Jamais assez, chorégraphie de Fabrice Lambert [Avignon In, Gymnase du lycée Aubanel] – juillet 2015
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_Avignon
Articles
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Fabrice Lambert | L’art et la manière de meubler
17 juillet 2015, par arnaud maïsetti -
Avignon #fin | s’armer de courage
24 juillet 2016, par arnaud maïsettiet celui qui a une fois flairé le sang au théâtre ne peut plus exister sans théâtre
Thomas Bernhard Place des héros Après trois semaines dans la fournaise d’Avignon, un dernier regard sur la ville : est-ce que je peux dire seulement que quelque chose a commencé ?
Des spectacles par dizaines et des foules qui entrent au hasard – après les fouilles (le mot est presque le même) par centaines pour s’assurer que –, des foules hurlantes et joyeuses venues ici pour s’applaudir elles-mêmes et (…) -
Guy Cassiers et Maud Le Pladec | Produire l’effacement
3 août 2017, par arnaud maïsettiGrensgeval, mise en scène par Guy Cassiers et Maud le Pladec [Avignon In, Parc des Expositions] – juillet 2017
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Avignon, rues sauvages
16 décembre 2010, par arnaud maïsetti17 photos et le nom d’Avignon dans son ombre déserte
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derniers jours des derniers jours [Avignon #4]
24 juillet 2018, par arnaud maïsettiAu théâtre s’accuse leur goût pour le lointain. La salle est longue, la scène profonde. Les images, les formes des personnages y apparaissent, grâce à un jeu de glaces (les acteurs jouent dans une autre salle), y apparaissent plus réels que s’ils étaient présents, plus concentrés, épurés, définitifs, défaits de ce halo que donne toujours la présence réelle face à face. Des paroles, venues du plafond, sont prononcées en leur nom. L’impression de fatalité, sans l’ombre de (…)
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Avignon, aller et retour
24 juillet 2017, par arnaud maïsetti24 juillet
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Jérôme Bel | Sortir du théâtre
2 août 2013, par arnaud maïsettiCour d’Honneur, mis en scène de Jérôme Bel [Avignon In, Cour d’Honneur] – juillet 2013
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Ali Chahrour | Érotique de l’élégie
20 juillet 2016, par arnaud maïsettiFatmeh, chorégraphie d’Ali Chahrour [Avignon In, Cloître des Célestins] – juillet 2016
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pour nous, dans la nuit [Avignon #1]
11 juillet 2018, par arnaud maïsettiNous n’avons ici, dit-elle, qu’un soleil par mois, et pour peu de temps. On se frotte les yeux des jours en avance. Mais en vain. Temps inexorable. Soleil n’arrive qu’en son heure. Ensuite on a un monde de choses à faire, tant qu’il y a de la clarté, si bien qu’on a à peine le temps de se regarder un peu. La contrariété, pour nous, dans la nuit, c’est quand il faut travailler, et il le faut.
H. Michaux, Je vous écris d’un pays lointain
Plein ciel sur Avignon de nouveau – au pied de l’été (…) -
Olivier Py | La contemplation des ruines
25 juillet 2016, par arnaud maïsettiEschyle, Pièces de guerre mis en scène par Olivier Py [Avignon In, Chartreuse] – juillet 2017
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alternatives aux alternatives [Avignon #2]
11 juillet 2018, par arnaud maïsetti« … arrêter l’héritage du malheur. C’est ce qui advient au cœur de ce mystère de la représentation hors temps. Communauté convergente vers le centre du sens et réouverture de toutes les alternatives politiques. »
O. P. (éditorial du programme du 72e festival d’Avignon) Nous sommes ainsi accueillis par le directeur du lieu : un édito au joli titre – « singularités » – et ce pluriel de bon aloi qui devrait réconcilier tous ceux qui revendiquent la singularité et en même temps sa pluralité. (…) -
Pascal Kirsch | Maeterlinck inouï, ou l’impossible
1er août 2017, par arnaud maïsettiLa Princesse Maleine, de Maurice Maeterlinck, mis en scène par Pascal Kirsch [Avignon In, Cloitre des Célestins] - juillet 2017.
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La Ville écrite | poucet
26 juillet 2016, par arnaud maïsettije n’ai pas peur de la route
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de chaque Monade
24 février 2012, par arnaud maïsetti[…] Et comme une même ville regardée de différents côtés paraît tout autre et est comme multipliée perspectivement […],
Au passage de la lumière, je me demanderai sans fin si je suis celui qui l’interromps ou si je deviens son passager, éphémère et transitoire – alors je passe, deviens malgré moi celui qui l’intercepte, même si je préfère croire que je suis un peu sa diffraction sur la peau de ce qui m’entoure,
[…] il y a comme autant de différents univers qui ne sont pourtant que les (…) -
twitter | noms des rues (Avignon sauvage)
9 décembre 2010, par arnaud maïsettiusage de twitter — sur le récit des villes
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Thomas Jolly | Naufrages ô désespoir
21 juillet 2016, par arnaud maïsettiLe Radeau de la Méduse, de Georg Kaizer, mis en scène par Thomas Jolly [Avignon In, Lycée Saint-Joseph] – juillet 2016
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fenêtres (sur Cour d’Honneur)
17 août 2010, par arnaud maïsetti14 photographies : fenêtre depuis la cour d’honneur du Palais des Papes, Avignon
Été 10 -
faire continuer le monde (les cris psalmodiés dans les rires)
21 juillet 2013, par arnaud maïsettiAu fond, hors de l’image, à gauche (à jardin) : un type fait des tours, c’est une tradition depuis si longtemps – clown public, mime, amuseur de galerie –, il y a en cercle qui le regardent plus de trois cent personnes, peut-être plus — c’est qu’au pied du Palais des Papes, une heure avant le spectacle, il y a foule ici, oui, désœuvrée, qui attend, prête déjà pour le spectacle et puisqu’on lui en donne un (qu’elle n’attendait pas), et pour lequel elle n’a pas payé, elle est là, et comme le (…)
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Avignon #1 | se cogner la ville
18 juillet 2016, par arnaud maïsettiArles, Aix, Avignon : en une semaine, passer d’une ville à l’autre change le décor, pas vraiment la couleur de la nuit. Dans chacune des villes, aller d’un théâtre à l’autre, d’une rue noire à l’autre en essayant de rejoindre le lendemain.
« Vivre, c’est passer d’un espace à un autre en essayant le plus possible de ne pas se cogner » (Perec)
Je pensais plutôt le contraire : vivre, chercher à s’affronter – à travers quelques pièces, des corps et des voix – à ce qui excède la force de (…) -
Avignon, journal du débord : l’arrivée
18 juillet 2015, par arnaud maïsettiLundi dernier, arrivée à Avignon écrasé de chaleur ; cinq jours après, trouver le temps de poser en soi les images de la ville – on a beau s’y attendre, savoir à l’avance les rues pleines et les murs couverts, les cris, les ahurissements des foules devant tout ce qui fait spectacle en hurlant davantage ou plus doucement, les heures creuses comme avant la curée, et la ville partout débordée comme un ventre trop plein, c’est toujours l’épuisement immédiat, l’écœurement vague, la distance (…)
