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Plan du site
JOURNAL | CONTRETEMPS (un weblog)
Articles
- Jrnl | Que les conditions du temps et de l’espace
- Jrnl | Réellement vide
- Jrnl | Mais nous ne savons pas les entendre
- Jrnl | Des horizons sur mesure
- Jrnl | Les heures immobiles
- Jrnl | Puisqu’il y a encore à souffrir
- Jrnl | Du temps qui ne passe pas
- Jrnl | La perfection est impersonnelle
- Jrnl | Rien n’a encore eu lieu
- Jrnl | Qui pousse de nouveau des racines dans les siècles anciens
- Jrnl | Le nom de la chose
- Jrn | Dans le ciel de l’Histoire
- Jrnl | Seul, égaré, muet, et à pied
- Jrnl | Le soleil se mourant
- Jrnl | ignorants de la trappe des gouffres
- Chronique de Paris désert [#3]
- Jrnl | Chroniques de Paris désert [#2]
- Jrnl | Chronique de Paris désert [#1]
- Jrnl | S’armer de courage
- Jrnl | Et toute la plage s’effondre
- Jrnl | Le saut sur moi à l’aube
- Jrnl | Est-ce ancienne sauvagerie qu’on pardonne
- Jrnl | Alors que l’ombre peut tenir
- Jrnl | On ne partage pas ses gouffres avec autrui
- Jrn | Des formes qui ne tiennent pas dans les mains
- Jrnl | Égratignures du vent
- Jrnl | Dans ce nuage d’événements
- Ciels de Touraine
- Jrnl | être tenace
- Jrnl | Même l’eau soupire en tombant
- Jrnl | Plutôt mille fois être déchiré
- Jrnl | Ailleurs, n’importe où
- Jrnl | Dehors, c’est la fureur
- Jrnl | Cette nuit d’hiver
- Jrnl | Mais droit devant nous
- Jrnl | Dans les soleils d’automne
- Jrnl | Ne plus avoir pied
- Jrnl | Jamais
- Jrnl | Sur ma tombe où lentement j’arrive
- Jrnl | Contemporain de la vision qu’il permettait
- Jrnl | Le ciel et la fumée des hommes
- Jrnl | Sans aveux et sans larmes
- Jrnl | Des moyens qui feraient frissonner notre humanité
- Jrnl | Après Zarathoustra seulement
- Jrnl | Tandis que du passé vengé
- Jrnl | Toutes choses sont neuves
- Jrnl | Qui laisse une trace
- Jrnl | Un effroi après l’autre
- Jrnl | À l’intérieur apparaît le monde
- Jrnl | La vie en tant qu’elle échappe
- Jrnl | Cependant que l’instant s’enfuit
- Jrnl | D’une éternité de chaudes larmes
- Bertolt Brecht | Que doit-on déplorer ?
- Jrnl | Dans la toile de l’araignée
- Jrnl | Pourquoi pas des jardins suspendus
- Jrnl | Que salubre est le vent
- Jrnl | Les murs sont faits de peaux
- Jrnl | Aux heures d’amertume
- Jrnl | Qu’un seul de nous dans la tourmente
- Jrnl | Renoncer au monde
- Jrnl | En chute de pluie
- Jrnl | À quoi comparer ce monde
- Jrnl | Seul est vrai le présent, ce désert
- Jrnl | Vous qui regardez
- Jrnl | Ce qui n’est pas de ce monde
- Jrnl | L’une pour tuer l’autre
- Jrnl | D’accusation de violence
- Jrnl | Et tout le tremblement
- Jrnl | D’un nouveau corps amoureux
- Jrnl | Comme le négatif du monde
- Jrnl | La porte de ma chambre
- Jrnl | Que faire de son regard ?
- Jrnl | Dire à la mort : je me tiens face à toi
- Jrnl | Personne ne le disait
- Jrnl | Un fil tendu dont la longueur était infinie
- Jrnl | En sentinelle devant le vide
- Jrnl | Silences traversés des Mondes
- Jrnl | Puisqu’il est trop tard
- Jrnl | Exactement son prix
- Jrnl | Le premier instant dure toujours
- Jrnl | Qu’une vieille carcasse d’os
- Jrnl | Si vous êtes encore des pierres et des animaux
- Jrnl | Comme monde dans ton regard
- Jrnl | Bien ivre, sur la grève
- Jrnl | Dans cet état de somnolence hallucinée
- Jrnl | Tout se joue en parties incertaines
- Jrnl | Près du passé luisant
- Jrnl | Un point en mouvement
- Jrnl | Mystérieusement parmi les arbres nus
- Jrnl | Et le vent avec lui
- Jrnl | Est-ce pour toujours
- Jrnl | La force de penser davantage
- Jrnl | Et le soir, et la nuit
- Jrnl | D’un sommeil qui n’est pas la mort
- Jrnl | Fuir à travers les bois
- Jrnl | À mesure qu’on réalise le possible
- Jrnl | À ton visage perdu
- Jrnl | De la grisaille
- Jrnl | L’art du bourreau
- Jrnl | Et toutes les roues des fiacres
- Jrnl | Le seul état acceptable de la réalité
- Jrnl | Ce que nous pouvons voir
- Jrnl | L’histoire de cette « descente aux enfers »
- Jrnl | puisque rien là n’écoute
- Jrnl | Ouvrir le métro, la nuit
- Jrnl | Deux dangers
- Jrnl | La brutalité sociale de leur époque
- Jrnl | Tombant du haut du ciel
- La mer indéfinie
- Comment vivre
- Et la pièce toute noire ne se désemplit pas encore de l’écho incessant de mes pas
- Si différent du monde réel que soit conçu un monde
- La longue nuit sur l’horizon
- Le voleur de fleurs
- Pour échapper à la douleur et à la pénurie
- La proie d’un insultant cauchemar
- De si terribles choses en rêve
- Sois absolument silencieux et seul
- il n’y a pas de mer
- lorsque la lumière éclate
- dans l’extase une vérité
- le sang chante
- enfant de la forme vide
- contre cela tu peux toujours écrire
- rien n’est sans si
- il a fallu que je m’emmène avec moi
- le sacré qu’aucun sacré ne fonde
- le mot silence est encore un bruit
- remettre la réalité sur ses pieds
- la guerre des paysages
- au bruit qui n’en finira jamais
- la fin possible de l’effroi
- un violent « n’importe ! »
- voyez comme le feu se relève
- contre les montagnes
- la nuit est illuminée d’épines
- perdre connaissance
- mot pour mot
- une déperdition constante
- c’est pourquoi
- pendant qu’on est dans la vie
- l’idée de la pesanteur
- franchir le col
- sous quelles pierres
- un régime de silence
- par la soif
- se souvenir de ce qui reste à faire
- on ne saura plus bien ce qu’a pu être la folie
- la solution du problème de la vie
- l’eau des fontaines qui coulent en Ukraine
- achever un souvenir
- une existence
- de l’ombre d’une ombre
- ce que nous nommons chemin
- où je possède mon infini
- le soleil d’une vie différente
- ma propre fin au-dessus de ma tête
- hier, c’était pareil
- on peut désagréger le monde
- vivre en libre cours
- au solstice dans le ciel
- rien de plus
- quel mystère cherches-tu
- quelle histoire de terreur dit maintenant leur turbulence
- Paris embusqué dans la pénombre
- gares prochaines
- et je réponds : je ne sais pas
- la violence des rives qui enserrent le fleuve
- ce monde qui croupit ainsi dedans soi-même
- au vertige du visible
- vagues cauchemars
- qui ne viendra pas
- et mourir ce que j’aime
- les mots les plus simples doivent suffire
- comme au sommeil
- contre la lumière qui meurt
- nuit sombre au-dedans d’une pierre
- oh ! les pierres précieuses qui se cachaient
- le monde est la tombe où le néant pourrit
- la difficulté de délier
- te taire au nom de l’époque
- pour pouvoir vraiment la haïr
- à présent, comment serait-ce possible ?
- et tout le travail recommence
- chaque nuit la page consentie
- maudissez le monde
- au moindre mal
- jours hantés par le visage
- qui dérive peu à peu vers la nuit
- l’arène se vide
- la lumière est excessive
- les germes de la clarté
- par des chemins qui hantent les lointains
- qui racontera notre histoire ?
- rapidement chassés par le vent
- prends garde
- le seul délire vraiment inacceptable
- la porte était gardée
- en cendre tout devient possible
- tout était propice à la nuit et à la méditation indéfinie
- sa propre destruction comme une sensation esthétique
- les traces de sang sur terre
- la mer est noire et murmure
- à cause de tout ce qu’il nous fait perdre
- l’énergie du désespoir
- même un faux-mouvement
- le dernier ciel avant le prochain
- pour dépeupler un monde dont je suis absent
- généalogie des masques
- La mort sans phrase
- en de sombres temps
- entre possibilité et hypothèse
- règne des contraires
- comme si la clarté ne valait pas le vague
- le sommeil d’amour dure encore
- mais on y rêve
- comment respirer
- visages du masque
- le souvenir de son existence terrestre
- la crevasse dans le glacier
- dans la matière réfractaire que je suis
- imminente la décision entre folie et équilibre
- comme le mur sent la pointe du clou qu’on doit enfoncer en lui
- la joyeuse course à vide
- je ne puis triompher qu’en rêve
- vivre comme on y est obligé
- peut-être les regards des combattants me cherchent-ils à travers l’obscurité de la forêt
- de l’autre main, il peut écrire ce qu’il voit sous les décombres
- je me suis senti revêtu d’une cuirasse
- quelles forces reste-t-il à l’esprit qui divague
- désespéré du calme sinistre au milieu duquel on patauge
- puis la lumière du feu impérissable
- la possibilité de faire un commencement
- la main enchantée capable d’entrer dans la machinerie
- d’où la clarté mille fois réfractée de la lumière tombe sur moi
- dans notre propre main la volonté, ce fouet
- ne serait-ce qu’implorer son rêve,
- afin de te changer en celui que tu es
- se regarder comme quelque chose d’étranger
- tel un poing
- car il ne s’est encore rien passé
- être exclu du spectacle
- ramper hors de la porcherie en ruine
- une nuit plus sombre qu’aucune ne fut jamais
- si bien que tu dois travailler comme un fou
- la seule souffrance que tu puisses éviter
- mais le chemin mène aussi à ce lointain
- devant de plus faibles encore
- et ce n’est que de là qu’il peut être condamné et détruit.
