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_Bernard-Marie Koltès
Articles
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Voix, de quels fonds venues ?
26 juillet 2010, par arnaud maïsetti -
Koltès | « On se parle ou on se tue » (entretien)
2 janvier 2011, par arnaud maïsettientretien (inédit) pour Le Monde, janvier 1987
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Bernard-Marie Koltès | 15 avril, et peut-être l’éternité
15 avril 2023, par arnaud maïsettid’un quinze avril l’autre
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Koltès | Paroles communes : pour une éthique de la minorité
22 janvier 2012, par arnaud maïsettiArticle publié dans Minority Theater on the Global Stage : Challenging Paradigms from the Margins, Cambridge Scholars Publishing – juillet 2012.
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Koltès | 1983, L’Homme blessé de Chéreau
23 avril 2019, par arnaud maïsettitémoin du deal amoureux
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Koltès | Vingt ans, « l’âge où je risque ma vie »
11 juillet 2011lettre à sa mère, le 26 Mars 1968
Vingt ans. -
Bernard-Marie Koltès | 9 avril 1948
9 avril, par arnaud maïsettiles cris d’un enfant qui ne sait pas son nom
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Koltès | « Et puis toujours la pluie »
28 août 2010, par arnaud maïsettiLa Nuit juste avant les forêts : le raz-de-marée final
« il y a toujours dans ma tête, qui me reviennent tout d’un coup, des histoires de forêt » -
Koltès | 1981, La Nuit… de J.-L Boutté et R. Fontana
23 janvier 2018, par arnaud maïsettiLa Nuit… de Boutté / Fontana
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avec le soleil
2 septembre 2014, par arnaud maïsettiOn lui a découpé dans le derrière de la tête un morceau de crâne affectant la forme d’un segment. Avec le soleil, le monde entier regarde à l’intérieur. Cela le rend nerveux, le distrait de son travail et il se fâche de devoir, lui précisément, être exclu du spectacle.
Ce fragment dans la tête, ce matin ; et à l’aube, vérifier que c’était bien cela : que ce fragment, sa précision d’image, était bien cette page dans le journal de Kafka — mais peu importe. Au contraire, il y avait la douleur précise. J’écris (...) -
Images | villes intérieures
25 mai 2010, par arnaud maïsetti10 photographies — architectures souterraines
printemps 10 -
Le Client #8 | « Je vous préférais retors plutôt qu’amical. »
5 août 2013, par arnaud maïsettisoyons deux zéros
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Koltès | parole adressée
23 mars 2008, par arnaud maïsettiCommunication à la Journée d’études « Bernard-Marie Koltès », à l’Université Paris VII – mars 2008
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Lecture | Le Client #1 : « mon désir, s’il en est un »
10 avril 2013, par arnaud maïsettiKoltès, Dans la Solitude des champs de coton
Première réplique du client -
Genet, Koltès | Des politiques blessées
20 mars 2011, par arnaud maïsettiProposition de communication au colloque « Théâtre et Politique », à l’université de Bretagne Sud à Lorient – mars 2011
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Koltès | « ÉCRAN DE NUIT », cinq lectures de François Bon
3 février 2018, par arnaud maïsettiune traversée
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Bernard-Marie Koltès | Le Dernier Dragon
22 avril 2019, par arnaud maïsettiMais on devine, quand même, un peu
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Le Client #4 | « Vous êtes un bandit trop étrange »
1er août 2013, par arnaud maïsettije suis l’étranger qui ne connaît pas la langue
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l’accès à la plage est aux chiens
16 juillet 2010, par arnaud maïsettiDogs They Make up the Dark (Devendra Banhart, ’Rejoicing in the Hands’ [2004])
Dogs they make up the dark surrounding / Mountains, they move towards the sea Lie there, shine from your wound is blinding / Mountains still move towards the sea Derrière le mot effacé, on lit ce qui excède le sens, ou ce qui demeure sur le bord de, ce qui est en-deçà de tout, affleure et ne parvient jamais à rejoindre : on se tient devant la possibilité de l’insulte, de la caresse, du crachat et des perles de sang : tout (...) -
de l’oubli dont ces jours sont faits (chemin arraché)
8 août 2012, par arnaud maïsettiet toute cette population de Babylone, et moi-même, et vous bien sûr, serons autant de fois oubliés que l’on nous a connus, davantage peut-être même,
Autant de fois oublié, oui, que ces marches pour rentrer, mais où, et d’où, tu ne sais pas, il faudrait pour cela que tes yeux voient plus loin que toi ; et tu ne vois que la distance qui te sépare de demain, ou cette autre distance que tu mesures entre le visage et les doigts, et sur la surface de l’écran, les cartographies mentales qui dessinent le (...)