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_vies des morts
Articles
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Koltès | la fête des morts
15 avril 2017, par arnaud maïsetti -
Rimbaud | Des nouvelles de Londres
30 novembre 2018, par arnaud maïsettiL’Histoire splendide
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Rimbaud | Trois photographies
20 mai 2019, par arnaud maïsettiTenir en respect l’immobilité du présent
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Chris Marker | « Aux deux pôles extrêmes de la survie »
30 juillet 201229 juillet 1921 - 29 juillet 2012
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Vingt-et-juin, il fera peut-être nuit
24 juin 2015, par arnaud maïsettiDans la lutte entre toi et le monde, parie sur le monde.
Kafka Comment se résigner à comprendre le monde ? On finirait par lui trouver des raisons, puis fatalement à lui donner raison. S’en tenir éloigné, parfois, permet de continuer à le penser plein d’énigmes, impossible, impensable, et désirable encore. Ainsi la mer, ou le ciel ; ainsi les silences ; les amitiés lointaines ; certains livres (chercher un fragment de la Société du Spectacle, se surprendre à relire l’impeccable chapitre V « Temps et (...) -
anticipation #50 | dans la salle d’attente
11 juin 2012, par arnaud maïsettiDans la salle d’attente — chacun un endroit où attendre, qu’on vienne les chercher et leur dire s’ils peuvent encore vivre, ou non. À l’accueil, j’ai donné ma date de naissance, la seule trace de mon identité, pour qu’on puisse dire que c’est moi, et que je puisse dire : c’est moi, quand ils viendront me chercher. Au juste, j’aurais pu mentir, dire une autre date.
C’est un lieu anonyme, la raison pour laquelle on vient, ici. Devant ma date de naissance, on essaie de plaisanter, inutilement, bienveillance (...) -
Georges Bataille | Une vie, une œuvre, de Françoise Estèbe et Julie Beressi, 2012
21 novembre 2017, par arnaud maïsettiémission de France Culture
16 juin 2012 -
Michael Pitt | From Death to Birth
28 septembre 2013, par arnaud maïsettidéparts
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Jacques Dupin | « Comme si nous étions sur terre pour endurer la chaleur »
30 octobre 2012, par arnaud maïsettiJacques Dupin est mort
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un dépli — dans la chambre du mort
15 avril 2011, par arnaud maïsettiChorus - Since by man came death (Georg-Friedrich Haendel, ’Messiah’)
Texte écrit en écho, réponse, appel, à la séance 18 des ateliers d’écriture de la BU d’Angers proposée par François Bon. Je me suis dit qu’on écrivait toujours sur le corps mort du monde et, de même, sur le corps mort de l’amour. Que c’était dans les états d’absence que l’écrit s’engouffrait pour ne remplacer rien de ce qui avait été vécu ou supposé l’avoir été, mais pour en consigner le désert par lui laissé.
Marguerite Duras, La mort du (...) -
La Ville écrite | auteurs et anonymes
13 octobre 2011, par arnaud maïsettiOù classer des textes qui sont hors de tout classement –
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Galerie Mazarine et labyrinthes
24 mai 2015, par arnaud maïsettiEt leurs caboches vont dans des roulis d’amour.
Rimb.
Il faut entrer par une petite porte, ouvrir son sac, prouver qu’on n’est pas là pour déposer une bombe. Passer un sas, un autre, montrer à chaque fois une carte, une autre. Justifier ce qu’on fait là. On passe finalement. Les bâtiments en pierre rendus invisibles par des algecos provisoires, mais là depuis toujours ; la rumeur des travaux (le chantier est partout, invisible et lointain) ; les corps allongés, cigarette café téléphone, respirent. (...) -
Chanson de la consolation (mille ans plus tard)
30 avril 2016, par arnaud maïsettimélodies inouïes
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Zola, commencer par déménager les morts
14 septembre 2009, par arnaud maïsettiLecture des premières pages de La Fortune des Rougon
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Michel Butor | « Du pain sur la planche pour bien plus de cent ans »
24 août 2016, par arnaud maïsettiau moins
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Eurydice,
25 février 2013, par arnaud maïsettiparcours dans les images laissées d’Orphée, et d’elle
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silhouettes creusées à la surface de soi
6 novembre 2017, par arnaud maïsetti6 novembre 2017
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anticipations #37 | Passer de l’autre côté
8 janvier 2014, par arnaud maïsettiTexte de l’automne 2011.
Reprise hiver 2013 — pour ce mot d’ordalie.
Le recueil Anticipations, aux éditions publie.net Ils le faisaient en fermant les yeux désormais. Personne ne savait où cela avait commencé, ni comment — suite à quel pari stupide, au bout de quelle nuit plus triste et plus brûlée qu’une autre au désœuvrement de quel bar. Mais dans chaque ville, il y avait toujours un type pour dire, avec force détails, que c’était lui, lui le premier, et qu’il avait fait ça sans raison (ou avec (...) -
Auguste Blanqui | Tombeau pour l’Enfermé
13 décembre 2023, par arnaud maïsettiPar la lumière vivante des étoiles
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Vies de Léone
19 mai 2011extrait des ’Carnets’ de Combat de nègre et de chiens
Léone, Une idée des vies successives