- au-delà des fondations, la terre nue
- bien qu’on sache que cela se paye
- détruire le monde
- rêve des conjurations
- la mort, mais pas celle-ci
- l’air et le silence d’avant le monde d’après
- d’être fécondée par toi
- nous vivons dans une fausse croyance
- je ne jetterai pas l’ancre ici
- la seconde qui s’écoule entre deux pas faits par un voyageur
- couleur passée des jours
- ne faire que passer
- le temps qu’on pense la mort vivante
- un monde à l’ancre
- Babel ville morte
- le monde dont jusque là le reflet terni restait dehors
- essayez d’enfermer ceux qui le sont déjà
- romantisme du confinement et privilège de classe
- jusqu’à nouvel ordre, et quoi qu’il en coûte
- ces jours présents
- le chemin de crête
- rien plutôt que quelque chose
- quelque lointain que puisse être ce qui l’a laissée
- crépuscules des jours
- dans la direction de l’inconnu
- le pouvoir des artisans de la fin
- regards au loin
- vision du corps de Baudouin IV le Lépreux
- le déguerpissement, et la fuite amoureuse des morts
- tant qu’il y aura du temps
- et toujours la pluie
- sauve qui peut la nuit
- enjambe le ciel
- dans les haies d’Ajloun
- l’envers du deuil
- recommencer, rétablir le contact entre nos devenirs
- donner signes de vie
- être à la hauteur
- fuir la peste, organiser les rencontres,
- un champ de forces
- la nuit n’est pas (ce que l’on croit)
- tenir le fil
- alors il faut bien regarder devant soi
- à l’idée de chercher des théâtres
- les voltigeurs et puis quoi
- infusez davantage
- nuit ensauvagée
- l’histoire d’un jour
- enjamber la nuit le jour
- derrière le monde
- silence noir sans voix, équinoxe
- le point de sursaut et d’éveil
- passer les frontières
- par fort vent
- que notre force excède notre malheur
- sur le magnolia invisible et présent
- très loin dans les chemins
- les pâles du « non »
- un jour inespéré
- corps délié
- le continent de l’insatiable
- qui rejoignaient les autres nuits
- la nuit est une illusion des étoiles
- par ouï-dire
- que le commencement
- appels en absence
- et exister et mourir
- tendre visage
- où sommes nous
- quoi qu’il advienne
- ne plus vivre
- cendres du soleil
- des portes sans battants
- les aubes pas encore mortes
- solstice de l’aube
- comme le feu se relève
- est serment
- faire brèche
- de ces ruines et de ce calme
- sans être là
- ce n’est pas la pluie
- l’effondrement des murs de la ville
- brûler du feu des phares
- qu’un instant je revoie
- passe à travers les larmes
- sur la ligne de crête
- retenir l’effondrement et suspendre la fin
- devant la faille : la folie, ou la révolte
- quelques liqueurs d’or
- mille nuances de bleu, notre misère
- le plus vieux crâne d’Amérique du sud
- sous les drapeaux
- les présages du possible
- regarder le mur faire le monde
- qui vint à ma rencontre
- une trace ineffaçable
- la flamme brûle sans savoir qu’elle existe
- la tentation de l’abandon
- la parabole au fond des sables
- puisque le désespoir ne tient pas de journal
- mer hypocrite, image de mon cœur
- l’illusion comique [Avignon #5 et fin]
- derniers jours des derniers jours [Avignon #4]
- comme un oui vengeur [Avignon #3]
- alternatives aux alternatives [Avignon #2]
- pour nous, dans la nuit [Avignon #1]
- Marcher sur les deux rives d’une rivière est un exercice pénible
- les jours perdus
- et au soleil et toujours
- la musique creuse le ciel
- De Cerisy à Tours, sans passer par ici
- leçons lentes des jours intenses et rapides
- la prise de la ville
- loin de tous les soleils
- Nos bras s’écarteraient-ils si nous tournions sur nous-mêmes dans un univers vide
- mémoire des jours à venir
- change le monde, il en a besoin
- l’imminence, peut-être
- d’Auckland à Nîmes, et retour
- et la maladresse dans la lutte
- à distance, écrire à l’ombre de soi-même
- disharmonie numérique, ou la vie des ruines
- comme du commencement du monde à l’autre bout
- derniers feux, premières vagues
- qu’on en finisse avec l’année
- contredire le soleil du solstice
- apprendre à dire malesh
- de ce qui est inéluctable
- modernité de la pourriture
- silhouettes creusées à la surface de soi
- du jour des morts et de la nuit des vivants
- prendre le chemin perdu dans la forêt des signes
- d’une semaine l’autre : trains, correspondances et autres départs
- Paris dans Hanoi le soir
- puis quand vient l’automne brumeuse
- talisman en regardant l’art martial des vieillards
- d’autres mots pour les dire
- à l’inespéré
- comme une forme inachevée du présent
- de la surface des choses passées
- connexions déconnexions
- le tranchant de l’œil en éveil
- considérant d’ici la situation historique
- écrire (dans) les entrailles de la vallée de Saint-Pons
- Avignon, aller et retour
- Dans la chaleur d’Avignon et les ténèbres du moment
- l’homme seul et la mer
- mon état par défaut
- solstice perdu et spectres nouveaux
- des lieux comme des secrets
- comme la vie est lente
- le feulement des coyotes dans Châtelet - Les Halles
- furieuses envies, ou l’oubli
- ce qui ne marche pas
- rien des apparences actuelles
- un monde par défaut
- la campagne battait son plein
- il y était presque
- ciels de traine, formes du monde
- car rien n’a encore eu lieu
- ce qui régnait dans l’air de ces jours
- ce qui fait brèche dans le cours réglé du désastre
- la destinée du Paradis
- l’état de la France, juste avant la peau
- le cri des plaintes qu’on invente
- spectres, signe des temps
- ces autres manières de vivre
- aux printemps redoutables
- puisque beaucoup de choses nous affligent
- l’existence du terrible dans chaque parcelle de l’air
- où la brume vague
- le ciel, vu d’ici
- qui vive
- Noël, ou la solitude
- au solstice des amants
- d’hiver, lumière et deuil
- sans croire écrire
- comme une danse de cosaque entre deux maisons
- quels mondes & qu’en faire
- premier ciels
- c’était marcher
- épaves du vieux monde
- on se console avec la mer
- une vie, ou l’imminence
- d’une saison l’autre, oubli, ravage
- images du monde inéluctable
- en attendant, ne rien attendre
- habiter dans la conquête du vide
- l’automne, disent-ils
- dans ces jours d’ignorance
- feux aux portes de la ville, nuit en plein jour
- sagesse des arbres : de renier un mort ou méconnaître un Dieu
- foules du présent, images de ces jours
- le besoin de complots contre l’ordre du temps
- nuit semaine mois : prêts à vivre
- Avignon #fin | s’armer de courage
- Avignon #1 | se cogner la ville
- Arles, corps et âmes en secret
- une foule d’ombres
- dans le silence d’écrire
- solstice des vies passées, et à venir
- on sait le dehors hostile, et les foules déchaînées
- l’axe manquant de la ville
- noms de ville : le nom
- trois images du temps
- Le monde viendra s’offrir à toi pour que tu le démasques
- arrêter le mouvement
- la tombe de Jean Genet
- va, débrouille la nuit
- au milieu des ruines
- dans l’écriture des jours d’oubli
- du bout du monde
- nos solitudes agrandies (quelqu’un manque)
- les visages de mes trente-deux ans
- Marseille est une ville impossible
- derniers ciels
- les perspectives bleuâtres
- plongée dans l’année qui s’achève
- Paris, le froid et l’exil
- semaine des désirs furieux et du chaos fragile
- lendemains, guerres et larges
- ce jour pour adorer la nuit
- automne, loin des gens qui meurent sur les saisons
- Hong-Kong ville haute, et le nom de ces murs
- au lendemain de revenir
- jusqu’où la mer échoue
- après l’épuisement
- et puis rentrer, mais d’où ?
- Avignon, journal du silence : de sa fin
- Avignon, journal de l’épuisement : et du ravage
- Avignon, journal du soir : tristes critiques
- Avignon, journal du débord : l’arrivée
- Loin d’Avignon, chronique anachronique
- Le désastre de Bataille arraché aux murs de Marseille
- Vingt-et-juin, il fera peut-être nuit
- Passage Mc Kay : Marseille, le poète, le migrant et l’oubli
- Fable de la ville ravagée
- Galerie Mazarine et labyrinthes
- Cette nuit en longueur me semble sans pareille
- le nom des arbres : comment je tue le temps
- histoires de mes gares
- dans le jour qui s’épuise
- où tout plonge, abandonne-toi
- tendresse pour la sauvagerie
- l’éclipse de l’équinoxe
- Il n’y a pas de contradiction. Il y a une absence de ponctuation.
- l’insulte faite au chien
- Marseille ville urbaine traitée néfastement
- la résistance des jours
- comme du passé en action
- au bord des quais
- cherche, appelle,
- puisque ce monde est le nôtre
- plus que tout
- peut-être ce pays
- nuage et poussières
- cet Avant-Garde du Monde
- route que prenait le train dans le brouillard : histoire intérieure de la deuxième nuit la plus longue du monde
- à travers les laideurs, belle la nuit qui demeure
- rentrer dans la beauté terrible de cette nuit
- à mains nues (le vieil homme et la moto)
- novembre au lendemain des morts
- comme l’archéologie du temps
- nous sommes à l’occident (Londres)
- louange à l’équinoxe
- avec le soleil
- de la veille
- les pierres cachées de la ville
- In Aeternum : aujourd’hui, la mort de Saint-Just et des autres
- tout point de vue est le sommet d’une pyramide inversée
- la terre toujours recommencée
- dans les espaces vides de la ville
- les pages arrachées en miroir
- à perpétuité
- quelques lignes sur la croyance du temps
- axiomes
- morsure du jour, et cette douceur d’ancêtres vivants
- enfermé dehors avec jésus christ des saints des derniers jours
- là où il y a un chemin
- orsay, le soir ou l’aube
- le vieux Wu et les tombeaux de nos ancêtres
- les espérances
- le marchand de masques mortuaires
- entre les stèles, la ville
- les mots inconnus
- je veux bien que les saisons m’usent
- impossible en passant
- la cause des larmes
- et tomber (le vieillard mélancolique)
- aller, retour
- qui vive
- quelle boussole
- dans quelle nuit
- à quelle adresse
- où se perdre
- au silence qui lui est propre
- comment mesurer les tremblements de terre
- comment respirent le ciel et le sable
- par où les déchirures du ciel
- que faire
- quand s’ouvrent les premières Eucharis
- où respirer la puissance
- comment porter le deuil de l’hiver
- la ville est impossible (ciels d’ouest)
- mille passus meare (désormais)
- Spoliatis arma supersunt (passe d’armes)
- ab irato (l’impitoyable)
- In absentia (de quelque chose noir)
- Tempora mutantur et nos mutamur in illis (se consacrer à la mesure du temps)
- Mihi cura futuri (et le ciel féroce)
- Aut viam inveniam aut faciam (un trajet)
- Respice finem (sous les hurlements d’oiseaux fous)
- Amor fati (changer le passé)
- Sit tibi terra levis (je veille)
- Quod scripsi, scripsi (les roumains)
- Vincit qui patitur (la brume)
- Camera obscura (les courses vives)
- Tempora si fuerint nubila, solus eris (le sacrifice de l’ombre)
- a mari usque ad mare (la reliance)
- ô tempus edax (le viaduc)
- entre (en silence la fatigue)
- il peut arriver que l’on s’impatiente un peu (zone de silence)
- légendes de mes corps morts (ciel noir d’images)
- ces jours singuliers (qu’on retient comme des caresses)
- de l’écume des choses (du désir de se préserver du monde)
- à la nuit tombée (et au temps qu’elle met)
- de la vitesse (comme emportement)
- les arbres nous regardent (le geste de toute une vie)
- d’aller au-devant (pensées contre les dépôts de bilan)
- le vingt-et-un décembre, d’hiver (son miracle demain)
- si je tenais un journal (habiter le mot encore)
- la neige, la lune (un corps dans l’éloignement)
- couloir du jour (en traverser chaque seconde)
- la trajectoire amoureuse (après la dévastation)
- François Bon | Du repliement des morts sur la ville
- Montpellier, en partant (de la grue, des bancs et des valises défaites)
- vers Montpellier (et sa lumière nette)
- la déchirure du ciel (ode & cataclysme)
- le centre vide de la ville (il y a beaucoup de ciel)
- des corps levés (cette danse sur des millénaires)
- les lieux où on écrit (le pendu)
- le temps propre (anachronisme parfait de Saint-Just)
- qu’ai-je fait de la lumière (comme d’un voile)
- le geste de Diogène (accepter)
- auprès du soir et de l’aube (tout ça pour ça)
- prendre le temps (mesure du monde)
- heures du jour (avec le bruit lointain de cette ville)
- lumière & folie (reprendre possession du désir)
- les deuils impossibles (nos disparus)
- ou la vie sauvage (les territoires de l’amour)
- la ville n’est pas loin (sur les lèvres, les cavatines)
- pensées, flottements et dévorations (transfuges)
- dépôt de lumière (vies et mort de Milon de Crotone)
- cette ville (l’ombre loin de mon corps)
- l’imprédictible (savoir faire la planche)
- reprendre pied (et grâce au ciel)
- de son ombre
- l’or du soir (dernier regard sur la ville)
- en attendant le bateau (folie des assauts)
- au coucher de soleil (comme une harmonie)
- gloire au Sophora (solitude des villes plantées ailleurs)
- issue du ciel (planter un arbre)
- le temps aura passé (comme une déchirure)
- Paris, sur certains reflets (Rimbaud et ses chutes)
- Pour quelques lignes de vie (la chair brûlée)
- en restant vivant (ma place sous le ciel)
- l’éclair sans tonnerre (ou l’attente sous la Mosquée)
- cette nuit d’orage (qui ne vient pas)
- faire continuer le monde (les cris psalmodiés dans les rires)
- et demain sera jour (bien tôt)
- les notes que je m’adresse (mes cimetières)
- les lignes configuratives (l’interruption sur la main)
- la ville Narcisse (et, loin, les roseaux tremblés)
- dès longtemps dévorée, la rose (et le tas de cendre)
- au pied de la vie (le front touche le ciel)
- l’autel (rue Ponscarme)
- au mois de juin (mais voilà, à la fin)
- regarde le ciel (et le Mistral tomber)
- comment je pourrais le dire (ainsi)
- l’horizon qui encercle (et donner le change)
- à part le siècle (le même âge que Kafka)
- le portrait de mon visage (nous étions presque arrivés)
- dans le vent avenue de france à découvert (Si sur ce rivage, ici, mes empreintes)
- pensées en remontant rue Tolbiac (dans la broussaille des flancs le bonheur)
- la levée (où le soleil s’est pendu)
- au touchant du monde (paume contre paume)
- la procession des équinoxes (pouvoir de l’Est)
- la foi seule (à commencer par le temps)
- l’acquiescement (pourquoi pas toujours)
- raison merveilleuse et imprévue (le geste de nos mains)
- la faculté d’admirer (tremblé des perspectives)
- ce qui tient lieu de royaume (la voix d’Eurydice)
- le fleuve continue de passer (dans l’éloignement)
- d’en finir avec ces rues (et quelles ombres maintenant)
- mille nuits (et une nuit)
- merveille du dehors (des jardins dans le mirage)
- les vies antérieures (et la neige éternelle du sol)
- des cris (un peu)
- le monde n’a pas fini (finalement)
- et dépêchez, chevaux de leur âme (déjà voici que la nuit tombe)
- la poésie est-elle encore impossible ?
