cluster toi-même
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_cri
Articles
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Contre-dictionnaire | cluster critique de taille réduite
11 novembre 2017, par arnaud maïsetti -
un rêve #545 | mouvements de foule
25 août 2010, par arnaud maïsettiUn rêve : au milieu d’une foule compacte, marchant lentement au pas de la manifestation
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La ville écrite | La République
21 novembre 2017, par arnaud maïsettinous laisse mourir
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devant cette porte
6 juillet 2011, par arnaud maïsettiBack door man (The Doors)
Je n’ai pu percer sans frémir ces portes d’ivoire ou de corne qui nous séparent du monde invisible.
Gérard de Nerval (’Aurélia’)
Devant cette porte, apeuré, frappant, de toutes forces appelant comme dans tes rêves quand la voix ne sort pas, puis de colère, de pure colère crachant sur la porte, arrachant avec les doigts, griffant d’ongles absents désormais les contours de la porte de sorte qu’impossible de reconnaître la première porte de la porte dessinée avec le sang des (...) -
Quod scripsi, scripsi (les roumains)
4 février 2014, par arnaud maïsettiCe sont surtout les cris, terribles, qui jaillissent du ciel, soudain et cessent immédiatement ; les gens s’arrêtent dans la rue, regardent là-haut ce qui se joue, et quand le silence revient, reprennent leur marche, et leurs parcours de vivants sur cette ville.
C’est signe que la mer est proche : elle est proche. Les hurlements des oiseaux dans le feu du ciel, personne ne me l’avait dit. Au-dessus d’un port, on ne les entend pas, mais ici : ici, c’est affolant.
Je pense à ces cris, pensant à la (...) -
La Ville écrite | ses prisons
3 avril 2014, par arnaud maïsettinous échapper
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Autoportrait au visage troué
6 septembre 2012, par arnaud maïsettimur
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La Ville écrite | religion est une foli (Aristote, Alexandre et la caresse)
2 avril 2012, par arnaud maïsettiqui absurdum
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[ phrases ] #4 — rêves de souillure
20 octobre 2011, par arnaud maïsettiBlancheur du monde dans laquelle personne ne pourrait se cacher, monde plus blanc encore que l’idée même de blanc, le sol, le plafond, les murs, mais des murs qui n’entourent rien, pas des murs donc, simplement une surface mate de choses et de vie qui ne représente rien, c’est cela, oui, toute une matière immobile où rien ne pourrait être représenté sans souiller tout, et tu entres ici, et ton ombre se répand et couvre peu à peu l’espace de tes pas, de ta respiration, puis de ton ombre qui s’efface sous (...)
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Bertrand Cantat | révélation de l’oracle
14 mars 2012, par arnaud maïsettinotes sur l’inouï
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La Ville écrite | tusle
6 avril 2014, par arnaud maïsettil’injonction
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Hurlements en faveur de soi [# 2]
4 décembre 2011, par arnaud maïsettiVingt-sept variations : violence ; corps ; désir
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anticipation #43 | stades où crier
18 octobre 2010, par arnaud maïsettiDes cris que la ville poussait plus haut qu’elle, et des endroits où elle se rassemblait pour cela, il ne restait que de la poussière entreposée au milieu des ruines, rien d’autre.
Lorsqu’on se retrouvait devant ces monuments, on ne savait pas s’il fallait entrer ou rester dehors. Au juste, où résider le monument, et où ce qui l’entourait : s’il fallait regarder les courbes, juger des hauteurs, ou pénétrer dans l’enceinte pour voir les gradins, ou la fosse — non, on ne savait pas au juste devant quoi on (...) -
Autoportrait au mur
22 juin 2019, par arnaud maïsettià vrai dire