10 photographies — architectures souterraines
printemps 10
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_visages
Articles
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Images | villes intérieures
25 mai 2010, par arnaud maïsetti -
Rimbaud | Nouveaux visages
29 juin 2018, par arnaud maïsettiSur les apparitions fréquentes du visage de Rimbaud au cours des prochaines années
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si bien que tu dois travailler comme un fou
14 avril 2020, par arnaud maïsetti14 avril 2020
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éperdument
14 septembre 2011, par arnaud maïsettile rêve de demain est une joie, disais-tu dans ton souffle perdu, mais la joie de demain en est une autre, ajoutais-tu dans le souffle suivant, et au mouvement de tes cheveux, j’ai deviné la suite, qui disait avec toi : rien heureusement ne ressemble au rêve qu’on s’en était fait ; car c’est différemment que vaut chaque chose — oui, alors il n’y aurait qu’à oublier, chaque jour, le jour suivant, pour n’accepter que le présent simplement parce qu’on l’aurait attendu comme la fin du monde, puisque la fin (...)
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au revers
7 janvier 2010, par arnaud maïsettiJe possède au revers de moi tout ce que je ne suis pas, tout ce que la nuit en secret je confie à la part de moi la plus enfouie. Si je voulais en faire le portrait, je commencerai sans doute par dessiner les yeux avant les contours du visage, et sur les lèvres, je tracerai à la hâte, comme un enfant, des larmes de sang, noires.
Le rêve tait ces choses là : le rêve censure plus qu’il ne dévoile — alors, si je cherche à savoir ce que la part la plus enfouie de moi cherche à me dire dans les moments de (...) -
Michel Slomka | Sinjar, Naissance des fantômes
1er octobre 2017, par arnaud maïsettil’histoire des peuples qui nous hantent
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instamment, les guérisons (et la vie en dépeupleur)
8 avril 2012, par arnaud maïsettiElle, assise au milieu de cinq ou six autres, les uns à côté des autres, attendent, et l’un après l’autre, on dit leur nom, ils se lèvent, s’éloignent (depuis combien de temps ne suis-je pas allé chez le médecin ?). Elle est la seule à parler, je la vois bien, de là où je suis, qu’elle dit les mots qu’il faut, qui sous l’anodin dévoile la blessure la plus inavouable, celle qu’elle vient exposer parce qu’elle est là maintenant, au milieu des autres. La vie est un dépeupleur et la salle se vide. La salle (...)
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façades
16 avril 2010, par arnaud maïsettiDe l’apparence de nos vies cachées derrière les murs : du signe manifeste extérieur qui voudrait cacher le contenu latent derrière les pierres — de la réalité, qui n’apparaît qu’à la surface : dans la volonté de ne rien dévoiler de ce qui se dit dans les discours intérieurs.
FAÇADE (fa-sa-d’) s. f.
A. 1. Mur extérieur d’un bâtiment. 2. Cour. [Sans déterm.] Mur extérieur d’un bâtiment où se trouve l’entrée principale, généralement le plus décoré.
B. P. anal. 1. Littér. Partie visible formant un mur. 2. Fam. (...) -
l’ombre de moi-même
21 mars 2012, par arnaud maïsettivoir, partout où le refus de vivre est inutile, où commencer à marcher, et marcher ; considérer la ville comme ma seconde nature à l’herbe coupée haute dans la gorge où crier ; oh n’être que l’ombre de moi-même, allongée au soleil découpée à la hache par les immeubles là-haut, et sauter par-dessus elle comme à colin-maillard, ou saute moutons je ne sais plus, épervier, tous ces jeux d’enfants cruels et sublimes, je les suis,
oh n’être que l’ombre de moi-même pour dresser sur ma vie ce miroir sans reflet (...) -
aménager le dehors
14 décembre 2011, par arnaud maïsettiligne de partage au-dedans, seulement la suivre, le doigt sur la couture de ce corps emprunté à la fatigue (lui rendre quand) ; la frontière intérieure brouillée entre trois territoires : le sommeil, la veille et ce qui les sépare, là précisément entre lesquels, moi, debout, debout encore, je marche, crie parfois (je m’entends crier oui, parfois, avec la voix des vieux gardes de Hamlet, sur le tour de ronde, en armures de guerre) : qui vive – qui vive me répond l’écho et je reconnais ma voix, c’est (...)
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Jonas Mekas | pour ça que tu vis
26 mars 2019, par arnaud maïsettin’es-tu jamais heureuse ?
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Aube mouvante
27 mai 2011, par arnaud maïsettiquelque part entre Bordeaux et Angoulême
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corps dévisagés
13 septembre 2010, par arnaud maïsetti14 photographies de statues (Collégiale Saint-Martin-de-Candes)
sept. 10 -
Avignon, rues sauvages
16 décembre 2010, par arnaud maïsetti17 photos et le nom d’Avignon dans son ombre déserte
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généalogie des masques
12 octobre 2020, par arnaud maïsetti12 octobre 2020
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Ingmar Bergman | Dévisager le regard
16 avril 2010, par arnaud maïsetti« une image-affection c’est le gros plan et le gros plan c’est le visage. » Deleuze
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A. Kechiche | Vénus Noire
2 novembre 2010, par arnaud maïsettiUn film de Abdellatif Kechiche | autome 2010
Histoires du regard -
Louis Imbert | Faces
2 septembre 2011, par arnaud maïsettisous la couverture presque blanche, une profonde réflexion sur les visages, par un correspondant de presse sur les champs de bataille du vieux monde
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Marseille | vues de la ville
22 décembre 2011, par arnaud maïsetti87 photos de Marseille
hiver 11 -
lendemains, guerres et larges
18 novembre 2015, par arnaud maïsettiPuisque tout ce qu’on écrirait ferait honte à ces jours. Et puisque ne pas écrire sur ces jours, ferait honte, aussi. C’est le piège. La tentation du large comme une façon de se sauver de ces laideurs : ou de fuir en lâche ? Aucune issue peut-être. Mais ne pas s’en tenir là.
Ces jours de tuerie, on ne comprend rien. On regarde les infos en temps réel : le temps réel, on le reconnaît à ce qu’il ne produit que de l’attente. Sur les chaînes d’info en continu, des bandeaux "URGENT" défilent, avec la mention : (...)