- devenir mon propre corps (songer)
- François Bon | Une réorganisation du monde
- ce qui toujours se relève (au lieu du théâtre)
- la nuit d’après (pour garder le chemin)
- la roue du temps (shalom shabbat)
- sarcophage (que l’on referme)
- la ville est un sas (et la lumière)
- le maître est là (et il t’appelle)
- pourquoi vous prenez les voitures en photos
- car, (s’éloigner)
- recommencer les murs (passage)
- où vont les courses folles (malédictions du soleil)
- de l’oubli dont ces jours sont faits (chemin arraché)
- d’autres fauteuils (d’autres signes)
- vie dans un fauteuil (vide, et l’appel)
- tombe (mais ne chute pas)
- imagine (marcher, la nuit roule dans mes yeux)
- les vents de l’orgueil, peu apaisés (crépuscules)
- quand je fondais la terre (l’arbre de vie)
- Maison de vitres encore ruisselante (mes visages défaits)
- La foule, les toits d’or (du jardin de la beauté, saccage)
- « la lumière vient de ce qui se laisse détruire » (Supernova)
- ruissellements, soleils (sommeil aux cris de la foule)
- images du jour passé devant moi (le phantasme du boucher)
- places de l’imaginaire (jamais nous ne travaillerons)
- le lendemain ou un autre jour (changer de brouillard)
- respire marche pars va-t’en (la douceur infinie)
- le soleil se couche jusqu’ici (Québec)
- monde neuf (une île)
- retour du désert (au sexe des nuages)
- d’aucun testament
- instamment, les guérisons (et la vie en dépeupleur)
- ce châle effiloché (sur des coffres remplis d’or)
- au bras des ombres
- dehors est le monde
- l’ombre de moi-même
- les cheveux flagellés par le vent des tempêtes (la rage, la noirceur, et les visions premières)
- le sabbat dans une rouge clairière
- de chaque Monade
- je marche (interminablement)
- ombres des bancs
- le cercle qui m’est assigné
- l’heure prime
- vingt-neuf fois mille et une nuits
- fonds obscurs des contes ancestraux
- « Napoléon en haillons (et les mots qu’il disait) »
- solstice intérieur
- la pluie sauve
- toute folie bue
- aménager le dehors
- sur les parois de mon ombre
- les mille rapides ornières de la route humide
- (dans l’éloignement)
- lève la tête
- au hasard de la nuit
- pleure la ville
- la colère et la tendresse
- entre les tours
- l’art de dormir
- de peur
- des mers virides
- des beautés singulières
- eschatologies (de la course à pied)
- poursuites
- toujours là
- harmonies (des lignes brisées)
- vitesse et précipitation
- sagesse du mendiant
- éperdument
- ce navire à l’ancre
- une cartographie sans territoire
- midi quotidien
- du désespoir d’écrire
- Une légéreté translucide_
Isabelle Pariente-Butterlin - dans les déchirures du ciel
- regards de Saint-Sébastien
- New-York, face au vent
- orgueil du silence
- chemin de cairns
- terrifiance
- racines mouvantes
- quel passeur – pour quelles rives ?
- mes fantômes, plus désirables
- des restes de silence dont on ne sait que faire
- dans l’éloignement
- Le ciel a fait son temps
- cette lettre (dans la mouvance entière des choses)
- pour couper les ailes de l’aigle
- horizons battus
- pour décrire la fatigue
- devant cette porte
- d’une vie bâtie comme un hôtel
- de grands incendies
- terminus — départs
- et le reste,
- ces enfants qui n’ont pas vu la lumière
- les lointains sont par trop loin
- passer le temps
- ce qui commence maintenant
- freight train (blues)
- tendresses du bourreau
- la dune — vestiges d’un désir
- scènes d’un théâtre mental
- mes usines
- Village des Batignolles
_Sarah Cillaire - faire boiter la réalité
- le long couloir du jour
- rentrer, déblayer, écrire
- aux reflets des villes
- enfer de la soif (partir)
- un dépli — dans la chambre du mort
- le rêve comme un visage ; un livre
- pour être purs quelque part
- morsures à l’appel du temps
- aujourd’hui neuf avril (naître par le monde)
- Court et slovaque
_Nicolas Ancion - la mer est calme, et ses tempêtes
- Ce qu’au théâtre on nomme lumières noires
- pour toujours
- toutes les lettres coupables (et rêves d’ivresse)
- histoires du jour (Zeppelin)
- formes du silence
- Fenêtre suspendue dans le noir_
Ana nb - le point d’interruption
- monocordes
- Angoulême, fantômes de ville
- l’absence à l’histoire
- fenêtre oubliée
- il n’est pas bien organisé le temps
- anyone
- entr’ouvert
- mouvements de foule
- Il n’y pas si longtemps que j’ai revu la mer et foulé le pont des vaisseaux
- ces moments de veille
- mise à jour (et faille de sécurité)
- laisser les pages ouvertes
- pas même la pluie
- dans le désir et la volupté
- de peupler les dehors
- à cette heure qui n’en est pas une
- aube du soir
- comment rejoindre ?
- porte battante
- manque de carnage
- Felt_KMS
- la chambre de vision
- ballade — solutions d’un rêve
- ces feux à la pluie
- en coup de vent
- la forme des lettres change plus vite, hélas, que le cœur de la ville
- le site, en mon absence
- nouvelles du jusant
- ensemble, l’oubli
- Où m’emmènent leurs noms_
Laurent Margantin - des cadavres en moi
- ce tombeau très loin sous la terre
- contre ce mur surgi
- le dessein des villes
- le monde insaisissable
- aux pensers enragez
- à quai
- page deux cent une
- le tiers coupable
- home
- entrées maritimes
- deux villes
- comme d’un mort son visage
- mémoire du feu, journal
- Entrer, sortir. Une échappée poétique_
Geneviève Dufour - dans l’état de l’apparition
- sillons
- des écrans
- géométrie du vide
- perspectives d’arraisonnement du réel
- ce qui rend la vie inadmissible
- confluences
- le soleil ni la mort
- lignes de partage
- temps morts (et revenants)
- manifestement
- projets pour une vie future
- vies de la Sibylle de Panzoust
- marcher dans cette ville_
Stéphanie Khoury - dans son apothéose
- chaque jour suffit sa pierre
- sortie littéraire
- la levée des étangs
- angles durs
- de la cime à l’abîme
- visiter les corps
- vue imprenable
- chercher une prise
- ville après usage
- recommencer le jour
- Perspective stream_
Jérémie Szpriglas - les caves-aux-fièvres
- chalance
- pas de souvenirs
- perspectives
- emmuré
- l’accès à la plage est aux chiens
- cette nuit (d’artifice)
- une image de la fin
- pas de témoin pour cette nuit
- éparpillement du livre
- aucune succursale
- soir à montorgueil
- la Chartreuse
- Les lignes de désir_
Pierre Ménard - marches de la foule
- signes et analogies (démons)
- il y a toujours quelque chose
- entrailles des villes
- le dernier jour de l’année : blasphèmes
- fatigues
- lignes du sol
- aboiements
- éternités des crânes
- la clé de voûte
- cette part monstrueuse
- planifier les combats
- Par où on s’évase_
Louis Imbert - dogme (de la lumière)
- la route la plus solide possible
- à l’aveugle
- incendie
- reflections
- six choses
- défaites
- griffures
- de la précision (et de la justesse)
- en travers
- l’instant d’après
- galeries
- plongée (contre-plongée)
- tour du cadran
- Hors jeu_
Jean Prod’hom - hâte ; et bascule
- retour(s)
- geste mécanique du matin (Chopin)
- derrière la cloison
- corps noir
- mises à jour
- étagères vides ou vidées
- offres et demandes
- façades
- une espèce d’œil double
- frontières ; aubes
- cette ville n’est pas la mienne
- Saint-Thomas
- effacements
- leur mort en moi qui mord_
Michel Brosseau - de l’eau sous les ponts
- défaites
- éphéméride de chaque minute
- jour passé
- nous approcher
- identités
- foules
- histoire de lignes
- contre-tendanciel
- ombre et trace_
Christine Jeanney - infusez davantage
- veillées d’armes
- temps mort
- à forte croisée
- à peine (réveillé)
- composter
- nos images
- une vague après l’autre
- contre-histoire
- arme par destination
- d’en haut
- porte condamnée
- née ici_
Anne Collongues - ligne 13, adresses
- les marcs des nuages
- à la ligne
- en regard
- le tremblé du vide
- de loin en loin
- possibilités du théâtre
- miroir, le long d’un chemin
- persistance rétinienne
- ramasser le jour
- la fuite organisée des lignes
- poser le regard
- silence des sphynx
- intériorités des ponts
- au revers
- mises à jour
- celui dont l’âme pèse de cailloux_
Daniel Bourrion - fins du jour
- arrière-monde
- sur le fil, bras tendus
- autoportraits
- théorème d’Archimède (propositions)
- sans vis-à-vis
- garder le silence
- le talisman
- on est à l’abri
- canal saint-martin
- lieu où écrire_
Joachim Séné - en quinconce
- la loi de cette ville
- porte battante
- ma maison
- d’une ville à l’autre
- sentinelle
- la maison
- au-delà
- le toit de la ville
- n’habite pas (encore) à l’adresse indiquée
- peur du jour
- transparaître
- récurrences
- fins du rêve
- généalogie du froid
- liste des priorités
- les églises
- plaine noire
- le cri | Annie Rioux
- (la direction)
- murs, qui entourent une ville
- lignes tracées
- pas à pas
- aller vérifier la ville
- calques
- signes (et quelques vers de Hugo)
- des chantiers qui s’ouvrent
- essai de formulation du jour
- volets tirés
- quand on fait silence en soi trop longtemps
- de la plus haute tour
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- menaçant
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- je courrais sauvage _
Mahigan Lepage - devant quoi on s’avance
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- éloignement
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- (de la justesse)
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- Imaginer (HLA DR4)_
Olivier Guéry - adresses
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- hors l’oubli
- tension objective
- ouverture
- invention du jour
- ce qui n’est pas possible
- la coupure
FICTIONS DU MONDE | RÉCITS
- Atelier Tiers-Livre | Le grand carnet
- Nom de pays
- Des hypothèses
-
Quand la nuit vient (un récit)
- 2016 | Un récit, Quand la nuit vient
- Quand la nuit vient | Epilogue (le feu et la cendre) #60
- Quand la nuit vient | Les soulèvements #59
- Quand la nuit vient | L’Amour [4] – elle s’éloignait #58
- Quand la nuit vient | Que tu sortes de ta maison #57
- Quand la nuit vient | La dévoration #56
- Quand la nuit vient | Courir #55
- Quand la nuit vient | Le mal de crâne #54
- Quand la nuit vient | Les portraits #53
- Quand la nuit vient | La fissure sur le mur #52
- Quand la nuit vient | La jungle #51
- Quand la nuit vient | Le train la nuit #50
- Quand la nuit vient | Le cinéma #49
- Quand la nuit vient | Perdus #48
- Quand la nuit vient | Les bus manqués #47
- Quand la nuit vient | Le sursaut #46
- Quand la nuit vient | Le musée #45
- Quand la nuit vient | Dans les rues #44
- Quand la nuit vient | Le Froid #43
- Quand la nuit vient | Le Glas #42
