Écrire sur ordinateur ; enjeux, fins, et expériences
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_écritures numériques
Articles
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Écriture (numérique) du corps
17 février 2010, par arnaud maïsetti -
Publie.net | Bulletin n°10
20 janvier 2013, par arnaud maïsettijanvier 2013
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Herrou & Paringaux | Bruxelles Plic Ploc
19 février 2010, par arnaud maïsettijournal, textes et photographies en regard de la ville et de ses jours
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Liron & Dupuy | L’Évidence feuilletée d’un monde
1er mars 2010, par arnaud maïsettiSéries Landcape(s) - dévisager le réel, traverser les évidences, dévoiler le monde
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Du mot fantastique
6 octobre 2009, par arnaud maïsetti"littéralement et dans tous les sens...
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adresse #1 | au mort
10 mars 2010, par arnaud maïsettiMon frère, mon camarade, as-tu déjà vu le visage d’un mort ?
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Internet et littérature | d’autres usages du monde
20 août 2010, par arnaud maïsettiinternet et la prise en charge du temps réel
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Publie.net | L’appel de Bangkok, par Gwen Catalá
16 avril 2013abonnez-vous
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ombre et trace_
Christine Jeanney
5 mars 2010, par arnaud maïsettiparce que je ne sais pas voir qui fait l’ombre et la trace, du moins n’ai pas envie, l’immuable me lasse, et parce que les longs doigts dans l’herbe se reposent on dirait, parce que les signes les courbes les lignes les frontières sont belles de bouger, parce que la tête levée, parce que la tête baissée, parce que regarde bien ça va disparaître, parce qu’un bec un bossu une traine un serpent blanc, parce qu’un canevas couches se superposent, parce que terre feuilles herbes brindilles lumière branches un (...)
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lignes du sol
15 juin 2010, par arnaud maïsetti(sol) s. m.
1° Surface sur laquelle reposent les corps terrestres. à deux pieds du sol. Il ne faut pas bâtir sur le sol d’autrui. Le sol de cette ville est inégal. Un de ces beaux jours qu’on ne voit plus à mon âge et qu’on n’a jamais vus dans le triste sol où j’habite aujourd’hui, J. J. ROUSS. Confess. IV. Sur un plan, on pourrait dire cette rencontre possible ; sur un plan droit et posé sur le sol, dans l’axe de la rectitude des choses — il y aurait la possibilité de cette rencontre ; il y aurait (...) -
De la lecture comme flux
12 décembre 2009, par arnaud maïsettice qui passe dans la lecture, les énergies et les circulations que cela opère
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à lire | Claude Favre, textes et langues
18 décembre 2010, par arnaud maïsettisoutien à un poète important
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Affrontements | publie.net
8 décembre 2012, par arnaud maïsettiRécit numérique
Éditions Publie.net
décembre 2012 -
Ana Vittet | notes sur les Vases Communicants
29 août 2010Notes sur les vases communicants
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Rencontre publie / remue | 25 janvier
20 janvier 2013, par arnaud maïsetti« comment ça marche ? »
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twitter | noms des rues (Avignon sauvage)
9 décembre 2010, par arnaud maïsettiusage de twitter — sur le récit des villes
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le site, en mon absence
19 novembre 2010, par arnaud maïsettiVier Lieder op. 2 — "Schenk Mir Deinen Goldenen Kamm" (A. Schoenberg — au chant : Sandrine Piau)
« Ici a lieu l’avoir-lieu, lui-même sans lieu, sans espace réservé ni consacré pour sa présence, de la communauté : non dans une œuvre qui l’accomplirait, et encore moins dans elle-même en tant qu’oeuvre (Famille, Peuple, Eglise, Nation, Parti, Littérature, Philosophie), mais dans le désœuvrement et comme le désœuvrement de toutes ses œuvres. » Jean-Luc Nancy, La Communauté désœuvrée
Ces moments loin du (...) -
Dimitri Vazemsky | Poésie/Poesia
31 décembre 2010, par arnaud maïsetti(et s’il n’y avait que ça…)
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Publie.net : le blog !
20 janvier 2013, par arnaud maïsettisuivre l’activité éditoriale de publie.net
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vers Montpellier (et sa lumière nette)
29 novembre 2013, par arnaud maïsettiLong ciel de traîne, de Paris jusqu’à la neige : quand la neige apparaît sur la vitre du train, le ciel se lève, évidemment ; et c’est immense, on ne le mesure pas, c’est là. S’isoler des conversations vulgaires dans la rame de la voiture, cette personnalité qui tient salon au milieu de nous autres, bas peuple, qui nous fait tant sentir qu’on n’est pas du même monde. J’augmente la musique dans mes oreilles, doucement, ferme les yeux. Puis, c’est sur le quai, dehors, un froid plus vif de n’être protégé par (...)