seizième chapitre
Accueil > FICTIONS DU MONDE | RÉCITS > Aubes
Aubes
Récit.
Reprise d’un récit commencé en 2006 — rue Beauregard, à Paris — abandonnées mille fois, repris mille et une fois (étrange comme je tiens à ce texte impossible, mais pas au point de m’y résoudre à l’achever).Ce qui est plus étrange encore, c’est mon attachement à certaines de ces figures, à certains de ces lieux, et d’une manière de raconter qui m’est totalement inconnue, étrangère justement. Alors, plus que d’autres textes anciens laissés inachevés, et vers lesquels je serai incapable de revenir, ce texte-ci j’y reviens, puisqu’il n’est pas de ma main.
Alors, la question de savoir si je peux me retrouver au point d’énergie où j’ai laissé le texte ne se pose pas (elle se pose toujours pour les autres textes), puisque cette énergie est purement abstraite en moi.
Le Prologue et le premier chapitre ont fait l’objet d’une publication dans la Revue l’Arsenal, grâce aux encouragements de Lionel-Edouard Martin.
Je déposerai ici l’ensemble du récit, et ses prolongements futurs, peut-être ; je ne sais pas.
La scène est à Paris, une seule journée de l’aube jusqu’au soir, peut-être.
Aubes | XV. (Quand on regarde le soleil)
Aubes | XIV. (Berlin)
Aubes | XIII. (Le théâtre est vide)
Aubes | XII. (Sur la place)
Aubes | XI. (Alors voilà)
Aubes | X. (Sans un mot)
Aubes | IX. (Au bout d’un temps)
Aubes | VIII. (La gamine avait tout vu)
Aubes | VII. (De quelle amertume)
Aubes | VI. (La lumière frappait le sol)
Aubes | V. (
Lorsque Victor gagne la place)
Aubes | IV. (Chaque chose à sa place)
Aubes | III. (Au réveil pour toujours)
Aubes | II. (Victor avait pris par le sud)
Aubes | I. (L’aube est un grand mur)
Aubes | Prologue