- Quand la nuit vient | Les Murs de la ville #41
- Quand la nuit vient | Les Pensées [7] – Ailleurs #40
- Quand la nuit vient | Nos Luttes #39
- Quand la nuit vient | Le Ciel #38
- Quand la nuit vient | L’Amour [3] – La Force #37
- Quand la nuit vient | Le Silence #36
- Quand la nuit vient | L’Insomnie #35
- Quand la nuit vient | Le Cimetière #34
- Quand la nuit vient | Enfance [4] – Visage des morts #33
- Quand la nuit vient | Les Pensées [6] – L’Absent #32
- Quand la nuit vient | L’Orage #31
- Quand la nuit vient | L’Enfance [3] – Veiller #30
- Quand la nuit vient | Souffler #29
- Quand la nuit vient | La Photographie #28
- Quand la nuit vient | Les Pensées [5] – La Paix #27
- Quand la nuit vient | La Musique #26
- Quand la nuit vient | Les Pensées [4] – Trafics #25
- Quand la nuit vient | Chaleur, Silence, Solitude #24
- Quand la nuit vient | Les Pensées [3] – Le passé #23
- Quand la nuit vient | Les Manifestants #22
- Quand la nuit vient | Les pensées [2] — la poussière #21
- Quand la nuit vient | Son nom #20
- Quand la nuit vient | L’Amour [#2] — le train #19
- Quand la nuit vient | La lenteur #18
- Quand la nuit vient | Enfance [2] — la foi #17
- Quand la nuit vient | La rue #16
- Quand la nuit vient | Les Pensées [1] — la mer #15
- Quand la nuit vient | L’Amour [1] – le Fleuve #14
- Quand la nuit vient | Enfance [1] – les Immortelles #13
- Quand la nuit vient | Les guerres #12
- Quand la nuit vient | Les larmes #11
- Quand la nuit vient | La crise #10
- Quand la nuit vient | Les papiers #9
- Quand la nuit vient | Le journal #8
- Quand la nuit vient | Les arbres #7
- Quand la nuit vient | Les mains #6
- Quand la nuit vient | Le métro #5
- Quand la nuit vient | Les écoles #4
- Quand la nuit vient | La chambre #3
- Quand la nuit vient | Son visage #2
- Quand la nuit vient | Le sommeil #1
-
Les villes qui n’existent pas
- Les villes qui n’existent pas | Null Island
- Les Villes qui n’existent pas | Marioupol
- Les villes qui n’existent pas | L’île de Bermeja
- Les villes qui n’existent pas | Eldorado
- Les villes qui n’existent pas | Tchernobyl
- Les villes qui n’existent pas | Le village allemand de Dugway
- Les villes qui n’existent pas | Jéricho
- Les villes qui n’existent pas | Çatal Höyük
- Les villes qui n’existent pas | Monde enfermé dedans
- Les villes qui n’existent pas | Paris, rue Beauregard
- Les villes qui n’existent pas | Byblos
- Les villes qui n’existent pas | Ghjirulatu
- Les villes qui n’existent pas | Guanahani
- Les villes qui n’existent pas | Villages Potemkine
- Les villes qui n’existent pas | Babel
- Les villes qui n’existent pas | Atitlán
- Les villes qui n’existent pas | Tombouctou
- Les villes qui n’existent pas | Détroit
- Les villes qui n’existent pas | Troie
- Les villes qui n’existent pas | Atlantide
- Les villes qui n’existent pas | Bielefeld
- Les Extases
-
Éblouissements Bataille
- Georges Bataille | Les chemins de la philosophie
- Georges Bataille | Une vie, une œuvre, de Françoise Estèbe et Julie Beressi, 2012
- Georges Bataille | Une vie, une œuvre, de Catherine Pont-Humbert, 2007
- Georges Bataille | Une vie, une œuvre, de Roland Auguet et Christiane Mallarmé, 1985
- Georges Bataille | « et même un arbre foudroyé »
- Georges Bataille, entretien 1951 | Le délaissement et l’aveuglement #6/7
- Georges Bataille, entretien 1951 | Se supprimer #5
- Georges Bataille, entretien 1951 | L’intensité #4
- Georges Bataille, entretien 1951 | Dieu, ou rien #3
- Georges Bataille, entretien 1951 | Qui êtes-vous ? #2
- Georges Bataille, entretien 1951 | Lire son visage #1
- Georges Bataille | La vérité de la nuit
- Du lieu (un atelier Tiers-Livre)
- Des vies noires
- Des personnages (atelier Tiers-Livre)
- Marseille quai Est
-
Anticipations
- anticipations #25 | Nuits de Walpurgis
- anticipations #37 | Passer de l’autre côté
- anticipations #51 | se venger
- anticipation #50 | dans la salle d’attente
- anticipation #49 | virginités
- anticipation #17 | L’Effondrement
- anticipation #48 | rejoindre (le pont)
- anticipation #47 | langue morte
- anticipation #46 | le rêve de nos pères
- anticipation #45 | Les maisons empêchent de voir la ville
- anticipation #44 | Babels intérieures
- anticipation #43 | stades où crier
- anticipation #42 | corps mystique du livre
- anticipation #41 | ne pas détruire
- anticipation #33 | les prisons
- anticipation #38 | tout le reste
- anticipation #35 | pays de propriétaires
- anticipation #34 | les champs
- anticipation #32 | messages
- anticipation #31 | des couloirs
- anticipation #30 | le train
- Lendemains de fête
- fictions instantannées
-
Aubes
- Aubes | XVI. (N’importe où hors du monde)
- Aubes | XV. (Quand on regarde le soleil)
- Aubes | XIV. (Berlin)
- Aubes | XIII. (Le théâtre est vide)
- Aubes | XII. (Sur la place)
- Aubes | XI. (Alors voilà)
- Aubes | X. (Sans un mot)
- Aubes | IX. (Au bout d’un temps)
- Aubes | VIII. (La gamine avait tout vu)
- Aubes | VII. (De quelle amertume)
- Aubes | VI. (La lumière frappait le sol)
- Aubes | V. ( Lorsque Victor gagne la place)
- Aubes | IV. (Chaque chose à sa place)
- Aubes | III. (Au réveil pour toujours)
- Aubes | II. (Victor avait pris par le sud)
- Aubes | I. (L’aube est un grand mur)
- Aubes | Prologue
- Du visage des morts
-
Bruissements
- Bruissements | le mur
- Bruissements | texte intégral
- Bruissements | le dernier mur
- Bruissements | Léa Bismuth, curatrice : « construire un poème assez libre »
- Bruissements | dans la presse
- Bruissements | vues de l’exposition
- Bruissements | l’exposition, son projet
-
Bruissements, un journal
- Bruissements | jour#36, le dernier jour
- Bruissements | jour#35, l’avant-dernier jour
- Bruissements | jour#34, le trente-quatrième corps jeté
- Bruissements | jour#33, la trente-troisième heure
- Bruissements | jour#32, le trente-deuxième degré
- Bruissements | jour#29, la vingt-neuvième deuil
- Bruissements | jour#28, la vingt-huitième manière de prendre la route
- Bruissements | jour#27, la vingt-septième convulsion
- Bruissements | jour#26, le vingt-sixième mystère
- Bruissements | jour#25, la vingt-cinquième terreur nocturne
- Bruissements | jour#22, le vingt-deuxième continent
- Bruissements | jour#21, le vingt-et-unième rêve
- Bruissements | jour#20, le vingtième dieu
- Bruissements | jour#19, le dix-neuvième pas
- Bruissements | jour#18, le dix-huitième pays
- Bruissements | jour#15, le quinzième souffle
- Bruissements | jour#14, le quatorzième lendemain
- Bruissements | jour#13, le treizième coup de minuit
- Bruissements | jour#6, le sixième s’appelait Sérapion
- Bruissements | jour#5, le cinquième souvenir
- Bruissements | jour#4, le quatrième nom
- Bruissements | jour#2, le second jour
- Bruissements | jour#1, le premier bruit
- Le monde loin derrière nous
- La route, un récit
-
autoportraits
- Autoportrait à la solitude de Gilgamesh
- Autoportrait au mur
- Autoportrait à l’autoportrait
- Autoportrait à la brisure
- Autoportrait à la transparence des corps
- Autoportrait à la fragilité de la phrase
- Autoportrait au visage troué
- Autoportrait en chinois
- Autoportrait à la flaque
- Autoportrait aux chaises
- Autoportrait aux yeux fermés
- Autoportrait au crâne rouge
- Gazels (au fond de la nuit)
- Discours & Jardin
- Ghazals pour temps présent
-
[ Tondi ]
- [Tondi] | ce qui suffit à tout humain
- [Tondi] | portant les dieux
- [Tondi] | dans une cage suspendue
- [Tondi] | je meurs de soif
- [Tondi] | Eh non
- [Tondi] | les forêts
- [Tondi] | ensuite, une grande ville
- [Tondi] | avoir part à l’ombre
- [Tondi] | dans l’air la sécheresse
- [Tondi] | plusieurs garçons parmi les herbes folles
- [Tondi] | pour rideaux l’ombre de la colline
- [Tondi] | alors qu’autrefois
- [Tondi] | les animaux qui sont sur terre
- [Tondi] | drame à stations
-
La ville écrite
- La ville écrite | Carrefour du passé
- La ville écrite | Babylone
- La ville écrite | La lutte conte
- La ville écrite | Justice pour
- La ville écrite | c’est quoi le plus important
- La ville écrite | Ruine
- La ville écrite | [a]mour
- La Ville écrite | Le Paradis
- La ville écrite | c’est la fin
- La ville écrite | Adieu
- La ville écrite | Nature ⬆️
- La ville écrite | Sol / Bord
- La Ville écrite | ‡Ò∂ƒfi¬µß‹≈©◊
- La Ville écrite | Théorie des erreurs
- La ville écrite | Des horizons
- La Ville écrite | Maintenant disponible
- La Ville écrite | et si présent dans le monde
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- La Ville écrite | La Fin d’une Époque
- La Ville écrite | ce mardi 15 juin 1981
- La Ville écrite | Émeute toi
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- La Ville écrite | celles qui
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- La Ville écrite | le capitalisme
- La Ville écrite | flânage interdit
- La Ville écrite | Marseille : vivez,
- La Ville écrite | pour une vie avant la mort
- La Ville écrite | Violet
- La Ville écrite | les chats sont l’opium du peuple
- La Ville écrite | KafKafKafKa
- La Ville écrite | Ridiculous
- La Ville écrite | Queer-anarco (squatters)
- La Ville écrite | à l’éducation
- La Ville écrite | et soudain
- La Ville écrite | toujours des promesses
- La Ville écrite | de quel amour
- La Ville écrite | Laisse-moi
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- La Ville écrite | Au-delà des possibilités & des joies de mon esprit
- La Ville écrite | rage
- La Ville écrite | tusle
- La Ville écrite | ses prisons
- La Ville écrite | éphémère, désespoir pour l’éternité
- La Ville écrite | skatebording is (not) a crime
- La Ville écrite | ici, parmi les vivants
- La Ville écrite | ceci est pourtant
- La Ville écrite | mon nom, sous le pont
- La Ville écrite | au soleil sans imposture
- La Ville écrite | personne — dommage
- La Ville écrite | à la porte
- La Ville écrite | [enc•re.]
- La Ville écrite | improbable
- La Ville écrite | religion est une foli (Aristote, Alexandre et la caresse)
- La Ville écrite | Honde
- La Ville écrite | les gestes parlent
- La Ville écrite | interdictions (les lois de l’enjambement)
- La Ville écrite | regarde le ciel
- La Ville écrite | ce qu’il reste d’Éden (rue des frigos)
- La Ville écrite | auteurs et anonymes
- La Ville écrite | comme une ombre
- La Ville écrite | tous véhicules (allemands)
- La Ville écrite | antiquités
- La Ville écrite | mots des chiens
- La Ville écrite | Comment peut-on s’intéresser à autre chose qu’à l’Ésotérisme ?
