Il ne pleut pas Le vent s’est tu La nuit profonde
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_Aragon
Articles
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Louis Aragon | « Voilà ma vie »
2 novembre 2011, par arnaud maïsetti -
Aragon | J’arrive où je suis étranger
29 mars 2016, par arnaud maïsettiRien n’est précaire comme vivre
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Aragon | « comme un voleur »
26 décembre 2012, par arnaud maïsettiAragon, « Gazel au fond de la nuit », Le Fou d’Elsa
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Jrnl | Et tout le tremblement
9 mai 2023, par arnaud maïsettiMardi 9 mai 2023
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Aragon | « arbre qui domine / Son ombre, et qui voit en avant »
11 octobre 2013, par arnaud maïsettipage cornée
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ces moments de veille
30 janvier 2011, par arnaud maïsettiHorses In My Dreams (PJ Harvey, ’Stories From The City, Stories From The Sea’, 2000) Toute chose d’obscurité me parle de ton éclat Les pièces à tâtons traversées Les veuves Le bitume au fond des navires L’eau des mares Les olives noires La croix des ailes de proie au-dessus de la neige où tourne Une cordée à bout de forces Les souliers d’un mort La haine aux ongles de nuit
Aragon (Elsa,1959)
Dans tout ce battement de portes entre mes villes, entre les endroits de ces villes, ces positions de mon (...) -
freight train (blues)
24 mai 2011, par arnaud maïsettiFreight Train Blues (Bob Dylan, ’Concert au Carnegie Chapter Hall’ — 4 nov. 1961)
I’ve got the freight train blues Oh, laydy mama got em on the bottom of my ramblin’ shoes
Et tout ce langage perdu Ce trésor dans la fondrière Mon cri recouvert de prières Mon champ vendu.
Je ne regrette rien qu’avoir La bouche pleine de mots tus Et dressé trop peu de statues À ta mémoire
Aragon, Elsa (’Chanson Noire)
C’est vers là que j’irai — vers là qu’il le faudrait, peut-être, cet espace sans mémoire, de corps (...) -
« Des choses qui me rongent la nuit »
9 mars 2010, par arnaud maïsettiNotes sur les vies d’Aragon
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qui vint à ma rencontre
24 août 2018, par arnaud maïsetti24 août 2018
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leur mort en moi qui mord_
Michel Brosseau
2 avril 2010, par arnaud maïsettiLes mots que je ne forme pas Est-ce leur mort en moi qui mord Louis Aragon, Le Roman inachevé
leur mort en moi il faudra s’extraire leur mort en moi qui mord trop incertain cet entre-deux tant d’inachevé tant de silence est-ce leur mort en moi qui mord quand maintenant vaciller quelle empreinte des mots lourds mots qui défont mots qui font qu’à renverse envers et contre tous leur mort en moi qui mord pas à pas mot à mot s’éloigner sans se perdre les mots que je ne forme pas tu sais le prix des (...) -
Aragon | « Ce printemps des cimetières qu’on appelle l’avenir »
20 janvier 2014, par arnaud maïsettiEt surtout de ce qui va naître de nous