La pensée poétique [...] est l’ennemie de la patine et elle est perpétuellement en garde contre tout ce qui peut brûler de l’appréhender : c’est en cela qu’elle se distingue, par essence, de la pensée ordinaire. Pour rester ce qu’elle doit être, conductrice d’électricité mentale, il faut avant tout qu’elle se charge en milieu isolé. André Breton, Arcane 17, 1945 Bob Dylan, Visions Of Johanna (Belfast 6 May 66)
Dans les cafés et dans les bars, dans les rues et partout je vais toujours à la recherche d’une (...)
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_colère
Articles
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la prise de la ville
4 mai 2018, par arnaud maïsetti -
mémoire des jours à venir
16 avril 2018, par arnaud maïsetti16 avril 2018
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et ce n’est que de là qu’il peut être condamné et détruit.
10 avril 2020, par arnaud maïsetti10 avril 2020
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comment respirer
30 mai 2020, par arnaud maïsetti30 mai 2020
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pour pouvoir vraiment la haïr
25 mai 2021, par arnaud maïsetti25 mai 2021
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La Ville écrite | fuite ?
3 octobre 2016, par arnaud maïsettipar ici
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La mort sans phrase
5 octobre 2020, par arnaud maïsetti5 octobre 2020
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rien plutôt que quelque chose
15 janvier 2020, par arnaud maïsetti15 janvier 2020
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La Ville écrite | le capitalisme
18 juin 2016, par arnaud maïsettiest en train de dévorer
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devant cette porte
6 juillet 2011, par arnaud maïsettiBack door man (The Doors)
Je n’ai pu percer sans frémir ces portes d’ivoire ou de corne qui nous séparent du monde invisible.
Gérard de Nerval (’Aurélia’)
Devant cette porte, apeuré, frappant, de toutes forces appelant comme dans tes rêves quand la voix ne sort pas, puis de colère, de pure colère crachant sur la porte, arrachant avec les doigts, griffant d’ongles absents désormais les contours de la porte de sorte qu’impossible de reconnaître la première porte de la porte dessinée avec le sang des (...) -
La Ville écrite | l’enfer n’est pas si loin
7 juillet 2011, par arnaud maïsettiÀ une lettre près, peut-être
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trois images du temps
11 mai 2016, par arnaud maïsetti11 mai 2016
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devant la faille : la folie, ou la révolte
20 septembre 2018, par arnaud maïsetti20 septembre 2018
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au-delà des fondations, la terre nue
9 avril 2020, par arnaud maïsetti9 avril 2020
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dans le jour qui s’épuise
20 avril 2015, par arnaud maïsettiMarche dans le jour qui s’épuise. Cherche les adresses intérieures, les portes qu’il faudrait affronter à mains nues et qui ne s’ouvriront jamais. Conserve au moins pour toi les traces laissées sur les poings, et le sang perdu. Ne possède pas plus de certitudes qu’une et une seule : celle-ci : n’en posséder pas plus qu’une seule à la fois.
Par exemple : marcher dans le jour qui s’épuise pensant être celui qui marche dans la nuit qui reprend pied. Et puis l’abandonner quelque part, ici peut-être, mieux (...) -
Antonio Gramsci | « Je hais le nouvel an »
1er janvier 2021, par arnaud maïsettiChaque heure de ma vie, je la voudrais neuve
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c’était marcher
16 octobre 2016, par arnaud maïsettiLa crevaison pour le monde qui va. C’est la vraie marche. En avant, route !
Rimb.
Bob Dylan, Ain’t talkin’ (Modern Times, 2006) Seulement marcher – c’était, dans le contre-jour en descendant la Canebière, le mouvement, l’allure, l’aveuglement aussi, et la pulsation : face au jour qui s’effondrait de si haut, brûler ces jours. En fins de semaine, se retourner sur les causes d’un dimanche est toujours décevant : lundi, mardi, mercredi et fatalement jusqu’à cette ombre-là jetée devant soi comme un (...) -
La Ville écrite | ses prisons
3 avril 2014, par arnaud maïsettinous échapper
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La Ville écrite | mourir à Marseille
24 août 2018, par arnaud maïsettiet vivre
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faire brèche
11 décembre 2018, par arnaud maïsetti11 décembre 2018