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_évidences & accords
Articles
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Peter Handke | « Accorde-toi le soleil »
31 janvier 2019, par arnaud maïsetti -
Maurice Blanchot | « Et éternellement elle est là »
19 novembre 2013, par arnaud maïsettiQui peut dire : ceci est arrivé
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René Char | « Une échelle de plus en plus nue »
29 juillet 2012À l’âge d’homme
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Keren Ann | 101 floors (wake up slowly)
15 février 2012, par arnaud maïsettiKeren Ann, ouverture du concert du 13 février au Trianon, Paris
101 & Strange Weather -
La Bible | Les chiffres de la sagesse
24 juin 2012, par arnaud maïsettiIl y a trois choses qui sont au-dessus de ma portée
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Franz Kafka | « Entre le public et le ciel »
25 décembre 2011, par arnaud maïsettiQuiconque vit abandonné et voudrait cependant, çà ou là,
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tenir le fil
22 mai 2019, par arnaud maïsetti22 mai 2019
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Hurlements en faveur de soi [# 2]
4 décembre 2011, par arnaud maïsettiVingt-sept variations : violence ; corps ; désir
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(de l’adresse pour conjurer le désespoir)
23 décembre 2011, par arnaud maïsettide l’opacité de mes textes
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Oracle #2 | Ghazal 12
31 janvier 2012, par arnaud maïsettià la Beauté
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« la lumière vient de ce qui se laisse détruire » (Supernova)
16 juin 2012, par arnaud maïsettiDu ciel ne nous parviennent que des nouvelles anciennes, déjà effacées, d’un monde éteint : et moi je marche à travers elles. Les lumières qui me permettent de voir et d’avancer dans la nuit noire d’un soir comme celui-là sont jetées par une étoile aujourd’hui morte, depuis des milliards d’années, morte et enterrée dans un noir plus grand encore que celui qui nous entoure. Appris il y a peu : en quoi une supernova nous est précieuse, parce que dans cette mort de l’étoile surgit une lumière telle qu’elle (...)
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à la nuit tombée (et au temps qu’elle met)
21 janvier 2014, par arnaud maïsettiJe ne le savais pas. La nuit ici tombait pendant des heures, lentement. Amsterdam est une ville comme un cercle. Quand j’approche du centre, c’est vide. Mais si je m’éloigne, d’autres canaux emportent d’autres souvenirs, et d’autres lenteurs. La nuit ici tombe si tôt. À midi, c’est déjà bientôt fini. Peut-être dès le matin, je ne sais pas, je ne sais vraiment pas, je ne sais rien.
Dans cette nuit qui ne cesse pas de tomber, je me tiens.
C’est sur cette place, que j’ai trouvé cette statue (je n’ai jamais (...) -
Saint-Jean-de-La-Croix | « Pendant une nuit obscure »
21 mars 2012, par arnaud maïsettiEn una noche oscura
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Rimbaud | Les vies posthumes
11 novembre 2011, par arnaud maïsetti120 ans après la mort de Rimbaud : aucun héritage
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Statuaires, paroles muettes
13 novembre 2013, par arnaud maïsetti(sta-tue) s. f. Figure entière et de plein relief, représentant un homme ou une femme, une divinité, un animal, un dieu, un cheval, un lion.
Littré
Mélancolie de l’homme : « si je suis là, c’est au même moment où tu es, si loin, et que la lumière me frappe comme pour dire : je frappe aussi celle qui est auprès d’autres corps, si loin, pour la seule raison du crépuscule, des désirs emportés. »
Songe de la femme : « je vais d’une heure à l’autre, doucement, et d’un corps d’homme à l’autre, avec les yeux, (...) -
Louis Aragon | « Voilà ma vie »
2 novembre 2011, par arnaud maïsettiIl ne pleut pas Le vent s’est tu La nuit profonde
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Michael Pitt | From Death to Birth
28 septembre 2013, par arnaud maïsettidéparts
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Gottfried Wilhelm Leibniz | « Il n’y a rien de mort dans l’univers »
24 février 2012, par arnaud maïsetti« Chaque portion de la matière peut être conçue comme un jardin »
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Armand Méliès | L’art perdu du secret
22 avril 2013, par arnaud maïsettiet j’ignore
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à part le siècle (le même âge que Kafka)
3 mai 2013, par arnaud maïsettic’est d’avoir appris, en feuilletant dans la rue ce Kafka que j’avais acheté le matin, qu’il était né en 1883 – comme moi, mais un siècle après –, que j’ai regardé cette peinture haute de toute la façade, et je me suis arrêté pour mieux la regarder, il y avait une jeune fille qui serrait la main de son amie en ne cessant de l’embrasser sur les yeux pour l’agacer un peu, et la faire rire (elle riait), et l’enfant qui se penchait sur sa poupée tombée sur le sol pour l’épousseter, et ce couple de vieillard, (...)