répandue sur le sol
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_ville
Articles
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La Ville écrite | la nuit
19 décembre 2016, par arnaud maïsetti -
Le Client #15 | « Je ne crains pas de me battre, »
14 août 2013, par arnaud maïsettiles règles que je ne connais pas
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La Ville écrite | KafKafKafKa
12 février 2016, par arnaud maïsettile gardien des portes
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La Ville écrite | [enc•re.]
22 juin 2012, par arnaud maïsettimur yiddish
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tendresse pour la sauvagerie
30 mars 2015, par arnaud maïsettiEt le printemps m’a apporté l’affreux rire de l’idiot. Rimb.
Le temps est à l’heure – c’est à cela qu’on le reconnaît. Une heure soudain retranchée au jour ou accrue d’un supplément d’âme ; le ciel partout maintenant, mais c’est à cause du vent – depuis quatre jours désormais. Sur le visage et dans le corps, au fond de soi comme aux terminaisons des branches, quelque chose qui renverse le cours des choses. C’est naître, mais c’est après. C’est une fois que tout est terminé (terminée la terre noire et blanche, (...) -
La Ville écrite | Au-delà des possibilités & des joies de mon esprit
30 avril 2015, par arnaud maïsettile temps du rêve
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La Ville écrite | ce mardi 15 juin 1981
24 avril 2018, par arnaud maïsettiJacques
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c’était marcher
16 octobre 2016, par arnaud maïsettiLa crevaison pour le monde qui va. C’est la vraie marche. En avant, route !
Rimb.
Bob Dylan, Ain’t talkin’ (Modern Times, 2006) Seulement marcher – c’était, dans le contre-jour en descendant la Canebière, le mouvement, l’allure, l’aveuglement aussi, et la pulsation : face au jour qui s’effondrait de si haut, brûler ces jours. En fins de semaine, se retourner sur les causes d’un dimanche est toujours décevant : lundi, mardi, mercredi et fatalement jusqu’à cette ombre-là jetée devant soi comme un (...) -
La Ville écrite | Marseille : vivez,
31 mai 2016, par arnaud maïsettiréjouissez vous
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l’imprédictible (savoir faire la planche)
11 septembre 2013, par arnaud maïsettichercher la poignée de la porte
De l’imprédictible. Se lever sans savoir où. Ni demain, où non plus. J’évite de regarder la ville, par superstition. De regarder le ciel (de sortir dehors être dehors). Par superstition et comme un talisman, j’évite tout simplement de prendre l’habitude d’aller, de posséder des habitudes. Je ne possède rien, ici, que certains moments du jour interrompu (j’attends l’interruption comme le jour) le désir de la montagne.
De l’irrésolu. C’est toujours quand on fait un pas de (...)
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