quatorzième et dernier extrait
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À un ami | Le Parti Imaginaire
Texte repris en introduction à l’ouvrage Maintenant, il faut des armes,
textes choisi d’Auguste Blanqui paru aux éditions de La Fabrique en février 2007.
À un ami | « Décembre 2006. Le navire national fait eau de toutes parts. »
À un ami | « Le temps passe. C’est sa nature. »
À un ami | « Tous les textes de Blanqui sont des textes circonstanciés. »
À un ami | « Les ratiocinations du ressentiment ont l’art d’inverser les relations logiques. »
À un ami | « Lacambre, Tridon, Eudes, Granger, Flotte, la plupart des conspirations de Blanqui ne sont au départ que des amitiés »
À un ami | « Qui se résorbe en un destin se trouve de plain-pied avec ceux qui le partagent. »
À un ami | « Les partisans de l’attente »
À un ami | « Enfoncés les romantiques ! »
À un ami | « La veille de la proclamation de la Commune, »
À un ami | « On se fourvoierait à réveiller au sujet de Blanqui le spectre du « Surhomme ». »
À un ami | « Dionys Mascolo a écrit sur Saint-Just une phrase qui vaut de Blanqui aussi bien »
À un ami | « Le moi m’a toujours laissé de glace »
À un ami | « L’universel désir d’être quelqu’un »
À un ami | « Nous sommes encore affligés de bien des superstitions »