« D’avoir cru en toi me laisse inconsolable »
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_deuil
Articles
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adresse #8 | à ta croyance
12 septembre 2010, par arnaud maïsetti -
Shannon Wright | ma blessure secrète
1er juin 2011, par arnaud maïsettiFences Of Pales, oh
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David Bowie | The Port of Amsterdam
28 janvier 2016, par arnaud maïsettiThere’s a sailor who sings, Of the dreams that he brings
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Chanson de la consolation (mille ans plus tard)
30 avril 2016, par arnaud maïsettimélodies inouïes
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Bertrand Cantat | Amor fati
29 décembre 2017, par arnaud maïsettija sagen
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Pierre Michon | « Le miracle »
1er décembre 2013, par arnaud maïsettile verbe pur et la lumière
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ce qui tient lieu de royaume (la voix d’Eurydice)
25 février 2013, par arnaud maïsettiaire d’autoroute, près de Valmy, samedi (2000ème image du site)
c’est mille manières de se taire, et l’écran de la machine qui soudain ne s’allume plus depuis une semaine en est une, imparable ; pendant une semaine, sans machine, sans rien pour écrire : se taire est une nouvelle langue ; mais ce n’est pas ce qui compte — ce qui importe est l’espace que cette langue ouvre, c’est où le silence vient, en soi, et c’est comment garder le silence auprès de soi ; il faut parfois le garder comme un enfant, (...) -
Koltès | resting place
15 avril 2010, par arnaud maïsettivingt et un ans après
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Patrice Chéreau | « parce qu’un homme meurt d’abord, puis cherche sa mort et la rencontre finalement »
7 octobre 2013, par arnaud maïsettidisparition de Patrice Chéreau
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The Cinematic Orchestra | To Build a Home
2 juin 2014, par arnaud maïsettij’aurais voulu nous bâtir une maison
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Jacques Dupin | « Comme si nous étions sur terre pour endurer la chaleur »
30 octobre 2012, par arnaud maïsettiJacques Dupin est mort
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le soleil ni la mort
15 septembre 2010, par arnaud maïsettiSunlight (Max Richter ’Songs From Before’, 2006) Les morts remontent, puissants d’os et d’écorce, de cuir et de sommeil, parleurs muets, mangeurs d’argile ; et le fruit tombe, et boucle par sa chute le cycle interminable. L. Edouard-Martin, Avènement des ponts
Devant les morts, on n’a pas les choix — on ne parle pas. Dans la chambre d’un mort, on se tait : non pas qu’on pourrait le réveiller, mais comme devant un muet on se met à agiter les bras, on adopte l’attitude de l’autre.
Alors, quand on (...) -
La Ville écrite | faites l’amour
30 août 2018, par arnaud maïsettije ne vivrai pas sans souffrir un jour
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adresse #4 | à l’absente
17 juin 2010, par arnaud maïsetti« je suis dans la ville / ce qui t’encombre »
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Autoportrait au mur
22 juin 2019, par arnaud maïsettià vrai dire
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tuer le temps
23 juin 2006, par arnaud maïsettiune histoire de temps