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_ville
Articles
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Approcher la ville par les bords
5 décembre 2015, par arnaud maïsetti -
La ville écrite | liberté d’expression
26 mai 2019, par arnaud maïsettiles mots manquent pour dire combien nous sommes libres de dire tout ce qu’on veut comme par exemple que je ne sais pas je n’ai pas les mots je n’ai pas les phrases je n’ai pas les paragraphes ni les livres entiers pour le dire mais je suis libre évidemment par exemple de dire que les arbres sont nus et que le ciel me dévore que les hommes sont des tueurs je suis libre tous les murs de cette ville le disent et tandis que les hommes qui gouvernent ce pays et qui sont des tueurs installent partout (...)
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les pages arrachées en miroir
9 juillet 2014, par arnaud maïsettic’est une idée ; prendre un livre, au hasard dans la bibliothèque bientôt vide, en arracher une page, la jeter au sol ; attendre que quelqu’un se penche pour s’y lire : le lac regarde Narcisse bien avant sa venue, c’est vrai. Une page arrachée en miroir
sur le trottoir : une page d’un livre qui ne se trouve pas dans ma bibliothèque ; une histoire d’avion qui déchire les brumes de Terre Neuve, il y est question d’un type à retrouver ; une histoire de Bob Morane en quête d’on ne saura jamais. Et (...) -
Amsterdam #2 | ensuite, aller d’une berge à l’autre
23 janvier 2014, par arnaud maïsettiAmsterdam, deuxième jour
8 images de ville, hiver 14 -
André Breton | « C’est l’heure des meetings politiques »
14 avril 2017, par arnaud maïsettien lettres grasses l’inscription « Rien ne va plus »
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tout point de vue est le sommet d’une pyramide inversée
25 juillet 2014, par arnaud maïsettiUn bref coup d’œil sur la campagne, par-dessus un mur des environs de la ville, me libère plus complètement que ne le ferait un long voyage pour quelqu’un d’autre. Tout point de vue est le sommet d’une pyramide inversée, dont la base est indéfinissable.
Pessoa, Livre de l’Intranquillité Dans le bruit de l’été qui s’écroule comme des pays encerclés qui ne sont pas des pays, comme des avions dans les déserts, comme des foule qui s’éparpillent, respirer la poussière des arènes tous les matins est une hygiène (...) -
l’histoire d’un jour
15 avril 2019, par arnaud maïsetti15 avril 2019
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et dépêchez, chevaux de leur âme (déjà voici que la nuit tombe)
13 décembre 2012, par arnaud maïsetticomme fjord le tournemoiement le carnaval la couleur des heures je ne ressasserais que cela
Kateri Lemmens, Quelques éclats Le froid plus vif, qui rend la marche plus rapide, comme avancer dans une épaisseur invisible, mouvante : partout. Du manège comme image de ces jours : oui — n’avoir le temps à rien, sauter d’une heure à l’autre, toujours penser à l’heure suivante et au passage du temps ne rien garder que la fatigue ; et pourtant dormir si tard (se lever si tard) : le jour est court, mais sa (...) -
La Ville écrite | l’esprit qui dit
28 janvier 2017, par arnaud maïsettinon
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enjamber le pont, la nuit
26 février 2013, par arnaud maïsettiarcueil est un couloir noir