Du 23 novembre au 6 décembre, le metteur en scène Jérémie Scheidler est accueilli en résidence d’écriture à la Traverse, Centre d’Art Contemporain, à Alfortville, en partenaria avec le Studio d’Arts Numériques du Théâtre Studio d’Alfortville.
Je l’accompagne ces jours dans cette première phase de travail de l’écriture d’un spectacle destiné à une comédienne – Boutaïna El Fekkak –, et dont le projet mûri depuis près d’un an.
Layla, à présent je suis au fond du monde, commence à s’écrire désormais, sur le mur (...)
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_marche
Articles
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Layla, à présent je suis au fond du monde | Résidence La Traverse
28 novembre 2015, par arnaud maïsetti -
PaesineI | 86 fois la ville, ses légendes
19 décembre 2011, par arnaud maïsettiNotes à partir du travail de Nicolas Dion sur twitter
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Dans la désolation
18 octobre 2011, par arnaud maïsetti(dé-zo-la-sion ; en vers, de cinq syllabes) s. f.
1° Action de désoler ; résultat de cette action. Il mit en désolation le sanctuaire, PASCAL, Proph. 26.
… avancer dans la désolation, comme on fait le tour du propriétaire d’un lieu possédé par toutes mes vies passées…
En regardant de loin fumer leurs villes et leurs maisons réduites en cendre, ils pleuraient la mort de leurs proches et la désolation de leur pays, FLÉCH. Hist. de Théodose, I, 32.
… marcher dans la désolation et reconnaître chaque (...) -
je marche (interminablement)
16 février 2012, par arnaud maïsettiLA SOIF
J’appelle l’éboulement (Dans sa clarté tu es nue) Et la dislocation du livre Parmi l’arrachement des pierres.
Je dors pour que le sang qui manque à ton supplice, Lutte avec les arômes, les genêts, le torrent De ma montagne ennemie.
Je marche interminablement.
Je marche pour altérer quelque chose de pur, Cet oiseau aveugle à mon poing Ou ce trop clair visage entrevu A distance d’un jet de pierres.
J’écris pour enfouir mon or, Pour fermer tes yeux.
L’épervier, (...) -
P. Walsh | son nom, quelque part
7 octobre 2009, par arnaud maïsettiMr. Somewhere | The Apartments 
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Vietnam #4 | Sa Pa, dans ses poussières de pluie
4 novembre 2015, par arnaud maïsettile 8 octobre
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La Ville écrite | fuite ?
3 octobre 2016, par arnaud maïsettipar ici
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Récits de la création des Nouveaux Mondes #4
1er mai 2014, par arnaud maïsettique je marche
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Dimitri Vazemsky | Poésie/Poesia
31 décembre 2010, par arnaud maïsetti(et s’il n’y avait que ça…)
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Marseille | vues de la ville
22 décembre 2011, par arnaud maïsetti87 photos de Marseille
hiver 11 -
La Ville écrite | l’enfer n’est pas si loin
7 juillet 2011, par arnaud maïsettiÀ une lettre près, peut-être
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VIDÉO | Marche
2 juillet 2017, par arnaud maïsettidans la folie de la lumière
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imagine (marcher, la nuit roule dans mes yeux)
11 juillet 2012, par arnaud maïsettiAllons ! La marche, le fardeau, le désert, l’ennui et la colère.
Rimb. Une Saison en enfer
Oui, allons, marcher sur les mots de la ville comme des armées marchent sur une ville, et comme moi je m’arrête un peu, là, sur cet endroit de la page où je m’effondre ; non, ce soir, je n’irai pas plus loin : ce soir, je m’arrête sur la liste des prières de l’Islam, comme c’est étrange (et essentiel, évidemment) : je rêve sur leur nom moi aussi, mais je ne comprends pas le sens de cette Liturgie ; demain, (...) -
pour pouvoir vraiment la haïr
25 mai 2021, par arnaud maïsetti25 mai 2021
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c’était marcher
16 octobre 2016, par arnaud maïsettiLa crevaison pour le monde qui va. C’est la vraie marche. En avant, route !
Rimb.
Bob Dylan, Ain’t talkin’ (Modern Times, 2006) Seulement marcher – c’était, dans le contre-jour en descendant la Canebière, le mouvement, l’allure, l’aveuglement aussi, et la pulsation : face au jour qui s’effondrait de si haut, brûler ces jours. En fins de semaine, se retourner sur les causes d’un dimanche est toujours décevant : lundi, mardi, mercredi et fatalement jusqu’à cette ombre-là jetée devant soi comme un (...) -
La Ville écrite | regarde le ciel
24 octobre 2011, par arnaud maïsettiJ’obéis aux ordres – sur le théâtre d’opérations,
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théorème d’Archimède (propositions)
20 décembre 2009, par arnaud maïsettiDepuis peu, c’est le froid au visage qu’on éprouve au dehors dans la grande aspiration des rues contre soi : le froid qui secoue le corps depuis le crâne jusqu’aux doigts, qui fait trembler chaque pas ; le froid qui arrête et qui en même temps fait marcher plus vite — on entre dans la ville comme un corps plongé dans l’eau ; on est redressé au-dedans de soi par plus fort que son propre poids.
« Tout corps plongé dans un fluide au repos, entièrement mouillé par celui-ci ou traversant sa surface libre, (...) -
dans les déchirures du ciel
31 août 2011, par arnaud maïsettiBlue Skies (Lady & Bird, ‘The Ballad of Lady & Bird’, 2003)
Blue skies are in the middle of a winter storm / While your blue eyes are looking at me like before
Et le bruit éternel des roues en folie dans les ornières du ciel
Blaise Cendrars (Prose du Transsibérien)
Parfois, la couleur passée des choses sur moi ; je pense : c’est ainsi que les choses meurent. Quand je ne me souviens plus d’un visage, je le remplace par un autre, que j’invente. Est-ce possible de faire cela avec sa (...)