11 août
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_ciels
Articles
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feux aux portes de la ville, nuit en plein jour
11 août 2016, par arnaud maïsetti -
contredire le soleil du solstice
24 décembre 2017, par arnaud maïsetti24 décembre
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comment respirent le ciel et le sable
6 avril 2014, par arnaud maïsettiLe désert, c’est le vide avec sa poussière. Au cœur de cet univers pulvérisé, dans son absence intolérable, seul le vide conserve sa présence ; non plus comme vide, mais comme respiration du ciel et du sable.
Jabès
si dans cette chair bouleversée qui est pourtant dans la continuité d’une vie singulière, je peux croire encore au ciel (vide), c’est à cause de la route — et du bouleversement à traverser, de la continuité à chercher, de la vie peut-être à inventer, je cherche les signes : elle est dans ma (...) -
Pour quelques lignes de vie (la chair brûlée)
13 août 2013, par arnaud maïsettiPoème. Un homme est mourant. MOURANT. On le transporte à la clinique. On le sauve. Le poème, c’est l’opération.
Georges Perros
Revenir dans la ville, il faut tout réapprendre. D’abord le temps, toujours le temps. L’aube, le midi, le soir (la nuit). Le temps qui recommence, celui qui organise autour l’espace, la ville par exemple. Ici, je peux la voir derrière les arbres, cette église levée mais à peine, qui paraît retomber – je comprends que je suis ici parce que les arbres cachent suffisamment la (...) -
l’or précieux du temps
23 septembre 2013, par arnaud maïsetticoucher de soleils sur Pélissanne
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Détruire le ciel
26 mai, par arnaud maïsettiimpossibilité des corneilles
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ce qui ne marche pas
18 mai 2017, par arnaud maïsetti18 mai 2017
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on se console avec la mer
11 octobre 2016, par arnaud maïsettiLok Gweltaz, Yann Tiersen (Eusa, 2016) Qu’ils descendent du ciel, ou remontent d’un domaine où ils connurent les sirènes et des monstres plus étonnants, à terre les marins habitent des demeures de pierres, des arsenaux, des palais dont la solidité s’oppose à la nervosité, à l’irritabilité féminine des eaux, (dans l’une de ses chansons, le matelot ne dit-il pas : « ... on se console avec la mer » ?) sur des quais chargés de chaînes, de bornes, de bittes d’amarrage où, du plus loin des mers ils se savent (...)
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Marseille | Ce toit tranquille (entre les tombes)
16 février 2014, par arnaud maïsettihiver 14
de la friche, la mer, la ville, la montagne -
Les villes qui n’existent pas | Atitlán
1er novembre 2017, par arnaud maïsettiun endroit pour vivre jusqu’à y mourir