follement
Accueil > Mots-clés > _Auteurs > _André Breton
_André Breton
Articles
-
André Breton | « Je vous souhaite d’être follement aimée »
3 février 2019, par arnaud maïsetti -
André Breton | « tout le secret de la vie »
22 février 2012Je n’ai jamais cessé de croire que l’amour
-
André Breton | Plutôt la vie
23 avril 2017, par arnaud maïsettises draps conjuratoires
-
La ville écrite | d’amour
13 avril 2017, par arnaud maïsettique resterait-il d’autre
-
Autre Savoir | Le soleil s’est renversé
6 janvier 2014, par arnaud maïsettides champs magnétiques
-
les vents de l’orgueil, peu apaisés (crépuscules)
8 juillet 2012, par arnaud maïsettiM’éloigner de vous ! Il m’importait trop, par exemple, de vous entendre un jour répondre en toute innocence à ces questions insidieuses que les grandes personnes posent aux enfants : « Avec quoi on pense, on souffre ? Comment on a su son nom, au soleil ? D’où ça vient la nuit ? » Comme si elles pouvaient le dire elles-mêmes ! Étant pour moi la créature humaine dans son authenticité parfaite, vous deviez contre toute vraisemblance me l’apprendre.
André Breton, ’Lettre à Écusette de Noireuil’ (L’Amour (...) -
André Breton | « Il faut aller voir de bon matin »
7 février 2012, par arnaud maïsettiÀ la folie du jour
-
En chemin | l’or du temps tombé
6 janvier 2016, par arnaud maïsettiOn ne s’épuise jamais à le chercher, l’or du temps tombé là-bas, quelque part où on dirait l’histoire en pièces. Toute la fatigue du jour. Train Paris, Gare de Lyon, vers Marseille noire bientôt, puisque le jour de l’autre côté se lève déjà peut-être sur la Nouvelle-Zélande quand j’arriverai.
Deux séries : la première, à 16h50. Onze images prises en dix-huit secondes. La seconde, huit, à 17h01, prises en dix secondes. Pour les secondes sans image, imaginez un ciel sublime soudain, et terne peut-être, je ne sais (...) -
André Breton | Plutôt la vie
16 novembre 2015, par arnaud maïsettiau lendemain de
-
« La courbe d’une phrase »
22 décembre 2009, par arnaud maïsettiÀ propos d’un commentaire de J. Gracq sur la phrase chez A. Breton
-
2010 | Séance 5_Récits de rêves
2 mars 2010, par arnaud maïsettirécits et lignes échappées : le rêve comme possible
-
que le commencement
1er février 2019, par arnaud maïsetti1er février 2019
-
André Breton | Cet événement (du travail comme valeur morale)
6 février 2023extrait de Nadja
-
nous sommes à l’occident (Londres)
27 septembre 2014, par arnaud maïsettije vois que mes malaises viennent de ne m’être pas figuré assez tôt que nous sommes à l’Occident. Les marais occidentaux !
Rimb.
Aucune ville comme Londres ne me donne davantage cette impression d’Occident — le sentiment d’être comme sur la pointe la plus avancée d’une civilisation qui se pense telle, connaît son histoire et travaille à lui ressembler, jusqu’à dresser à chaque rue une ville qui serait conforme à l’image qu’on a d’elle. Le ciel aussi, blanc, qui touche les toits, épouse parfaitement l’idée (...) -
Mihi cura futuri (et le ciel féroce)
16 février 2014, par arnaud maïsettirien d’autre que les pensées adressées.
sur ce toit quand je suis remonté tout à l’heure, j’ai revu le ciel, celui du soir hier qui tombait, et je suis resté là, un peu.
Le ciel est un tableau noir sinistrement effacé de minute en minute par le vent, écrivait à peu près Breton ; je sais que le ciel écrit aussi lentement l’effacement pour que je puisse voir à travers les lettres.
ce qui est précieux : tout ce que je possède est ce qui ne m’appartient pas, qui est loin maintenant — dans la fatigue de ce (...) -
André Breton | « Sacrée ce que tu es »
24 décembre 2015, par arnaud maïsettiUne main de femme
-
Antonin Artaud | « et que ma Vie puisse ressusciter »
7 décembre 2013, par arnaud maïsettiLettre à André Breton
-
André Breton | « À cette question que je ne vous pose pas »
5 octobre 2012C’est bientôt juin
-
Aix | entre les toits, les draps défaits de la ville
24 août 2016, par arnaud maïsetti[/Ce toit tranquille, où marchent des colombes, entre les pins palpite, entre les tombes Paul Valéry, Le cimetière marin /]
D’où vient l’appel quand, de la fenêtre, on a vue sur les toits ? Cette chance qu’on éprouve quand on vit auprès de cette vue : d’où vient qu’on l’éprouve comme un privilège secret, un peu comme un sacrilège arraché aux foules ?
On surprend cette chance parfois chez d’autres : depuis Aix par exemple, cette chambre avec vue sur les collines, le ciel : et sur la ville. Ou depuis Paris, (...) -
cendres du soleil
7 janvier 2019, par arnaud maïsetti7 janvier 2019