- La Ville écrite | contre les ennemis des cultures
- La Ville écrite | l’enfer n’est pas si loin
- La Ville écrite | beau, puisque c’est écrit
- La Ville écrite | jour et nuit
- La Ville écrite | désastres de Monet
- La Ville écrite | vitesse des mots
- La Ville écrite | dégage
- La Ville écrite | "dans une rue intitulée « divinité de la neige »"
- La Ville écrite | défense
- [ Phrases ]
- Hurlements en faveur de soi
- [ cheminement ]
-
Affrontements
- affrontements | les visages #4 : visages des visages
- affrontements | topographie #4 : lieux inassouvis
- affrontements | récit #4 : temps de guerres
- affrontements | visages #3 : terreur de la reconnaissance
- affrontements | topographie #3 : loi d’inventaire
- affrontements | récit #3 : le mot, l’Histoire
- affrontements | jour #3 : état de guerre permanent
- affrontements | visages #2 : nos parois
- affrontements | topographie #2 : espaces à conquérir
- affrontements | récit #2 : le temps des affrontements
- affrontements | jour #2 : le saut
- affrontements | visages #1 : naissances
- affrontements | topographie #1 : lieux intérieurs
- affrontements | récit #1 : prémices
- affrontements | jour #1 : l’attente
- affrontements | Va, dit-il (Michaux)
- affrontements | l’auteur
- affrontements | le projet
-
État des lieux du réel
- État des lieux du réel | Épilogue « Place des Innocents »
- État des lieux du réel | Chp V « la gare »
- État des lieux du réel | Chp IV « Denfert »
- État des lieux du réel | Chp III « les Chartreuses »
- État des lieux du réel | Chp II « la rue »
- État des lieux du réel | Chp I « le fleuve »
- État des lieux du réel | Prologue
- État des lieux du réel | sommaire
- Adresses & Monologues
- Surgissements, nuit
-
Un rêve
- Un rêve | le répondeur
- un rêve | les onglets
- un rêve | la même ville
- un rêve #545 | mouvements de foule
- un rêve #528 | escaliers
- un rêve #130 | les évasions
- un rêve #96 | ma route
- un rêve #88 | porte condamnée
- un rêve #68 | en regard
- un rêve #30| le talisman
- Un rêve | un projet, la tête dans le mauvais trou
- La Chute des corps
- 35. Devant toi (debout)
- 36. nocturnes
- voix
- histoire(s)
- Voyages immobiles
- aurore
- (voir) la fin de ton empire
INTERVENTIONS | COMMUNES
Articles
- 2017, année politique | suites et fins
- Georges Bataille | « Front populaire dans la rue »
- Le fascisme n’est pas le contraire de la démocratie
- Tout ce qui est
- « Ne nous laissez pas seuls »
- Jules Vallès | « La grande fédération des douleurs »
- Mahmoud Darwich | على هذه الارض
- Sauter hors du rang des assassins
- Georges Bataille | « La conjuration sacrée »
- Walter Benjamin | « Une lutte pour les choses brutes et matérielles »
- Obscénités politiques | « La belle vie »
- Turquie & Syrie | Images de l’effondrement
- André Breton | Cet événement (du travail comme valeur morale)
- L’insensé soutient Sens Interdits
- Iran | un cri de ralliement
- Tribune | #PasDeDébatPasDeMandat
- Ballast | Déborder le désespoir
- Tribune | « Emmanuel Macron : Une politique de mort »
- #MeTooThéâtre : après la libération de la parole, l’urgence des actes
- Maréchal, les voilà ?
- L’occupation des théâtres #2
- L’occupation des théâtres #1
- Temps confinés | le théâtre se mesure au mouvement du monde
- Michel Foucault | « À la peste répond l’ordre »
- Marseille appartient à celui qui vient du large
- Obscénité des visages
- Valerie Solanas | SCUM Manifesto
- Frédéric Lordon | Et la ZAD sauvera le monde…
- Rue d’Aubagne | « À nos morts, à vos murs »
- Marseille, 05.11 | dater la colère
- Marcello Tarì | « il n’y a pas d’amour malheureux »
- Blackface au théâtre de la Sorbonne | Tribune des 343 racisé•e•s
- Breton / Trotsky | Manifeste « Pour un art révolutionnaire indépendant »
- Marseille, de Noailles à La Plaine | et je regarde tomber la pluie
- Marseille, rue d’Aubagne | L’effondrement
- Carole Thibaut | « La domination masculine est la honte de tout le milieu culturel de ce pays »
- De Mai 68 à Mai 18 | la déprise de l’Odéon
- Tribune | « Une sélection absurde à l’Université »
- Frédéric Lordon | Tisser les luttes
- Procès Tarnac | La parole est à la défense
- Entretien G. Deleuze / T. Negri | Contrôle et Devenir
- Karl Marx | Ressources radiophoniques
- Marseille depuis Saint-Charles
- Irma | De très grands vents
- Le Prince, Bataille et la Part maudite
- La Plaine | « On préfère construire nous-mêmes ce qui nous tient à cœur »
- Jacques Rancière | le temps volé
- Réservé à l’affichage électoral | astres morts
- Sous surveillance | Votez cadavre, votez vulgaire
- Léon Trotsky | Fascisme, démocratie & révolution
- Julien Coupat et Matthieu Burnel | « Le monde est fini. Le voyage commence. »
- Pouvoir, infamie et chocolat jusqu’à en crever
- Défense de déposer les ordures
- Apaisée | la France
- P. P. Pasolini | « Où sont les armes ? »
- Naître en 1983 | comment être contemporain de son temps
- Alep | élégie des villes tombées
- Instincts primaires | Jour d’élections, disent-ils
- Qui sont les Zadistes ? | entretien Sylvaine Bulle
- Julien Coupat | « La loi travail est l’affront qui fait monter au front »
- Sylvain George & Marie-José Mondzain | Penser l’image et la révolte
- Car la ville nous appartient
- Nuit Debout | Marseille
- Frédéric Lordon | la sédition, le bien le plus précieux
- Pour un processus de destitution | Tribune de Eric Hazan et de Julien Coupat
- Les Tables de la Plaine | Commune indienne de Marseille
- Refuser la guerre : et d’être un civil
- Occupation de l’espace public
- À la Place de la République
- Rabelais | Éloge de la dette
- Am Unsere Freunde | entretien du Comité invisible avec Die Zeit
- A voté ?
- Kiev, ce soir — images du présent en feu
- Juan Branco | la parole présidentielle fragmentée
- et les pavés sont tous sanglants (Clément Méric)
- Janis Otsiémi | au nom d’une certaine absence
- « Ils volent le présent » | J-L. Nancy
- Embedded | Yves Debay
- Alors que ces enfants dans les rues s’aiment et s’aimeront
- (Interruptions)
- Fraudes observées en Russie
- Statut juridique du dictateur | « c’est pourquoi j’ai survécu »
- Aube de l’Odyssée | Les noms de la guerre
- Images du pouvoir | occuper la parole
- L’organisation échouée du monde
- Mains | « C’est de la survie qu’on fait. »
- Où les coeurs s’éprennent
- Ce pays n’est pas le mien
- Innocences des Kirghiz
- M. Foucault | Le lien du désir à la réalité
- Le scandale en littérature
- Aller (de la colère)
- La pellicule brûlée du réel : Joachim Gatti
- Le Comité Invisible | « Et que vienne un temps dont on s’éprenne. »
- Comment y être étranger ?
- Francis Ponge | Résister aux paroles
-
Nuit et Jour, ZeigtGeist | Chronique des migrations
- Nuit & Jour, ZeitGeist | La Prise de la Place (de la République)
- Nuit & Jour, ZeitGeist | Odéon (debout aussi)
- Nuit et Jour, ZeigtGeist | c’est partir (ici) #8
- Nuit et Jour, ZeigtGeist | rue de la République (de la colère) #7
- Nuit et Jour, ZeigtGeist | Bruxelles (Marseille) #6
- Nuit et Jour, ZeigtGeist | L’île de la solitude (les étoiles) #5
- Nuit et Jour, ZeigtGeist | Du désir des mondes (les cartes anciennes) #4
- Nuit et Jour, ZeigtGeist | Des Rivages (des lointains) #3
- Nuit et Jour, ZeigtGeist | Des Frontières (cultiver le sel) #2
- Nuit et Jour, ZeigtGeist | Hospitalité pour les suppliants #1
-
À un ami | Le Parti Imaginaire
- À un ami | « Décembre 2006. Le navire national fait eau de toutes parts. »
- À un ami | « Le temps passe. C’est sa nature. »
- À un ami | « Tous les textes de Blanqui sont des textes circonstanciés. »
- À un ami | « Les ratiocinations du ressentiment ont l’art d’inverser les relations logiques. »
- À un ami | « Lacambre, Tridon, Eudes, Granger, Flotte, la plupart des conspirations de Blanqui ne sont au départ que des amitiés »
- À un ami | « Qui se résorbe en un destin se trouve de plain-pied avec ceux qui le partagent. »
- À un ami | « Les partisans de l’attente »
- À un ami | « Enfoncés les romantiques ! »
- À un ami | « La veille de la proclamation de la Commune, »
- À un ami | « On se fourvoierait à réveiller au sujet de Blanqui le spectre du « Surhomme ». »
- À un ami | « Dionys Mascolo a écrit sur Saint-Just une phrase qui vaut de Blanqui aussi bien »
- À un ami | « Le moi m’a toujours laissé de glace »
- À un ami | « L’universel désir d’être quelqu’un »
- À un ami | « Nous sommes encore affligés de bien des superstitions »
- L’Impossible (L’autre Journal)
BERNARD-MARIE KOLTÈS | « RACONTER BIEN »
-
Koltès | articles & notes
- Koltès | « Avec tant de reflets mélangés à travers le miroir »
- Koltès | Motifs de la vengeance
- Marxisme de Bernard-Marie Koltès
- Koltès | Dictionnaire · AU-DESSOUS DU VOLCAN de Malcolm Lowry
- Koltès | Dictionnaire · MEXIQUE
- Koltès | Dictionnaire · REGGAE
- Koltès | Dictionnaire · RÉCIT
- Koltès | Dictionnaire · NEW YORK
- Koltès | Dictionnaire · LA NUIT PERDUE
- Koltès | Dictionnaire · LOCUTEUR DE LA NUIT JUSTE AVANT LES FORÊTS
- Koltès | Dictionnaire · LESLIE (SALLINGER)
- Koltès | Dictionnaire · RUSSIE
- Koltès | Dictionnaire · CINÉMA
- Koltès | Dictionnaire · CASARÈS
- Koltès | Dictionnaire · RIMBAUD
- Koltès | Dictionnaire · LA BEAUTÉ
- Koltès | « Dans la solitude des champs de coton » ou le théâtre au corps à corps
- Koltès | Écrire Quai Ouest
- Koltès | « Comme un ange au milieu de ce bordel »
- Koltès | Chéreau : quelle rencontre ?
