Lok Gweltaz, Yann Tiersen (Eusa, 2016) Qu’ils descendent du ciel, ou remontent d’un domaine où ils connurent les sirènes et des monstres plus étonnants, à terre les marins habitent des demeures de pierres, des arsenaux, des palais dont la solidité s’oppose à la nervosité, à l’irritabilité féminine des eaux, (dans l’une de ses chansons, le matelot ne dit-il pas : « ... on se console avec la mer » ?) sur des quais chargés de chaînes, de bornes, de bittes d’amarrage où, du plus loin des mers ils se savent (...)
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Articles
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on se console avec la mer
11 octobre 2016, par arnaud maïsetti -
le cri du vent
22 avril 2013, par arnaud maïsettiil y a beaucoup de mer et beaucoup de bruit
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d’aller au-devant (pensées contre les dépôts de bilan)
26 décembre 2013, par arnaud maïsettiDans les boucles de la musique, la voix ne cesse de dire les mêmes mots, ce ne sont pas les mêmes pourtant (To sleep is not even an option, Then I could use a little action, If you dare appear once more, If you dare appear once more), dans ces boucles je passerai le reste de la journée et tant pis si le jour tombe, moi non.
Je pourrais bien faire comme si c’étaient des jours comme les autres — autour c’est le temps mort des fins d’année où rien ne peut commencer, où tout attend que le temps (...) -
mémoire des jours à venir
16 avril 2018, par arnaud maïsetti16 avril 2018
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Nuit et Jour, ZeigtGeist | Des Frontières (cultiver le sel) #2
5 mars 2016, par arnaud maïsettiLes frontières n’existent pas
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une trace ineffaçable
23 août 2018, par arnaud maïsetti23 août 2018
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en attendant le bateau (folie des assauts)
26 août 2013, par arnaud maïsettiIl n’y a que l’eau, les femmes et la mort, qui nous prennent dans notre nudité. Nous changent.
G. Perros
La rentrée comme une grande retraite au large. Dans les regards des gens, je le voyais, c’était aujourd’hui : aujourd’hui qu’on concéderait sa vie à la vie réelle. Me suis assis au même café, au même endroit, à la même table, repris la ligne là où je l’avais laissée hier, l’ai tirée là où je l’ai pu ce soir, là où je la reprendrai demain matin ; j’avais oublié qu’il pouvait faire froid.
Entendu, à la (...) -
qu’on en finisse avec l’année
28 décembre 2017, par arnaud maïsetti29 décembre
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derniers feux, premières vagues
3 janvier 2018, par arnaud maïsetti2 janvier 2018
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Marseille | sud, sud-ouest
28 janvier 2016, par arnaud maïsettiface à l’île Maire (et à tout ce qui m’entoure)
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