Dogs They Make up the Dark (Devendra Banhart, ’Rejoicing in the Hands’ [2004])
Dogs they make up the dark surrounding / Mountains, they move towards the sea Lie there, shine from your wound is blinding / Mountains still move towards the sea Derrière le mot effacé, on lit ce qui excède le sens, ou ce qui demeure sur le bord de, ce qui est en-deçà de tout, affleure et ne parvient jamais à rejoindre : on se tient devant la possibilité de l’insulte, de la caresse, du crachat et des perles de sang : tout (...)
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_Bernard-Marie Koltès
Articles
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l’accès à la plage est aux chiens
16 juillet 2010, par arnaud maïsetti -
de l’oubli dont ces jours sont faits (chemin arraché)
8 août 2012, par arnaud maïsettiet toute cette population de Babylone, et moi-même, et vous bien sûr, serons autant de fois oubliés que l’on nous a connus, davantage peut-être même,
Autant de fois oublié, oui, que ces marches pour rentrer, mais où, et d’où, tu ne sais pas, il faudrait pour cela que tes yeux voient plus loin que toi ; et tu ne vois que la distance qui te sépare de demain, ou cette autre distance que tu mesures entre le visage et les doigts, et sur la surface de l’écran, les cartographies mentales qui dessinent le (...) -
Koltès | Bob Marley : « le jour où le grand maître du reggae est mort »
12 mai 2011, par arnaud maïsettiLettre à sa mère, le 18 mai 1981
« Bob Marley est mort » -
Koltès | Lettre d’Afrique
1er novembre 2011Lettre d’Afrique, à Hubert Gignoux, le 11 février 1978
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disharmonie numérique, ou la vie des ruines
22 janvier 2018, par arnaud maïsetti22 janvier
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Bernard-Marie Koltès | 9 avril 1948
9 avril, par arnaud maïsettiles cris d’un enfant qui ne sait pas son nom
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La Ville écrite | Terminus Solitude
24 octobre 2017, par arnaud maïsettiligne quarante
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aujourd’hui neuf avril (naître par le monde)
9 avril 2011, par arnaud maïsettiDeath to birth (Pagoda, ’Last Days (BO)’, 2005)
Quelques jours après les funérailles de ma mère, mon aïeul me prit à part et déclara :
-- Alexis, mon garçon, tu n’es pas une médaille que je puisse porter à mon cou, il est inadmissible que tu restes ainsi à vivre à mes crochets ; va-t’en plutôt par le monde…
Et je m’en allai par le monde.
Maxime Gorki, Enfance
De quoi naît-on — et combien de fois ? Autant de morts à chaque fois qu’on ne cessera pas de porter pour aller, par le monde, en soi..
La question, (...) -
Koltès | 1981, La Nuit… de J.-L Boutté et R. Fontana
23 janvier 2018, par arnaud maïsettiLa Nuit… de Boutté / Fontana
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Genet, Koltès | Des politiques blessées
20 mars 2011, par arnaud maïsettiProposition de communication au colloque « Théâtre et Politique », à l’université de Bretagne Sud à Lorient – mars 2011
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Koltès | Écritures du récit, une conclusion
22 novembre 2012, par arnaud maïsettiConclusion générale de la thèse – novembre 2012
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Koltès | Paroles communes : pour une éthique de la minorité
22 janvier 2012, par arnaud maïsettiArticle publié dans Minority Theater on the Global Stage : Challenging Paradigms from the Margins, Cambridge Scholars Publishing – juillet 2012.
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home
8 octobre 2010, par arnaud maïsettiThat Home (Cinematic Orchestra, ’Ma fleur’, 2007)
« Derrière les vitres, l’après-midi flamboyait et de loin en loin un vautour planait paresseusement dans le ciel aveuglant. Ils croisaient des routes de traverse rouges et désertes, creusées de fondrières d’un rouge plus sombre, et de vieilles baraques délabrées perdues dans la solitude des champs de coton. » Carson Mc Cullers, Frankie Adams
HABITER (a-bi-té) v. a.
1° Occuper comme demeure. Tant que nous sommes détenus dans cette demeure mortelle, (...) -
Home | « Si un chien rencontre un chat »
17 novembre 2010« le commerce du temps »
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Patrice Chéreau & Thierry Thieû-Niang | La nuit dans le Louvre désert
30 novembre 2010, par arnaud maïsettiLa Nuit juste avant les forêts de B.-M. Koltès, par P. Chéreau & T. Thieû-Niang [Paris, Musée du Louvre] - Novembre 2010
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ô tempus edax (le viaduc)
27 janvier 2014, par arnaud maïsettiAu poignet me manque depuis ce matin la montre que je porte depuis quelques années — avant elle, j’en portais d’autres aussi, comme depuis que je sais lire l’heure sans doute : et depuis ce matin, c’est comme si je portais son absence, d’un poids plus lourd encore.
Ce n’est pas tant pour l’heure, je crois, que j’aime l’avoir à mon poignet ; je la regarde finalement peu : ma montre depuis trois mois était cassée, et je savais que je devais la laisser plusieurs semaines. Étrange comme on est possédé par (...) -
Koltès | le choix des armes
16 juin 2006, par arnaud maïsettiÉtude écrite dans le cadre du séminaire « Ethnopoétique » de Florence Dupont à l’université Paris VII – juin 2006
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Home | « Le mot insultant »
17 novembre 2010« Si l’on tient à désigner une catégorie d’individus »
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Images | villes intérieures
25 mai 2010, par arnaud maïsetti10 photographies — architectures souterraines
printemps 10 -
Le Client #16 | « Essayez de m’atteindre, vous n’y arriverez pas »
15 août 2013, par arnaud maïsetticomme deux indiens