- Koltès | Casarès, le pacte d’écriture
- Koltès | l’Afrique, ou l’autre part
- Koltès | Réécrire la vie
- Koltès | L’injouable du corps
- Koltès | Genèses de Dans la solitude des champs de coton
- Koltès | Au nom de mama
- Koltès | La trace, la mort, la survie : Quai Ouest (le texte)
- Koltès | Écritures du récit, une conclusion
- Koltès | Raconter un bout de notre monde
- Koltès | Hôtels des bouts du monde
- Koltès | Paroles communes : pour une éthique de la minorité
- Koltès | Génétiques du récit
- Koltès | Utopies politiques : « Il faudrait être ailleurs »
- Genet, Koltès | Des politiques blessées
- Koltès | Réécritures, ou le triomphe du bongo
- Koltès | Pour une éthique de la minorité
- Koltès | mises à mort de l’œuvre
- Koltès | le théâtre et le corps de notre temps
- Koltès | l’invention du récit
- Koltès | l’autre part de sa vie
- Koltès | les noms du récit
- Koltès | parole adressée
- Koltès | le choix des armes
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Koltès | anthologie & archives
- Koltès | proses
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Koltès | archives et documents
- Koltès | Le Carnet Rouge
- Koltès | Dans la solitude… [1995], un programme
- Koltès | 1988, autour du Conte d’Hiver
- Koltès | D’une édition ancienne de Combat
- Koltès | Le bonheur d’avoir écrit
- Koltès | 1983, L’Homme blessé de Chéreau
- Koltès | 1995, Patrice Chéreau – une rencontre
- Koltès | 1995, un portrait par Michel Piccoli
- Koltès | 1981, un entretien – écrire ou l’œuvre de mort
- Koltès | 1988, de Succo à Zucco
- Koltès | 1980’, vers New York
- Koltès | 1968, Casarès et le choc Medea
- Koltès | 1981, La Nuit… de J.-L Boutté et R. Fontana
- Koltès | 1983, Combat… une rencontre avec Chéreau
- Koltès | Mambrino, et cette voix qui dialogue avec le silence
- Koltès | 1983, Quai Ouest, des docks dans Tous en scène
- Koltès | entretiens
-
Koltès | théâtres
- Koltès | Hamlet monologues
- Koltès | « personne ne saura jamais qui a aimé qui »
- Koltès | « Et puis toujours la pluie »
-
Le Client | Une lecture dissymétrique de Dans la Solitude des champs de coton, de B.-M. Koltès
- Le Client #18 (et fin) | « Alors, »
- Le Client #17 | « Et vous, ne m’avez-vous rien, dans la nuit, »
- Le Client #16 | « Essayez de m’atteindre, vous n’y arriverez pas »
- Le Client #15 | « Je ne crains pas de me battre, »
- Le Client #14 | « Méfiez-vous du client »
- Le Client #13 | « Eh bien je vous propose l’égalité. »
- Le Client #12 | « Si toutefois j’ai craché sur quelque chose, »
- Le Client #11 | « Je ne suis pas de la race de ceux qui attaquent les premiers. »
- Le Client #10 | « Nous ne sommes pas, vous et moi, perdus seuls au milieu des champs. »
- Le Client #9 | « Qu’est-ce donc que vous avez perdu et que je n’ai pas gagné ? »
- Le Client #8 | « Je vous préférais retors plutôt qu’amical. »
- Le Client #7 | « La règle veut qu’un homme qui en rencontre un autre finisse toujours par lui taper sur l’épaule en lui parlant de femme »
- Le Client #6 | « Et si – par hypothèse – »
- Le Client #5 | « Qu’espérez-vous tirez de moi ? »
- Le Client #4 | « Vous êtes un bandit trop étrange »
- Le Client #3 | « Si toutefois je l’ai fait, sachez que j’aurais désiré ne pas vous avoir regardé »
- Le Client #2 | « Cependant je n’ai pas, pour vous plaire, de désirs illicites. »
- Lecture | Le Client #1 : « mon désir, s’il en est un »
- Koltès | correspondances
- Koltès | Écritures du récit [Thèse de doctorat ]
- Koltès | signes épars
-
Koltès, une biographie | autour du livre
- Bernard-Marie Koltès, une biographie | rencontres en librairie
- Bernard-Marie Koltès, une biographie | entretien pour RCF
- Bernard-Marie Koltès, une biographie | en librairies
- Koltès | « ÉCRAN DE NUIT », cinq lectures de François Bon
- Bernard-Marie Koltès, une vie | le livre
-
Koltès | annonces et brèves
- La Compagnie des Œuvres, sur France Culture | Semaine Koltès
- Biennale Koltès, Metz | un entretien avec Catherine Marnas
- Koltès Monde | une journée d’étude à Aix-en-Provence, le 14 déc. 2018
- Koltès, Généalogies, Christophe Bident | Publie.net
- Koltès intempestif | Koltès maintenant et autres métamorphoses
SAINT-JUST & DES POUSSIÈRES | LE LIVRE
-
2021 | Saint-Just & des poussières • éds. L’Arbre Vengeur
- Saint-Just & des poussières | Chp. XXVII
- Saint-Just & des poussières | Recensions
- Saint-Just & des poussières | À la Maison de la Poésie
- Saint-Just & des poussières | Entretien pour Mollat
- Saint-Just & des poussières | Entretien pour Ballast
- Saint-Just & des poussières | Entretien pour Diacritik
- Saint-Just & des poussières | prologue
- Saint-Just & des poussières | le livre
- Saint-Just & des poussières | « conjurer la peur »
- Saint-Just & des poussières | « écrire une vie de Saint-Just »
- Saint-Just & des poussières | un récit
-
Saint-Just | ressources & archives
- 1793-1794, année révolutionnaire | Musée Carnavalet
- Saint-Just | les poussières de Thermidor
- Dionys Mascolo | Saint-Just, la révolution par l’amitié
- Sophie Wahnich | Relever Saint-Just avec Miguel Abensour
- Pasternak | Fragments dramatiques, scènes de Saint-Just
- Portraits de Saint-Just | Onze fois le visage manquant
- Saint-Just | Anthologie française
- Saint-Just | versions pour la scène
BRÛLÉ VIF | LE LIVRE
-
2023 | Brûlé Vif • éds L’Arbre Vengeur
- Brûlé Vif | Chronique [Par Stéphane Place · Europe 1]
- Brûlé Vif | Critique [par Alexis Buffet • En attendant Nadeau]
- Brûlé vif | Une rencontre à la librairie Actes Sud d’Arles
- Brûlé Vif | Critique [par Isabelle de Montvert-Chaussy • Sud-Ouest]
- Brûlé vif | Critique [par Jérémy Liron]
- Brûlé Vif | Une lecture à Aix
- Brûlé vif | Entretien pour Mollat
- Brûlé vif | Le prologue
- Brûlé vif | Un récit
-
Carnets des Nouveaux Mondes
- L’ojibwé | « Ils n’ont pas les mots de nos choses »
- Des nouvelles de la Mohawk Warrior Society
- Nouveaux Mondes | Reprendre voix
- Une Nation | Les Navajos
- Une Nation | Les Mi’kmaqs
- Une Nation | Les Neutres
- Une Nation | les Gens du Sang
- Une Nation | les Iroquois
- Une Nation | les Cris
- Une Nation | les Wendats
- L’astrolabe de Champlain
- Harry Pollard, nos visages premiers
- Récits de la création des Nouveaux Mondes #4
- Récits de la création des Nouveaux Mondes #3
- Récits de la création des Nouveaux Mondes #2
- Récits de la création des Nouveaux Mondes #1
- Frank A. Rinehart, regards indigènes
PUBLICATIONS | PARUTIONS
-
livres
- « Dans la solitude des champs de coton » de B.-M. Koltès, ou le théâtre au corps à corps | Honoré Champion
- Brûlé Vif | Arbre Vengeur
- Saint-Just & des poussières | Arbre Vengeur
- The Lying Forest sur des photographies de Stephen Dock | Éditions Sometimes
- Bernard-Marie Koltès | Minuit
- Dakar Nuit, sur des photographies d’Ulrich Lebeuf | Charlotte Sometimes
- Layla, à présent je suis au fond du monde, avec Jérémie Scheidler | Éditions Esse Que
- "Seul comme on ne peut pas le dire", Koltès | publie.net
- Anticipations [4] | publie.net
- Affrontements | publie.net
- « Où que je sois encore… | publie.net
- Anticipations | publie.net
- La Mancha sur des photogrammes de Jérémy Liron) | Nuit Myrtide
- « Où que je sois encore... | Seuil
-
revues & ouvrages collectifs
- Les mots de la musique | « Bob Dylan. ’’Et à travers moi raconte l’Histoire’’ »
- Nos Lieux Communs | « Le cimetière »
- On ne pense pas assez aux escaliers | « Des escaliers »
- Les Terrasses du Port | « Marseille Quai Est »
- Lendemain de fête | « La surface des choses »
- Revue D’Ici Là, n°11 | « La fin des choses »
- Revue PEAH | « Sept jours avant l’hiver »
- Récits des paysage | « Tableaux noirs »
- Sites et écritures | « L’espace littéraire numérique »
- L’Arsenal n°5 | Aube
- Nouvelle Revue Française | Julien Gracq, un instrument témoin
- Échap | « Regard perdu »
- 100 monuments 100 écrivains | « Tout ce qui ne se voit pas »
- Revue D’Ici Là, n°3 | « Camden Town »
- Revue D’Ici Là, n°2 | « Aquarelle et gouache »
- Revue D’Ici Là, n°1 | « Nous nous réveillons dans le noir. Et ça ne change rien » |
- Vous m’en direz tant | « Des rives »
- Revue Ecuador n°2 | « Julien Gracq, La Presqu’île
- Revue Ecuador n°2 | « Au jour le jour »
- Revue Ecuador n°1 | « Voir la fin de ton empire »
- Revue Ecuador n°1 | « Aurore »
-
articles & recherche
- Théâtre/Public n°253 | « De la vengeance »
- La Nostalgie au théâtre | « Nostalgies politiques : les scènes contemporaines de la mélancolie révolutionnaire »
- Incertains Regards n°13 | « Evguéni Grichkovets : Dans la fabrique du sujet. »
- Théâtre/Public n°248 | « Marxisme de Bernard-Marie Koltès »
- Incertains Regards n°12 | « Kae Tempest : Imaginer d’autres devenirs. »
- Dictionnaire Bernard-Marie Koltès
- Registres n°23 | « Théâtre de la guerre civile : Edward Bond, pour une politique de la colère »
- Théâtre/Public n°245 | « Des expériences. Devant quelques gestes d’Ali Chahrour »
- Entre monologue et dialogue | « Les seuils politiques des écritures contemporaines du théâtre »
- Incertains Regards n°11 | « Patrick Kermann : La mort en face »
- Écrire l’inouï | « Lettre à l’Insensé II »
- Parages n°11 [Marie NDiaye] | « Politiques du cauchemar »
- Incertains Regards HS n°3 | « Scènes de l’autre »
- Penser le théâtre contemporain | « L’enfance de la merveille »
- Narrativités et intermédialités sur la scène contemporaine | « L’écriture intermédiale de Warlikowski »
- Du malentendu en chanson | « Dylan, monde politique »
- Incertains Regards n°10 | Théâtre de la dette, ou la scène du passage
- Théâtre/Public n°237 | « Le lyrisme des fins »
- Cahiers du CRINI n°1 | « Scènes déchirées de l’Europe. Krzysztof Warlikowski, passer par le théâtre »
- Incertains Regards n°9 | Mai 68, répétition générale de l’avenir
- Explorer, créer, bouleverser | « Marges de l’écriture en ligne »
- Le critique. Un art de la rencontre | « Pour une critique barricade. Lettre à L’Insensé »
- Incertains Regards n°8 | « Transformer le présent, ou la transe d’un théâtre urbain »
- Théâtre/Public n°229 | « Frank Castorf, l’art ou la réalité insupportable »
- Incertains Regards HS 2 | « La voix d’Antonin Artaud »
- Une littérature comme « incantatoire » | Théâtralités contemporaines de l’incantation
- Revue d’Histoire du Théâtre, « Maria Casarès » | Koltès et Casarès, le pacte d’écriture
- Incertains Regards n°7 | Partir ou l’érotique du retour. Délivre-toi de mes désirs, de Maria Vélasco
- Théâtre/Public n°226 | Le maître et l’artisan
- Komodo 21 | Écritures numériques, scènes du moment
- Marges de l’écriture en ligne | « De l’essai comme puissance nocturne »
- Cahiers Yves Navarre, n°3 | Les théâtres secrets d’Yves Navarre (II). Le drame saccagé
- Incertains Regards n°6 | Voix de disparition et force de la plénitude. Shams d’A.-G. Khalffallah
- ArtPress 2 n°42 | Georges Bataille et les scènes contemporaines : l’autre théâtre
- Théâtre Public n°221 | Politiques de l’adresse
- Cahiers Yves Navarre, n°2 | Les théâtres secrets d’Yves Navarre (I)
- Pour la Poésie | « Speak white » de Michèle Lalonde.
