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_solitudes
Articles
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Peter Handke | « Accorde-toi le soleil »
31 janvier 2019, par arnaud maïsetti -
Rimbaud | Naissance de la mort
11 novembre 2014, par arnaud maïsettiLes derniers jours
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des portes sans battants
5 janvier 2019, par arnaud maïsettiDimension qui distend, qui augmente, qui en largeur s’étend, m’étend. Qu’est-ce qui arrive, qui dérive, musique qui me bague, qui me baigne. La tête pleine d’aubes, j’avance poussant des portes sans battants.
Plus de lassitude. Arc-en-ciel de merveilles. C’es si beau le renouveau : le matin pense de partout. Est-ce possible ? Est-ce vrai ? Le mal, l’inquiétant, l’interminable mal, une nappe, une invisible nappe l’a fait disparaître.
Félicité ! Je n’ai plus à descendre. Arrivée, une nouvelle arrivée. (...) -
Reiner Maria Rilke | « La Grande Solitude intérieure »
31 août 2012Être seul comme l’enfant est seul
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être exclu du spectacle
17 avril 2020, par arnaud maïsetti17 avril 2020
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Quand la nuit vient | Son visage #2
18 mai 2019, par arnaud maïsettiil n’en avait pas.
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je ne puis triompher qu’en rêve
4 mai 2020, par arnaud maïsetti04 mai 2020
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rêve des conjurations
5 avril 2020, par arnaud maïsetti5 avril 2020
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devant de plus faibles encore
11 avril 2020, par arnaud maïsetti11 avril 2020
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à part le siècle (le même âge que Kafka)
3 mai 2013, par arnaud maïsettic’est d’avoir appris, en feuilletant dans la rue ce Kafka que j’avais acheté le matin, qu’il était né en 1883 – comme moi, mais un siècle après –, que j’ai regardé cette peinture haute de toute la façade, et je me suis arrêté pour mieux la regarder, il y avait une jeune fille qui serrait la main de son amie en ne cessant de l’embrasser sur les yeux pour l’agacer un peu, et la faire rire (elle riait), et l’enfant qui se penchait sur sa poupée tombée sur le sol pour l’épousseter, et ce couple de vieillard, (...)
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Henri Michaux | « L’Étang »
23 avril 2020, par arnaud maïsettiLui demeure
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Franz Kafka | « Entre le public et le ciel »
25 décembre 2011, par arnaud maïsettiQuiconque vit abandonné et voudrait cependant, çà ou là,
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romantisme du confinement et privilège de classe
18 mars 2020, par arnaud maïsetti18 mars
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Babel ville morte
21 mars 2020, par arnaud maïsetti21 mars 2020
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Fiodor Dostoïevski | « Le poème du Grand Inquisiteur »
18 mai 2010Un jour, j’ai composé un poème
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A Filetta | Ne’n tarra ne’n celu
22 décembre 2015, par arnaud maïsettini sur la terre
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la fuite organisée des lignes
14 janvier 2010, par arnaud maïsettiTout ce qu’on écrit dans la torsion des mots, et qu’à force de tordre, ce qu’on saura en tirer : des lignes qui partent et ne reviennent pas, la fuite organisée des lignes qu’on plie pour ne pas qu’elles rompent.
Quand je m’arrête au milieu de la route et que la foule qui marchait du même pas que moi continue, c’est comme si la terre soudain s’écartait de moi : dans le vertige que cela provoque, on écrit non pas pour ramener la foule à soi, mais pour mesurer la vitesse à laquelle on s’est arrêté.
On (...) -
2016 | Un récit, Quand la nuit vient
3 janvier 2018, par arnaud maïsettic’est ce qui explique la nuit qu’on soit seul.
(Marseille, avril - mai 2016) -
Koltès | « Et puis toujours la pluie »
28 août 2010, par arnaud maïsettiLa Nuit juste avant les forêts : le raz-de-marée final
« il y a toujours dans ma tête, qui me reviennent tout d’un coup, des histoires de forêt » -
Koltès | 1981, La Nuit… de J.-L Boutté et R. Fontana
23 janvier 2018, par arnaud maïsettiLa Nuit… de Boutté / Fontana