les mots qui manquent
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Articles
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Autre savoir | des mots intraduisibles
2 décembre 2017, par arnaud maïsetti -
C. S. Lewis | « quel visage ont les choses pour une souris ou pour une abeille »
30 décembre 2011, par arnaud maïsettiLa littérature élargit notre être
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disharmonie numérique, ou la vie des ruines
22 janvier 2018, par arnaud maïsetti22 janvier
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Rimbaud | « ce furent des pays noirs »
16 mai 2011, par arnaud maïsetti« Loin des oiseaux, des troupeaux, des villageoises, / Je buvais, accroupi dans quelque bruyère… »
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Aube | L’Arsenal n°5
29 mars 2011, par arnaud maïsettiRevue L’Arsenal
printemps 2011 -
2011 | séance 2_
nous n’avons fait que fuir
3 février 2011, par arnaud maïsettiNous n’avons fait que fuir — nous cogner dans les angles
La voix dite
Lors, du premier cours, avoir pris acte de ce que l’expression prise de parole recouvre, impose, exige : essayer sa langue le plus directement et le plus absolument lâché, sans artifice de fiction, sans appui extérieur — travailler de l’intérieur de la langue, sans prétexte, sans forme a priori de la connaissance. Seulement, simplement, et absolument : la voix dite, prononcée, lâchée, ou pour mieux dire, proférée.
Vers de (...) -
silhouettes creusées à la surface de soi
6 novembre 2017, par arnaud maïsetti6 novembre 2017
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jusqu’où la mer échoue
25 septembre 2015, par arnaud maïsettiLa mer ne se retire pas, ici. Elle ne vient pas non plus. Quand elle bat, c’est sur elle-même. Leçon qu’il faut prendre. Dans les insomnies, penser à la mer réveille. Penser au ciel aussi, comme penser à tout ce qui s’échappe de soi entre la mer et le ciel.
Tout réveille, et il faut garder la veille comme le sommeil : à poings fermés, comme une colère contre soi. Journal intérieur de ces nuits tenu en silence.
Reprendre la clarinette. Apprendre à écouter de nouveau son propre souffle. Percevoir que le (...) -
le nom des arbres : comment je tue le temps
12 mai 2015, par arnaud maïsettiJe n’ai jamais su le nom des arbres, ni des bêtes ni des nuages, ni des vents (sauf deux), ni des formes des colonnes dans les églises anciennes, ni des sept Muses et sont-elles sept, ni des théorèmes de géométrie, ni rien qui pourrait me permettre d’aller au milieu des vivants et me croire tel. Je sais qu’il y a des arbres pourtant, et le vent, je le sais parce que l’arbre tremble tout près, mais tout cela me dépossède davantage de mon propre nom, et l’ombre sous mes pas bascule lentement avec le (...)
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de la surface des choses passées
24 août 2017, par arnaud maïsetti23 août 2017