- Incertains Regards n°5 | La chair de l’art, la déchirure de l’imaginaire : hypothèses sur l’épaisseur
- Agôn n°7 | Koltès, ou le corps injouable
- Incertains Regards HS 1 | Pensées du théâtre de Krzysztof Warlikowski
- Théâtre / Public n°216 | En délivrance du sens
- Incertains Regards n°4 | Régy, Beckett, Derrida, l’appel du vide
- Koltès, les registres d’un style | Au nom de Mama
- Dans la solitude de Bernard-Marie Koltès | Genèse de Dans la solitude des champs de coton
- Théâtre Public n°212 | Présences de l’Histoire
- Incertains Regards n°3 | Artaud, la voix déchue
- | La Littérature théâtrale | « B.-M. Koltès – la trace, la mort, la survie : écrire Quai Ouest »
- Relire Koltès | Utopies politiques
- Textuel n°68 | Confrontation du mythe, une lecture de J. Grotowski
- Théâtre et politique | De Jean Genet à Bernard-Marie Koltès : des politiques blessées
- Minority Theatre on the Global Stage | B.-M. Koltès, paroles communes
- Textuel n°62 | Réécritures Koltès, ou le triomphe du bongo
- Nouvelle Revue Française n°594 | Julien Gracq, un instrument témoin
- Koltès, maintenant et autres métamorphoses | La nuit perdue, les fantômes d’un rêve
LECTURES | LIVRES, PIÈCES, FILMS
-
littératures
- Jérémy Liron | Face à l’intouchable
- Claro | Traquer les nuits
- Éric Vuillard | L’Histoire éventrée
- Billy-Ray Belcourt | Corps insurgé des désirs autochtones
- Didier Da Silva | Sept hypothèses du deuil
- Anne Collongues & Olivier Rolin | Nulle part et n’importe où
- Annie Rioux | Habiter un monde étranger
- Maurice Blanchot | Prières d’insérer : Nous travaillons dans les ténèbres
- Mahigan Lepage | Des usages du monde
- Alain Fleischer | Spectres du roman
- Alix Cléo Roubaud | Telle est la folie de la photographie
- François Bon | Cet endroit est tous les endroits
- Pierre Michon | Où en est la nuit, Monsieur ?
- Roland Barthes | Du souvenir et du néant
- Albane Gellé | Formes et forces des acquiescements
- Chloé Delaume | Poétique souterraine de l’autofiction
- Hugues Jallon | Dans les politiques de la peur
- Philippe Vasset | Vérifier le monde
- Jérôme Mauche | Sur-littérature et réécriture
- Chloé Delaume | Fictions du réel
- François Bon | Sites et situations du monde
- Jan Zabrana | Journal du silence
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cinéma
- Éric Gravel | À plein temps
- Ladj Ly, Les Misérables
- Hong Sang-Soo | Grass (풀잎들)
- Raoul Peck | Le Jeune Karl Marx
- Christopher Nolan | Dunkirk
- Joel & Ethan Cohen | Inside Llewyn Davis
- Arnaud des Pallières | Michael Kohlhaas
- Béla Tarr | Le Cheval du Turin
- De Tree of Life à Melancholia : origines et fins
- I. Le Besco | Bas-Fonds (par J. Scheidler)
- A. Kechiche | Vénus Noire
- J.-L. Godard | Le Mépris
- Apichatpong Weerasethakul | Oncle Boonmee
- Christopher Nolan | Inception
- Ingmar Bergman | Dévisager le regard
- Bruno Dumont | Hadewijch
- Claire Denis | 35 rhums
- Patrick Grandperret | Meurtrières
- Jérémie Scheidler | En pure perte
- essais
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arts (etc.)
- Éric Duyckaerts | après,
- Claire Tabouret, théâtres en regard
- Claire Tabouret, théâtres en regard#2
- Claire Tabouret, théâtres en regard#
- Michel Slomka | Sinjar, Naissance des fantômes
- Ulrich Lebeuf, Tropiques du cancer | au risque du regard
- Danse Butō | les gestes de la naissance
- Jérémy Liron | tableaux noirs
- Rareté de la corrida | gestes du duende
- Jérémy Liron | « Dans la solitude »
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NOTES & QUESTIONS | LIRECRIRE
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CHANTIER | ÉCRITURES & LITTÉRATURE
- Kafka ne mourra pas
- Partage des eaux & Estuaires | Écritures et vies
- Pierre Michon, l’assomption d’un nom mémorable
- « Qu’est-ce qu’elle dit Zazie ? » (1998)
- Ramifications et devenirs actuels du Speak White de Michèle Lalonde
- Pierre Michon, monologues pour temps présent
- Positions et vitesses du récit contemporain
- Zola, les détentes fatales d’une vie réglée
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- Zola, commencer par déménager les morts
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RIMBAUD | LIRE ÉCRIRE
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Rimbaud, une vie
- Rimbaud, une vie | Délires. Suites et fin
- Rimbaud, une vie | Le caveau. Dernières fureurs
- Rimbaud, une vie | Izambard. La classe du soir
- Rimbaud, une vie | Voyelles. L’école, la gloire et l’ennui
- Rimbaud, une vie | Roche. Terre d’ancêtres
- Rimbaud, une vie | Enfances. Légendes d’Ardennes
- Rimbaud, une vie | Naissances. Au nom du père, et du fils
- Rimbaud, une vie | Prologue. L’inavouable désir
- Rimbaud | une anthologie
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- Rimbaud | En bras de chemise
- Rimbaud | Trois photographies
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- Rimbaud | Des nouvelles de Londres
- Rimbaud | Nouveaux visages
- Rimbaud | À vendre, l’arme du presque crime
- Rimbaud | Naissance de la mort
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- Rimbaud | Au mois de mai, « Si un rayon me blesse »
- Rimbaud | Ici je rêve de
- Rimbaud | Les vies posthumes
- Rimbaud | Dix huit fois la nuit
- Rimbaud | Sans preuve, le bonheur possible
- Rimbaud | « la musique savante manque à notre désir »
- Rimbaud | Une lecture de ponts
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Rimbaud, une vie
- DU FANTASTIQUE | RÊVE DE RÉEL
- TRADUCTION | D’UNE LANGUE L’AUTRE
ANTHOLOGIE PERSONNELLE | PAGES
Articles
- Walter Benjamin | Thèses « Sur le concept d’histoire »
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- Franz Kafka | « Assaut contre les limites »
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Pages | Arrachées
- Pier Paolo Pasolini | Dal Diario (1945-1947)
- Malcolm Lowry | No se puede vivir sin amar
- Charles Baudelaire | « Le monde va finir »
- Mahmoud Darwich | « خطبة الهندي الأحمر »
- Bertolt Brecht | « Aux hésitants »
- Gaston Miron | « La marche à l’amour »
- Jacques Roubaud |« Le silence de la mathématique jusqu’au fond de la langue, poésie »
- Tiqqun, « Eh bien, la guerre ! »
- Rosa Luxemburg | « Dans l’asile de nuit »
- Blaise Cendrars | J’ai tué
- Francis Ponge | « Les écuries d’Augias »
- Annie Ernaux | « Je n’invente pas, je retrouve »
- Léon Trotsky | Céline et Poincarré
- Antonin Artaud | « Corps sans organe »
- Walter Benjamin | Le Conteur
- Henri Michaux | « Mettre du chameau »
- T.S. Eliot | La Terre Vague (traduit par Michel Vinaver)
- Roland Barthes | La Mort de l’Auteur
- Viktoria Ostach | « Ça sent l’histoire »
- Paul Valéry | La Conquête de l’ubiquité
- Michèle Lalonde | « Speak White »
- James Joyce | Bloom’sday
- Antonio Gramsci | « Je hais le nouvel an »
- Malcolm Lowry | « tisser l’effrayante vision » (du 2 novembre)
- Gilles Deleuze | « De l’événement »
- Walter Benjamin | Expérience et pauvreté
- Henri Michaux | « L’Étang »
- Marguerite Duras | « Comme l’histoire du futur »
- Walter Benjamin | « Le caractère destructeur »
- André Benedetto | « Plus raisonnable de se taire »
- Deleuze / Parnet | « S’affecter de joie »
- Henri Michaux | « Je vous écris d’un pays lointain »
- Maître Eckhart : « Je prie Dieu de me libérer de Dieu ! »
- Pierre Michon | « Relation heureuse » (sur Jean-Pierre Richard)
- André Breton | « il faut que ce soit un peu le nom du feu »
- Henri Michaux | « Un homme perdu »
- Victor Hugo (et la Table) | « Et le ciel a des larmes plein ses étoiles »
- André Breton | « Je vous souhaite d’être follement aimée »
- Peter Handke | « Accorde-toi le soleil »
- Ingeborg Bachmann | « Mon Oiseau »
- Samuel Beckett | trois voiles
- Anna Akhmatova | « Cette merveille de notre rencontre »
- Julien Gracq | Fragments révolutionnaires
- Jean Genet | « Violence et brutalité »
- Jean-Claude Izzo | « Larmes, et pierres sur pierres, les ruines s’érigent »
- La Révolution surréaliste | LA RÉVOLUTION D’ABORD ET TOUJOURS !
- Mariana Enríquez | « le monde se meurt »
- Henri Michaux | « Comme un mur devant la race des hommes »
- Kate Tempest | Europe is lost
- Raymond Radiguet | « La certitude me dévoila mon amour avec tout ce qu’il avait de monstrueux »
- Michel Foucault | L’Ordre du discours
- Jeanne Moreau | « L’ensemble de mes films ne dessine pas un autoportrait »
- Allen Ginsberg | Howl
- Allen Ginsberg | Footnote to Howl
- Henri Michaux | « Contre ! »
- André Breton | Plutôt la vie
- André Breton | « C’est l’heure des meetings politiques »
- Pierre Michon | Trois noms de bêtes pour W.B.
