on les encercle
Accueil > Mots-clés > _Écrire > _théâtre
_théâtre
Articles
-
Dieudonné Niangouna | Dix ans de résistance théâtrale
14 janvier 2015 -
possibilités du théâtre
22 janvier 2010, par arnaud maïsettiSans un élément de cruauté à la base de tout spectacle, le théâtre n’est pas possible.
Antonin Artaud
Travées vides, rangées renversées au passage du regard, plateau abandonné à la pesanteur, poursuites traînées sur un bord du décor arbitraire, sans relief, accessoires éparpillés, costumes déchirés, d’une autre époque, d’un autre rôle pour une autre pièce.
Ma mémoire ressemble à un projet flamboyant et comme laissé en l’état.
Je passe devant lui sans rien toucher de peur qu’en déplaçant un objet tout (...) -
Genet, Koltès | Des politiques blessées
20 mars 2011, par arnaud maïsettiProposition de communication au colloque « Théâtre et Politique », à l’université de Bretagne Sud à Lorient – mars 2011
-
Heiner Goebbels | Les termes de la représentation
1er juin 2009, par arnaud maïsettiStifters Dinge, installation conçue par Heiner Goebbels [Gennevilliers, T2G] – juin 2009
-
Antonin Artaud : « Et qui / aujourd’hui / dira / quoi ? »
1er avril 2018, par arnaud maïsettiArticle publié dans Incertains Regards, Hors-Série n°2 « Pratiques de la voix sur scène », paru aux Presses Universitaires de Provence – avril 2018
-
perdre connaissance
11 juin 2022, par arnaud maïsetti11 juin 2022
-
Dieudonné Niangouna | « C’est quoi le problème du théâtre ? »
8 janvier 2015, par arnaud maïsettiEntretien pour Le Kung-Fu
-
pensées, flottements et dévorations (transfuges)
27 septembre 2013, par arnaud maïsettiL’imitation de la vie brouille la frontière avec la mort. Dans les plis de la frontière les deux mondes échangent des transfuges.
Robinson
Métro, RER – heure de pointe (jamais su le sens de l’expression) : le rythme lent et frénétique de la ville qui va, qui s’arrête, qui va, qui s’arrête, comme cela sur des kilomètres de ville tandis qu’on passe sous elle sans la voir, pourrait aller plus vite tant qu’à filer ainsi – et je pense doucement au berger des Basses-Alpes, qui se plaignait que l’Europe lui (...) -
Blackface au théâtre de la Sorbonne | Tribune des 343 racisé•e•s
28 avril 2019, par arnaud maïsettil’art de l’oppression
-
Avant-Scène | Autour de La Mouette, de T. Ostermeier (La Criée, Marseille)
10 octobre 2016, par arnaud maïsettiTREPLEV – Des formes nouvelles, voilà ce qu’il nous faut, et s’il n’y en a pas, alors mieux vaut rien du tout. (Il consulte sa montre.) La Mouette, de Tchékhov, mis en scène par Thomas Ostermeier, à Marseille du 12 au 14 octobre – belle occasion d’engager le dialogue avec un travail qui s’impose, depuis plus de dix ans, comme un geste d’envergure pour penser le présent et s’y frotter.
TREPLEV, sans chapeau, portant un fusil et une mouette morte. – Vous êtes seule ? NINA – Oui. (Treplev dépose la (...) -
Jrnl | Vous qui regardez
17 mai 2023, par arnaud maïsettiMercredi 17 mai 2023
-
pour nous, dans la nuit [Avignon #1]
11 juillet 2018, par arnaud maïsettiNous n’avons ici, dit-elle, qu’un soleil par mois, et pour peu de temps. On se frotte les yeux des jours en avance. Mais en vain. Temps inexorable. Soleil n’arrive qu’en son heure. Ensuite on a un monde de choses à faire, tant qu’il y a de la clarté, si bien qu’on a à peine le temps de se regarder un peu. La contrariété, pour nous, dans la nuit, c’est quand il faut travailler, et il le faut.
H. Michaux, Je vous écris d’un pays lointain
Plein ciel sur Avignon de nouveau – au pied de l’été donc, comme (...) -
de grands incendies
2 juillet 2011, par arnaud maïsettiBreathless (Cat Power (reprise de Nick Cave), ’The Jukebox’, 1998)
« It’s up in the morning and on the downs Little white clouds like gambolling lambs And I am breathless over you »
Plus tu auras réussi à écrire (si tu écris), plus éloigné tu seras de l’accomplissement du pur, fort, originel désir, celui, fondamental, de ne pas laisser de trace. Quelle satisfaction la vaudrait ? Écrivain, tu fais tout le contraire, laborieusement le contraire !
Henri Michaux, (’Poteaux d’angle’)
Temps de grande (...) -
d’en finir avec ces rues (et quelles ombres maintenant)
8 février 2013, par arnaud maïsettila soif de partir, la colère de n’être pas ailleurs, la faim des routes avalées pour en finir avec elles
Se dire : ce n’est qu’une manière comme une autre d’en finir avec les rues près de Saint-Lazare par exemple, ou des quais de Rivoli, et plus loin de la Meuse aussi — peut-être que certaines voix intérieures se taisent soudain quand on les entend, lâchées par d’autres. Se dire, ce n’est pas grave, c’est moins qu’une vie, si ce n’est pas la mienne tant pis, ce n’est rien — je dirai seulement : c’est la (...) -
Koltès | le théâtre et le corps de notre temps
16 mars 2010, par arnaud maïsettiNotes sur le corps sur scène – mars 2010
-
Théâtre / Public n°216 | En délivrance du sens
3 mai 2015, par arnaud maïsettiparution avril 2015
-
Les Tombeaux sont appelé des solitudes | Mise en voix au Théâtre National de Strasbourg
11 janvier 2013, par arnaud maïsettiLecture publique par les comédiens du TNS
8 février 2013 -
Tiers-Livre : « le théâtre c’est dedans »
29 novembre 2013, par arnaud maïsettiIntervention au colloque Tiers livre : François Bon à l’œuvre à Montpellier III – 29 novembre 2013
-
Colloque à Lyon | « L’indiscipline dramaturgique »
22 mars 2019, par arnaud maïsettiColloque à Lyon
-
Pièce audiophonique | Événements, de D.-G. Gabily
22 décembre 2019, par arnaud maïsetti2019