Dans Barcelona — deuxième jour —, octobre : remonter ensuite vers la ville, ce qu’on voit d’elle d’en bas, les rues qui s’enfoncent dans d’autres rues à l’horizon, larges, et parfois qui bifurquent jusqu’à ce que — du ciel, on ne voit rien ; et qu’il faut se pencher sur nos ombres pour voir qu’une ombre plus grande les attire et les avale et les enfouisse quelque part où Barcelone n’est plus que cela, un dedans ouvert comme au dehors, avec des morceaux de vent qui entre par la lumière que l’homme a fait sur (...)
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