- Philippe Jaccottet | « La nuit n’est pas ce que l’on croit »
- Paul Celan | Psalm
- Bertolt Brecht | Cinq difficultés pour écrire la vérité
- Bob Dylan | « La vie n’est rien sinon une fenêtre vers l’ailleurs »
- Michel Butor | « Du pain sur la planche pour bien plus de cent ans »
- Rabelais | « Après ma mort »
- Aragon | J’arrive où je suis étranger
- André Breton | « Sacrée ce que tu es »
- Henri Michaux | Moments
- André Breton | Plutôt la vie
- Henri Michaux | Et la vie est précieuse à qui a déjà perdu 26 ans
- Gilles Deleuze | « Ramener à la surface ce qui restait des monstres du fond et des figures du ciel. »
- Rilke | « La beauté commence comme la terreur »
- Franz Kafka | « La hache pour la mer gelée en nous »
- Ossip Mandelstam | « Acquérir une langue »
- Samuel Beckett | « mon épitaphe »
- Friedrich von Schiller | Colomb, « toujours au couchant »
- Nijinski | « vers une étoile qui ne m’a pas dit bonsoir »
- Michel Houellebecq | « Une révolution froide »
- Aragon | « Ce printemps des cimetières qu’on appelle l’avenir »
- Walter Benjamin | « Autant d’aura dans le monde qu’il y a de rêve en lui. »
- Antonin Artaud | « et que ma Vie puisse ressusciter »
- Nadia Tueni | « Crois-tu que la terre s’habitue à tourner ? »
- Pierre Michon | « Le miracle »
- Musset | « Alors il s’assit sur un monde en ruines une jeunesse soucieuse »
- Jean de Sponde | « Mais si faut-il mourir »
- Maurice Blanchot | « Et éternellement elle est là »
- Germain Nouveau | Fin d’automne
- DADA | « et doré de corps d’archanges, de son âme »
- William Shakespeare | « La reine Mab vous a fait visite »
- Aragon | « arbre qui domine / Son ombre, et qui voit en avant »
- Rimbaud | « Plus que tous les enfants du monde »
- Van Gogh | « Des portraits comme des apparitions »
- Nerval | « Si vous savez interpréter l’hymne à la Nuit, d’Orphée »
- André Breton | « Magique-circonstancielle »
- Michel Houellebecq | « Jacques Prévert est un con »
- George Bataille | « Le monde des amants »
- Lautréamont | « Cette chevelure est sacrée »
- Paul Claudel | « La forêt où chante le vent qui chasse »
- Ronsard | « j’ai l’esprit tout ennuyé »
- Kafka | « Et tu rêves du message »
- Jean Rochefort | « Avez-vous lu Shakespeare ? »
- Proust | « À ces croyances qui la plupart du temps remplissent notre âme à notre insu »
- Arthur Rimbaud | « le Grand Cygne rêveur »
- Aragon | « comme un voleur »
- Jean Giono | « Le geste de votre main vers mes cheveux »
- Émile Verhaeren | « Vers quels n’importe où »
- Job | « Où étais-tu quand je fondais la terre ? »
- Henri Michaux | « Et maintenant dehors »
- Jacques Dupin | « Comme si nous étions sur terre pour endurer la chaleur »
- André Breton | « À cette question que je ne vous pose pas »
- Reiner Maria Rilke | « La Grande Solitude intérieure »
- Chris Marker | « Aux deux pôles extrêmes de la survie »
- René Char | « Une échelle de plus en plus nue »
- La Bible | Les chiffres de la sagesse
- Joyce | « O and the sea the sea crimson sometimes like fire »
- Antonio Machado | « le chemin se fait en marchant »
- Saint-Jean-de-La-Croix | « Pendant une nuit obscure »
- Mœbius | L’Incal
- Gottfried Wilhelm Leibniz | « Il n’y a rien de mort dans l’univers »
- André Breton | « tout le secret de la vie »
- André Breton | « Il faut aller voir de bon matin »
- Clive Staples Lewis | « Quel visage ont les choses pour une souris ou pour une abeille »
- Franz Kafka | « Entre le public et le ciel »
- Julien Gracq | « Habiter une forêt perdue »
- Fiodor Dostoïevski | « La vie existe et la mort n’existe pas »
- Arthur Rimbaud | « Sur les passerelles de l’abîme »
- Serge Pey | « Ni que j’ai construit une pyramide dans ma chambre »
- Robert Desnos | « De la splendeur du jour »
- Louis Aragon | « Voilà ma vie »
- André Breton | « ce toujours est la grande clé »
- Semprún | « Une espèce de fatigue de mort »
- Arthur Rimbaud | « Ce furent des pays noirs »
- Céline | « Tout, qu’on en parle plus »
- Trotsky | « Céline écrit comme s’il était le premier à se colleter avec le langage »
- Paul Claudel | « Sur le chemin du difficile avenir »
- Aloysisus Bertrand | « Ainsi j’ai vu, ainsi je raconte »
- Fiodor Dostoïevski | « Le poème du Grand Inquisiteur »
- Lautréamont | « quand le vent balance »
- Emile Zola | « au sommeil de la ville »
- Rêves | Épars
-
Voix | Nue
- Pierre Michon | « Les hommes sont liés à la littérature » (À voix nue #5)
- Pierre Michon | « Booz endormi » (À voix nue #4)
- Pierre Michon | « Quelque chose veille sur moi » (À voix nue #3)
- Pierre Michon | « La littérature sert à quelque chose » (À voix nue #2)
- Pierre Michon | « Le réservoir de mon enfance » (À voix nue #1)
- Jean Genet | Le dernier entretien (BBC)
- Blaise Cendrars | « et je dis à mon chien Wagon-lit, souviens-toi »
- Thomas Bernhard | « claquer la porte derrière soi »
- Thomas Bernhard | « écrire ce que personne ne voit »
- Jacques Rancière | Hors-Champ
- Karl Marx | les confessions
- Georges Bataille | Le désordre de la pensée
- Blaise Cendrars | La Prose du Transsibérien
- J. Böhme | « au premier jour, la vie se sépara de la mort »
- Saint-Jean-de-La-Croix | « Mais c’est au profond de la nuit »
- Lacan | ces déclarations insurrectionnelles
RECHERCHES | ARTICLES & COMMUNICATIONS
Articles
- Enzo Cormann | « Cadres, hors-cadres et débords »
- Festival Beckett en Roussillon • « Pour en finir avec l’absurde »
- Refaire le monde | Scènes contemporaines d’une autre histoire
- Kae Tempest | Imaginer d’autres devenirs
- Edward Bond | Théâtre de la guerre civile
- Kae Tempest | Transmettre une mémoire rageuse
- Patrick Kermann | La mort en face ou le chemin de la méduse
- Lettre à l’Insensé II | Prendre d’assaut le malentendu d’écrire
- Marie NDiaye | Politiques du cauchemar
- L’entretien en art : les mots pour le dire
- Koltès, Maillan & Le Retour au désert [II]
- Journée d’étude | Le malentendu critique
- Koltès, Maillan & Le Retour au désert [I]
- Conjurer l’apocalypse
- Le spectateur-dramaturge face aux expériences esthétiques contemporaines
- Écritures scéniques contemporaines : nommer d’autres possibles du monde
- Grotowski et la via negativa
- Scènes de l’autre, ou l’hospitalité absolue du théâtre
- Faire écran à l’histoire. L’écriture intermédiale de Warlikowski
- Le lyrisme des fins, ou l’horizon des événements
- Mathilde Soulheban | Théâtre de la dette, ou la scène du passage : transiter par l’origine
- Scènes déchirées de l’Europe. Warlikowski, passer par le théâtre
- Les écriture dramatiques contemporaines après Koltès
- Mai 68, répétition générale de l’avenir
- Lettre à l’Insensé | Pour une critique barricade
- Théâtre documentaire, théâtre documenté ?
- D’après Untitled de Zoukak
- D’ de Kabal | Transformer le présent, ou la transe d’un théâtre urbain
- Théâtralités contemporaines : Voir. Trembler. Écrire
- Théâtre politique / Théâtre social : un débat ?
- Frank Castorf. L’art, ou la réalité insupportable
- Antonin Artaud : « Et qui / aujourd’hui / dira / quoi ? »
- Théâtralités contemporaines de l’incantation
- Maria Vélasco | Partir, ou l’érotique du retour
- Le maître et l’artisan. Sur Patrice Chéreau à l’œuvre
- Les théâtres secrets d’Yves Navarre (II). Le drame saccagé
- Amira‐Géhanne Khalfallah | Voix de la disparition et force de la plénitude
- Georges Bataille, et les scènes contemporaines
- Table Ronde Avignon « Scènes actuelles »
- Politiques de l’adresse
- Les seuils politiques des écritures contemporaines du théâtre
- Les théâtres secrets d’Yves Navarre
- La Chair de l’art
- Pensées du théâtre de Warlikowski
- En délivrance du sens
- L’appel du vide
- Ostermeier, et le dépli politique de l’histoire
- Présences de l’Histoire
- Artaud, la voix déchue
- Présences de Valérie Dréville | notes sur Acteurs de Cristal, de Yannick Butel
- Onze propositions autour du Théâtre du Radeau
- Aspects du lyrisme dans le Théâtre du Radeau
- Le regard de la taupe et le regard de l’Ange
- Écrire (dans) l’oubli du théâtre
- Théâtre pauvre et confrontation du mythe
CRITIQUES | THÉÂTRE
Articles
- Youssra Mansar | Saisie du corps glorieux de l’acteur par le drone
- Le Radeau | La vie ne suffira pas
- Ali Charhour | La conjuration du deuil
- Collectif Marthe | Désapprendre à ne pas se battre
- Enzo Cormann & Philippe Delaigue | Inépuiser le monde
- Joël Pommerat | Des amours à bout portant
- Mohamed El Khatib & Patrick Boucheron | Théâtre portatif des mondes intérieurs
- Romeo Castellucci | L’œuf et les poulets
- Tommy Millot | Pour se souvenir que les dieux n’existent pas
- Malte Schwind | Les dehors de l’homme intérieur
- Danielle Bré | Lire le monde comme expérience
- Malte Schwind | Les voies de traverse
- Pascal Rambert | Politique de la vengeance
- Prendre des nouvelles du présent
- Jean De Pange | Koltès ou la vie faite œuvre
- Thomas Ostermeier | L’illusion d’un théâtre à prétention politique
- Frank Castorf | La cruauté vitale
- Les Bâtard Dorés | La traversée sauvage
- Amélie Chamoux & Laurent Eyraud-Chaume | L’adolescence à bout touchant
- « If – En cour », la voie libertaire
- Collectif Zoukak | Dans les prisons syriennes et au-delà
- Samuel Gallet | Le rêve d’Eskandar, ou la réalité vengée
- Olivier Mellor | Mémoires vives de la lutte des classes
- Richard Brunel | La lumière du témoignage à l’ombre des fantômes
- Cie Boll & Roche | La rue en marche
- Ali Chahrour | Danse avec la mort
- Caritia Abell et Vanasay Khamphommala | Le sacré immanent d’un rituel SM
- Milo Rau | Théâtre yeux grands ouverts
- Danielle Bré | Jouer avec le feu
- Anne-Laure Liégeois et Christiane Taubira | Le partage du commun
- Guy Cassiers et Maud Le Pladec | Produire l’effacement
- Gabriel Dufay | Spectres vifs de Desnos
- Pascal Kirsch | Maeterlinck inouï, ou l’impossible
- Fanny de Chaillé | À hauteur d’enfance
- L’extension du domaine du théâtre
- Frank Castorf | Aux lointains, la réalité insupportable
- Yann-Joël Collin | La vie en face
- Olivier Py | La contemplation des ruines
- Thomas Jolly | Naufrages ô désespoir
- Ali Chahrour | Érotique de l’élégie
- FC Bergman | L’illusoire abri du monde
- Krzysztof Warlikowski | Combattre les fantômes de l’histoire
- Malte Schwind | La joie de traverser le chaos
- Krzysztof Warlikowski | Élégies féminines et monstruosités du mâle
- Claudio Tolcachir, Melissa Hermida & Lautaro Perotti | Caravane des solitudes dérisoires
- Fabrice Lambert | L’art et la manière de meubler
- Tiago Rodrigues | Pour l’amour du théâtre, et pourtant
- Jean-Pierre Vincent | Vanité du théâtre glorieux
- Kristoff / K.Roll | Par les lumières inouïes
- Jérôme Bel | Sortir du théâtre
- Krzysztof Warlikowski | Libérer les peurs, politique de l’exorcisme
- Dieudonné Niangouna | Danse avec le diable
- Dieudonné Niangouna | Avec la joie du diable
- Catherine Marnas | Entre les tombes
- Jean-Michel Rabeux | Mourir de son vivant
- Aurélia Guillet | Par dessus l’abîme qu’est devenue notre histoire
- Le Radeau | Présences communes
- Patrice Chéreau | Rêves, vents, et autres fantômes
- Krzysztof Warlikowski | Là où la sortie n’existe pas
- Patrice Chéreau & Thierry Thieû-Niang | La nuit dans le Louvre désert
- Hauke Lanz & Chloé Delaume | Lieux More
- Heiner Goebbels | Les termes de la représentation
DRAMATURGIES | SCÈNES & TRAVAUX
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RESSOURCES & DOCUMENTS | THÉÂTRALITÉS
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- Jean Genet | Haute surveillance, ou du malheur
- Bernard Dort | Théâtre réel
- Elfriede Jelinek | « À l’écart »
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- André Benedetto | « au fond d’artaud »
- Kae Tempest | New Ancients
- Gilles Deleuze | « Un manifeste de moins » (sur Carmelo Bene)
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- Sarah Kane | Anéantie (« Une vie, une œuvre », par Julien Thèves)
- Didier-Georges Gabily | Revenir sur les lieux, par Séverine Leroy
- Jean Genet | Je suis des deux côtés
- Dieudonné Niangouna | Dix ans de résistance théâtrale
- Dieudonné Niangouna | « C’est quoi le problème du théâtre ? »
- Claude Régy | « La place des larmes »
- Thierry Thieû Niang | « d’autres feuilles » pour l’arbre de Patrice Chéreau
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Müller-Matériau
- Heiner Müller | Adieu à la pièce didactique
- Heiner Müller | « Le théâtre-laboratoire de l’imagination sociale »
- Heiner Müller | « Le théâtre quand il vit est une vieille machine à écrire »
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MOUSSONS D’ÉTÉ
Articles
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- Autre Savoir | Dater la naissance du langage
- Autre Savoir | Le soleil s’est renversé
- des livres
- Contre-dictionnaire de l’époque
-
[TRADUCTION] | D’une langue l’autre
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William Blake | Chants d’Innocence & d’Expérience
-
William Blake | Chants d’expérience
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- William Blake | « L’Ange »
- William Blake | « La Mouche »
- William Blake | « La rose malade »
- William Blake | « Nurse’s song »
- William Blake | « Le ramoneur » (2)
- William Blake | « La petite fille retrouvée »
- William Blake | « La petite fille perdue »
- William Blake | « Jeudi saint (2) »
- William Blake | « La Motte et le Caillou »
- Wiliam Blake | « La réponse de la Terre »
- Wiliam Blake | « Introduction »
-
William Blake | Chants d’innocence
- William Blake | « Sur le chagrin d’un autre »
- William Blake | « Un Rêve »
- William Blake | « Joie du nouveau-né »
- William Blake | « Chanson de la nourrice »
- William Blake | « Printemps »
- William Blake | « Nuit »
- William Blake | « Jeudi Saint (1) »
- William Blake | « L’Image Divine »
- William Blake | « Chanson pour dormir »
- William Blake | « Chanson pour rire »
- William Blake | « Le Petit Garçon Retrouvé »
- William Blake | « Le Petit Garçon Perdu »
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- William Blake | « La Fleur »
- William Blake | « Le Petit Garçon Noir »
- William Blake | « L’Agneau »
- William Blake | « L’écho de la verdure »
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- William Blake | « Introduction »
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William Blake | Chants d’expérience
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