En cherchant l’ombre
printemps 22
Accueil > Mots-clés > _Écrire > _dieu
_dieu
Articles
-
Milan #4 | Mille églises
11 juin, par arnaud maïsetti -
España #2 | Barcelona [2]
24 novembre 2014, par arnaud maïsettijusqu’à l’épuisement
automne 14 -
Maître Eckhart : « Je prie Dieu de me libérer de Dieu ! »
23 avril 2019, par arnaud maïsettiEckhart von Hochheim, dit Maître Eckhart est né en1260 et son corps a achevé son aventure terrestre vers 1328. On dit qu’il fut le premier des mystiques rhénans. C’était surtout un homme qui étudia à Erfurt, Cologne et Paris avant de célébrer la messe à Cologne et Strasbourg. Sermon 52 Nous disons donc que l’homme doit être tellement pauvre
QU’IL NE SOIT PAS UN LIEU ET N’AIT PAS EN LUI UN LIEU OU DIEU PUISSE OPÉRER.
Tant que l’homme conserve encore en lui un lieu quelconque, il conserve aussi quelque (...) -
Amiens | « une impression confuse mais forte »
30 septembre 2013, par arnaud maïsettivues sur la cathédrale, portail ouest
-
Arnaud des Pallières | Michael Kohlhaas
17 août 2013, par arnaud maïsettiTerreur et douceur du temps injuste
-
Milan #3 | Il Duomo
5 juin, par arnaud maïsettiEn levant les yeux
printemps 22 -
William Blake | « Nuit »
18 août 2013, par arnaud maïsettiEt moi je recherche le mien.
-
La Ville écrite | j’existe
7 septembre 2016, par arnaud maïsettiles voies sont impénétrables (et inouïes)
-
La Ville écrite | Secret des ratures d’Allah
1er juin 2015, par arnaud maïsettila vérité
-
quand je fondais la terre (l’arbre de vie)
27 juin 2012, par arnaud maïsettiWhere were you when I laid the foundations of the Earth, when the morning stars sang together, and all the sons of God shouted for joy ?
« Où étais-tu quand je fondais la terre […] alors que les étoiles du matin éclataient en chants d’allégresse et que tous les fils de Dieu poussaient des cris de joie ? »
(Livre de Job, chapitre 38-4)
Poussé en moi dans mes dérives, l’arbre : au bout de cette marche loin dans les quartiers de la ville, au sud, à l’ouest, là où il n’y a rien que des grandes tours (...) -
du désespoir d’écrire
6 septembre 2011, par arnaud maïsettiLong Haired Child (Devendra Banhart, ‘Cripple Crow’, 2005)
Maybe when it’s day, it’s cold, and I know for certain / When I go outside and my head started hurtin / I’m gonna want that child to be a long-haired child
Peut-être cet effroi que j’avais – qu’ont tant d’autres – de coucher dans une chambre inconnue, peut-être cet effroi n’est-il que la forme la plus humble, obscure, organique, presque inconsciente, de ce grand refus désespéré qu’opposent les choses qui constituent le meilleur de notre vie (...) -
En rêvant Les Moissons du Ciel
23 décembre 2012, par arnaud maïsettiTerrence Malick | Les Moissons du Ciel
-
Notre-Dame | cette ruine austère
16 avril 2019, par arnaud maïsettiNotre-Dame est bien vieille
-
Rimbaud | naissance de la mort
11 novembre 2014, par arnaud maïsettiles derniers jours
-
Dostoïevski | « Le poème du Grand Inquisiteur
18 mai 2010« Tu sais, Aliocha, ne ris pas, mais, un jour, j’ai composé un poème, ça fait un an de ça. »
-
regards de Saint-Sébastien
29 août 2011, par arnaud maïsettiAll Saints (David Bowie, ’Low’1977)
« Et les archers le frappèrent jusqu’à ce qu’il soit recouvert de flèches comme un hérisson est couvert d’épines » Legenda Aurea
Des images de Calvaires, j’en compte près de trois cent. Au hasard, je trouve ce Saint-Sébastien, au visage qui transperce, le regard vide posé avec douceur sur la vieillesse du monde. Je m’arrête un peu devant lui, avec le sentiment incompréhensible que l’on se situe, ici, de l’autre côté de ce regard.
La vie de ce saint est manquante, comme (...) -
Georges Bataille, entretien 1951 | Dieu, ou rien #3
23 avril 2015, par arnaud maïsettipuisqu’on s’en fout
-
William Blake | « L’Image Divine »
11 août 2013, par arnaud maïsettiTous prient dans leur désarroi
-
le maître est là (et il t’appelle)
2 septembre 2012, par arnaud maïsettile maître est là, et il t’appelle : je me retourne, il n’y a pourtant personne que moi.
il t’appelle et la porte est fermée. je frappe, j’entends le vide qu’il fait à l’intérieur, et puis beaucoup de silence.
le maître t’appelle encore : quand on viendra répondre présent, il répétera le nom, dans tout le vide qui s’est bâti depuis le temps qu’il lance ton nom, ton nom qui lui revient dans le vent, qui a fini par creuser ce lieu de toutes nos absences.
il faudrait peut-être croire en dieu pour cette raison (...) -
Saint-Jean-de-La-Croix | « Pendant une nuit obscure »
21 mars 2012, par arnaud maïsetti« En una noche oscura, »