussi les nuages qui de ce côté de la vie où nous sommes, percent et déchirent ; alors c’est le cas aussi.
le cri du ciel quand il s’ouvre — et que je me penche, lentement, vers ce qui s’ouvre, comme de boire, mordre mais non pas la poussière, quelque chose qui serait l’envers de la poussière, et sur les tableaux des vanités, l’envers de la poussière est une mèche de cheveux, je crois, laissée libre.
si je prends dix fois la même image, (...) -
derniers feux, premières vagues
3 janvier 2018, par arnaud maïsetti2 janvier 2018
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au mois de juin (mais voilà, à la fin)
1er juin 2013, par arnaud maïsettiOr, n’est-ce pas joyeux de voir, au mois de juin Dans les granges entrer des voitures de foin Énormes ? De sentir l’odeur de ce qui pousse, Des vergers quand il pleut un peu, de l’herbe rousse ?
A. R.
Tout ce mois sur les routes, et finalement je n’ai pas cessé d’être sur le retour, comme si je n’avais finalement fait que revenir – et je suis revenu ; je n’étais pas parti, je ne partirai pas, ce n’était pourtant pas faute de. À la fin du mois de mai, c’est toujours avril, mars, toujours la même pluie (...) -
bien qu’on sache que cela se paye
8 avril 2020, par arnaud maïsetti8 avril 2020
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reprendre pied (et grâce au ciel)
8 septembre 2013, par arnaud maïsettiEl mundo era tan reciente, que muchas cosas carecían de nombre, y para mencionarlas había que señalarlas con el dedo.
Gabriel García Márquez, Cien años de soledad
J’écoute Climbing Up To The Walls doucement. La fenêtre est ouverte, dehors il va pleuvoir, peut-être, j’ai demandé tout à l’heure à quelle vitesse on perçoit le vent, si à quatre-vingt dix on peut rester dehors ou non. Quand j’essaie de regarder autour quelle ville est là, ce n’est pas la même : oui, décidément, il faudrait réussir à reprendre (...) -
Aix | le pont au pli du jour
17 mars 2014, par arnaud maïsettivingt sept images du jour tombé
hiver 14