Le port, au large d’Ouessant : c’est le lieu. Porz Goret, le nom du lieu ; pour le reste…
Oui, le reste appartient à ce temps entre les vagues et le vent, à la couleur du ciel contre les révoltes de notre époque. Le reste appartient à la répétition des jours battus contre les touches noires et blanches du clavier, nuits et jours qui se succèdent. Le reste appartient à nos vingt ans laissés quelque part dans une chambre d’internat, tandis que le vent tombe et que la musique est forte comme l’alcool et (...)
Accueil > Mots-clés > _Écrire > _adolescence
_adolescence
Articles
-
Yann Tiersen | Porz Goret
11 avril 2016, par arnaud maïsetti -
I. Le Besco | Bas-Fonds (par J. Scheidler)
22 février 2011, par arnaud maïsetti« Dans l’ère du soupçon »
-
Bertrand Cantat | l’art de l’abîme
17 décembre 2011, par arnaud maïsettiLa voix de Cantat, lors du spectacle Des Femmes, de Wajdi Mouawad –
Nanterre-Amandiers, décembre 2011 -
adresse #4 | à l’absente
17 juin 2010, par arnaud maïsetti« je suis dans la ville / ce qui t’encombre »
-
Lieu | mouvement, mais sans verbe #2
20 décembre 2016, par arnaud maïsetticomment un récit peut-il donner l’impression qu’on se déplace dans le réel qu’il représente ?
-
ce qui rend la vie inadmissible
17 septembre 2010, par arnaud maïsettiMan Of A Thousand Faces (Regina Spektor, ’Far’, 2009) Que je sois — la balle d’or lancée dans le soleil levant. Que je sois — la pendule qui revient au point mort chercher la verticale nocturne du verbe. Stanislas Rodanski
Je peux accepter — les pas du promeneur à minuit sous ma fenêtre, perdu, qui ne reviendra chez lui qu’au matin, et s’endormira ; je peux : et accepter encore les sourires du type à la dernière station du tram, allongé depuis l’aube jusqu’au soir, ivre pour oublier son nom et ce qui (...) -
Bruno Dumont | Hadewijch
15 mars 2010, par arnaud maïsetti"corps rayonnant"
-
Jérémie Scheidler | En pure perte
30 septembre 2007, par arnaud maïsettiL’échappée…
-
Patrick Grandperret | Meurtrières
24 février 2009, par arnaud maïsetti"jeunesses suicidées"
-
cette part monstrueuse
7 juin 2010, par arnaud maïsettiBack of your head (Cat Power, "Moon Pix", 1998)
Saw the back of your sweet mother’s head Now I know that she thinks I am dead Dans la plupart de nos vies, il y a cette part monstrueuse de soi à l’affut, derrière une rue plus oblique, sous un poids de souvenirs moins cachés, ou dans le crâne quand on se relâche, à l’aube et qu’on a finit de rêver mais pas de dormir. Revient la figure scarifiée d’une vie perdue : tel corps de désirs à s’emparer, tel endroit du monde où aller ; telle ligne à écrire qui (...)
0 | 10