Notes sur Tropiques du Cancer – photographies de Ulrich Lebœuf, avec des textes d’Alexandre Kauffmann. Paru au printemps 2016 aux éditions Charlotte Sometimes la page du livre sur le site de l’éditeur le site du photographe
Exposition . Du corps, on sait le danger. La nudité du corps est dans son visage, exposé sans défense ; tout entier là, le visage. Les hommes possèdent quelques ruses, et les femmes, la sagesse. Sur les images d’Ulrich Lebeuf, l’exposition du corps prend le risque du corps, (...)
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_désir demeuré désir
Articles
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Ulrich Lebeuf, Tropiques du cancer | au risque du regard
5 juillet 2016, par arnaud maïsetti -
adresse #8 | à ta croyance
12 septembre 2010, par arnaud maïsetti« D’avoir cru en toi me laisse inconsolable »
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J.-L. Godard | Le Mépris
22 octobre 2010, par arnaud maïsettiDu Mépris, et du désir de/du cinéma
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Paul Éluard | « Je rêve que je ne dors pas »
16 avrilparalysie du sommeil
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Bernard-Marie Koltès | 1983, L’Homme blessé de Chéreau — un témoin
23 avril, par arnaud maïsettitémoin du deal amoureux
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être étoile filante
30 janvier 2014, par arnaud maïsettiRembrandt | Le Retour du Fils Prodigue
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Réservé à l’affichage électoral | astres morts
18 juin 2017, par arnaud maïsettiPrisonniers des gouttes d’eau, nous ne sommes que des animaux perpétuels. Nous courons dans les villes sans bruits et les affiches enchantées ne nous touchent plus. À quoi bon ces grands enthousiasmes fragiles, ces sauts de joie desséchés ? Nous ne savons plus rien que les astres morts ; nous regardons les visages ; et nous soupirons de plaisir. Notre bouche est plus sèche que les plages perdues ; nos yeux tournent sans but, sans espoir. Il n’y a plus que ces cafés où nous nous réunissons pour (...)
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en quoi crois-tu ?
22 décembre 2018, par arnaud maïsettiHong Sang-Soo | The day after
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La ville écrite | je veux rencontrer quelqu’un
8 janvier, par arnaud maïsettije vis ici
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La Ville écrite | rien
7 mars, par arnaud maïsettiTo-morrow, and to-morrow, and to-morrow, / Creeps in this petty pace from day to day / To the last syllable of recorded time, / And all our yesterdays have lighted fools / The way to dusty death. Out, out, brief candle ! / Life’s but a walking shadow, a poor player / That struts and frets his hour upon the stage / And then is heard no more : it is a tale / Told by an idiot, full of sound and fury, Signifying nothing.
Wil. Shkspr C’est ce face à quoi on bute dans la nuit quand on marche dans (...)