le bruit des choses qui s’éparpillent
Accueil > Mots-clés > _Auteurs > _Lautréamont
_Lautréamont
Articles
-
VIDÉO | Lune d’ici sous vent du Nord
27 décembre 2017, par arnaud maïsetti -
2010 | Séance 4_Images
18 février 2010, par arnaud maïsettiécriture de l’image — cristallisation, condensation, circulations
-
sur la ligne de crête
5 octobre 2018, par arnaud maïsetti5 octobre 2018
-
les mille rapides ornières de la route humide
3 décembre 2011, par arnaud maïsettiJe jetai, par dessus le parapet, le canif qui m’avait servi à graver les lettres ; et, faisant quelques rapides réflexions sur le caractère du Créateur en enfance, qui devait encore, hélas ! pendant bien de temps, faire souffrir l’humanité (l’éternité est longue), soit par les cruautés exercées, soit par le spectacle ignoble des chancres qu’occasionne un grand vice, je fermai les yeux, comme un homme ivre, à la pensée d’avoir un tel être pour ennemi, et je repris, avec tristesse, mon chemin, à travers les (...)
-
dans la direction de l’inconnu
25 décembre 2019, par arnaud maïsetti24 décembre 2019
-
Il n’y pas si longtemps que j’ai revu la mer et foulé le pont des vaisseaux
31 janvier 2011, par arnaud maïsettiI Swam out to Sea - Return (Max Richter, ’Waltz With Bashir (BO), 2008) Alors les mers soulèvent leurs eaux, engloutissent dans leurs abîmes les planches ; les ouragans, les tremblements de terre renversent les maisons, la perte, les maladies diverses déciment les familles priantes. Mais, les hommes ne s’en aperçoivent pas.
De ce qui vient et revient à même hauteur, du jour, cette lumière qui passe la fenêtre pour me montrer mes mains tapant à la surface des touches ce qui saurait dire la hauteur et (...) -
La Pointe Rouge | la course furieuse des chevaux
18 avril 2019, par arnaud maïsettinu dans la mer
-
qu’ai-je fait de la lumière (comme d’un voile)
5 novembre 2013, par arnaud maïsettiLa perception ne transmet à mon ouïe qu’une impression d’une douceur à fondre les nerfs et la pensée ; un assoupissement ineffable enveloppe de ses pavots magiques, comme d’un voile qui tamise la lumière du jour, la puissance active de mes sens et les forces vivaces de mon imagination.
Lautréamont
Seulement la place de laisser passer la lumière. Comme dans le corps. Le matin, c’est un cri dehors, je me réveille, est-ce à cause du cri ou parce qu’il n’existe plus – quelque chose passe, la rue est (...) -
aux reflets des villes
20 avril 2011, par arnaud maïsettiReflections (Daft Punk, ’Tron : Legacy’ (BO)
REFLET (re-flè ; le t ne se lie pas dans le parier ordinaire ; au pluriel, l’s se lie : des re-flè-z argentés) s. m.
1° Réflexion de la lumière ou de la couleur d’un corps sur un autre. Les reflets des nuages sur les champs.
Tous deux ont la tête garnie de petites plumes à demi relevées en huppe noire, à reflets verts et violets, BUFF. Ois. t. VIII, p. 325. Ce sont ces reflets infinis des ombres et des corps qui engendrent l’harmonie, DIDER. Essai sur la (...) -
les lignes configuratives (l’interruption sur la main)
12 juin 2013, par arnaud maïsettiDepuis ce temps, ô déesses rivales, je ne vous ai pas abandonnées. Depuis ce temps, que de projets énergiques, que de sympathies, que je croyais avoir gravées sur les pages de mon coeur, comme sur du marbre, n’ont-elles pas effacé lentement, de ma raison désabusée, leurs lignes configuratives, comme l’aube naissante efface les ombres de la nuit ! Depuis ce temps, j’ai vu la mort, dans l’intention, visible à l’oeil nu, de peupler les tombeaux, ravager les champs de bataille, engraissés par le sang humain (...)
-
sans être là
30 novembre 2018, par arnaud maïsetti30 novembre 2018
-
tenir le fil
22 mai 2019, par arnaud maïsetti22 mai 2019
-
route que prenait le train dans le brouillard : histoire intérieure de la deuxième nuit la plus longue du monde
22 décembre 2014, par arnaud maïsettisi malheur plus réel exista dans la longue spirale du temps, c’est le malheur de celui qui trouble maintenant le sommeil de ses semblables.
Lautréamont, Chants de Maldoror
Comment fait le train pour savoir où il va, dans ce brouillard qui n’en finit pas - comment fait-il, pour trouver sa route, et frayer, d’un bord à l’autre du pays, jusqu’à la mer ; tous ici dorment ? Étrange comme toujours, remontant vers Paris ou descendant à Marseille, il faut traverser au pli du trajet une zone de brouillard, (...) -
José Corti | l’esprit des lieux
26 décembre 2016, par arnaud maïsettifermer une librairie, vider les lieux
-
mémoire des jours à venir
16 avril 2018, par arnaud maïsetti16 avril 2018
-
comment respirer
30 mai 2020, par arnaud maïsetti30 mai 2020
-
puisque beaucoup de choses nous affligent
2 février 2017, par arnaud maïsetti2 février 2017
-
sous les drapeaux
1er septembre 2018, par arnaud maïsetti1er septembre
-
est serment
15 décembre 2018, par arnaud maïsetti15 décembre 2018
-
La Ville écrite | il n’y a point d’interrogation
18 juin 2017, par arnaud maïsettidans tous les sens littéralement