2 août 2016
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_colère
Articles
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sagesse des arbres : de renier un mort ou méconnaître un Dieu
2 août 2016, par arnaud maïsetti -
mémoire des jours à venir
16 avril 2018, par arnaud maïsetti16 avril 2018
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The White Stripes | Jolene
7 février 2016, par arnaud maïsettile silence si on le laissait faire
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et ce n’est que de là qu’il peut être condamné et détruit.
10 avril 2020, par arnaud maïsetti10 avril 2020
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la prise de la ville
4 mai 2018, par arnaud maïsettiLa pensée poétique [...] est l’ennemie de la patine et elle est perpétuellement en garde contre tout ce qui peut brûler de l’appréhender : c’est en cela qu’elle se distingue, par essence, de la pensée ordinaire. Pour rester ce qu’elle doit être, conductrice d’électricité mentale, il faut avant tout qu’elle se charge en milieu isolé. André Breton, Arcane 17, 1945 Bob Dylan, Visions Of Johanna (Belfast 6 May 66)
Dans les cafés et dans les bars, dans les rues et partout je vais toujours à la recherche d’une (...) -
La Ville écrite | fuite ?
3 octobre 2016, par arnaud maïsettipar ici
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rien plutôt que quelque chose
15 janvier 2020, par arnaud maïsetti15 janvier 2020
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couleur passée des jours
26 mars 2020, par arnaud maïsetti26 mars 2020
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La Ville écrite | le capitalisme
18 juin 2016, par arnaud maïsettiest en train de dévorer
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devant cette porte
6 juillet 2011, par arnaud maïsettiBack door man (The Doors)
Je n’ai pu percer sans frémir ces portes d’ivoire ou de corne qui nous séparent du monde invisible.
Gérard de Nerval (’Aurélia’)
Devant cette porte, apeuré, frappant, de toutes forces appelant comme dans tes rêves quand la voix ne sort pas, puis de colère, de pure colère crachant sur la porte, arrachant avec les doigts, griffant d’ongles absents désormais les contours de la porte de sorte qu’impossible de reconnaître la première porte de la porte dessinée avec le sang des (...) -
La Ville écrite | l’enfer n’est pas si loin
7 juillet 2011, par arnaud maïsettiÀ une lettre près, peut-être
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trois images du temps
11 mai 2016, par arnaud maïsetti11 mai 2016
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Ladj Ly, Les Misérables
2 décembre 2019, par arnaud maïsettiDe Ladj Ly, Images brisées
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devant la faille : la folie, ou la révolte
20 septembre 2018, par arnaud maïsetti20 septembre 2018
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au-delà des fondations, la terre nue
9 avril 2020, par arnaud maïsetti9 avril 2020
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dans le jour qui s’épuise
20 avril 2015, par arnaud maïsettiMarche dans le jour qui s’épuise. Cherche les adresses intérieures, les portes qu’il faudrait affronter à mains nues et qui ne s’ouvriront jamais. Conserve au moins pour toi les traces laissées sur les poings, et le sang perdu. Ne possède pas plus de certitudes qu’une et une seule : celle-ci : n’en posséder pas plus qu’une seule à la fois.
Par exemple : marcher dans le jour qui s’épuise pensant être celui qui marche dans la nuit qui reprend pied. Et puis l’abandonner quelque part, ici peut-être, mieux (...) -
La Ville écrite | ses prisons
3 avril 2014, par arnaud maïsettinous échapper
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La Ville écrite | mourir à Marseille
24 août 2018, par arnaud maïsettiet vivre
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faire brèche
11 décembre 2018, par arnaud maïsetti11 décembre 2018
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ab irato (l’impitoyable)
23 février 2014, par arnaud maïsettiJ’aurais écouté Callous Sun dans une tendre rage ce soir, lentement pour l’apaiser en moi, ou pour éprouver davantage la lumière qui est si loin où je la respire, où je voudrais qu’elle soit.
J’aurais devant les pages rédigées tout à l’heure voulu souffler comme sur des cendres — tout qui se serait éparpillé.
J’aurais derrière moi quand la ville s’éloigne désiré retenir toute la vitesse du monde, et dire je reviens.
J’aurais remonté cette ville-là, dans le noir, et aux angles les tours de verre, tourner, et (...)