Conclusion générale de la thèse – novembre 2012
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_Bernard-Marie Koltès
Articles
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Koltès | Écritures du récit, une conclusion
22 novembre 2012, par arnaud maïsetti -
Koltès | Paroles communes : pour une éthique de la minorité
22 janvier 2012, par arnaud maïsettiArticle publié dans Minority Theater on the Global Stage : Challenging Paradigms from the Margins, Cambridge Scholars Publishing – juillet 2012.
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Vincit qui patitur (la brume)
3 février 2014, par arnaud maïsettiJournée longue comme un arbre qui va s’effondrer.
En remontant le soir vers la ville, les affiches électorales, de nouveau, grotesques, dérisoires — quelque chose comme ce mot de foutaises, et pourtant, je pense (mais pourquoi ?) au Bachelier de Jules Vallès, et aux camarades qui dans Le Ventre de Paris s’assemblent dans ce petit café à Châtelet pour parler de la Sociale.
Grande mélancolie passant devant une banque en voyant un jeune garçon (mon âge peut-être), le visage mangé par une capuche, qui (...) -
Koltès | l’invention du récit
5 août 2009, par arnaud maïsettiProjet du Master II – août 2009
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Genet, Koltès | Des politiques blessées
20 mars 2011, par arnaud maïsettiProposition de communication au colloque « Théâtre et Politique », à l’université de Bretagne Sud à Lorient – mars 2011
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home
8 octobre 2010, par arnaud maïsettiThat Home (Cinematic Orchestra, ’Ma fleur’, 2007)
« Derrière les vitres, l’après-midi flamboyait et de loin en loin un vautour planait paresseusement dans le ciel aveuglant. Ils croisaient des routes de traverse rouges et désertes, creusées de fondrières d’un rouge plus sombre, et de vieilles baraques délabrées perdues dans la solitude des champs de coton. » Carson Mc Cullers, Frankie Adams
HABITER (a-bi-té) v. a.
1° Occuper comme demeure. Tant que nous sommes détenus dans cette demeure mortelle, (...) -
Home | « Si un chien rencontre un chat »
17 novembre 2010« le commerce du temps »
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Patrice Chéreau & Thierry Thieû-Niang | La nuit dans le Louvre désert
30 novembre 2010, par arnaud maïsettiLa Nuit juste avant les forêts de B.-M. Koltès, par P. Chéreau & T. Thieû-Niang [Paris, Musée du Louvre] - Novembre 2010
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ô tempus edax (le viaduc)
27 janvier 2014, par arnaud maïsettiAu poignet me manque depuis ce matin la montre que je porte depuis quelques années — avant elle, j’en portais d’autres aussi, comme depuis que je sais lire l’heure sans doute : et depuis ce matin, c’est comme si je portais son absence, d’un poids plus lourd encore.
Ce n’est pas tant pour l’heure, je crois, que j’aime l’avoir à mon poignet ; je la regarde finalement peu : ma montre depuis trois mois était cassée, et je savais que je devais la laisser plusieurs semaines. Étrange comme on est possédé par (...) -
Koltès | le choix des armes
16 juin 2006, par arnaud maïsettiÉtude écrite dans le cadre du séminaire « Ethnopoétique » de Florence Dupont à l’université Paris VII – juin 2006
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Home | « Le mot insultant »
17 novembre 2010« Si l’on tient à désigner une catégorie d’individus »
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Le Client #16 | « Essayez de m’atteindre, vous n’y arriverez pas »
15 août 2013, par arnaud maïsetticomme deux indiens
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Koltès | 1983, Quai Ouest, des docks dans Tous en scène
1er mai 2014, par arnaud maïsettiL’INA ouvre de plus en plus ses archives, et c’est une mine — on en découvre chaque jour, et chaque jour de nouvelles vidéos sont en ligne. Par exemple, c’est ce documentaire — aujourd’hui, comment est-il seulement imaginable de tomber sur une telle émission, dix minutes consacrées sur une chaîne du service public à une création théâtrale ? Dix minutes donc autour de Quai Ouest, ce 26 avril 1986 (la première a eu lieu le 24 avril, à Nanterre-Amandiers), où l’on entend Koltès, Chéreau (jeunesses de ces (...)
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et puis rentrer, mais d’où ?
14 septembre 2015, par arnaud maïsetti(jour et texte obsolètes) Les heures, tel un chariot avançant dans la fin du jour, reviennent en grinçant parmi les ombres de mes pensées. Si je lève les yeux de ma méditation, je les sens brûlants du spectacle du monde.
Pessoa, Livre de l’Intranquilité, fragment 322
Que deviennent tous ces jours passés quand on ne les écrit pas ? Tous ces jours ensemble, oui, je le sais : une masse continue de matins et de soirs qui se confondent dans le crépuscule, celui qui les écrit lentement, maintenant. Une (...) -
Le Client #12 | « Si toutefois j’ai craché sur quelque chose, »
11 août 2013, par arnaud maïsetticomme de se lécher soi-même son cul
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Koltès | Utopies politiques : « Il faudrait être ailleurs »
21 juin 2011, par arnaud maïsettiCommunication au colloque « Lire et jouer Koltès aujourd’hui » à l’université de Provence, organisé par Florence Bernard – juin 2011
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Koltès | après l’éternité, les pas de Mann
21 décembre 2013, par arnaud maïsettimanuscrit de Prologue
version antérieure du finale -
Le Client #17 | « Et vous, ne m’avez-vous rien, dans la nuit, »
16 août 2013dans l’obscurité si profonde
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Koltès | « Le triomphe du bongo »
2 novembre 2011, par arnaud maïsettiDernière page de Prologue
1986 -
Koltès | 1981, un entretien – écrire ou l’œuvre de mort
31 mai 2018, par arnaud maïsettiEntretien avec Jacques Lemire