O la poudre des saules qu’une aile secoue ! Les roses des roseaux dès longtemps dévorées ! Mon canot, toujours fixe, et sa chaîne tirée Au fond de cet œil d’eau sans borne — à quelle boue ! La terre d’orage avant l’orage dans le ciel, je pourrais la regarder toute la vie, en faire ma tâche de chaque jour : chercher les endroits du monde où l’orage va tomber, c’est un métier que je veux bien accepter pour être vivant, et apprendre à savoir quand cela va éclater, où la foudre en premier va tomber, où le (...)
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