décrit non pas en général, mais dans un moment précis d’une histoire
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_foules
Articles
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Personnages #1 | Onze fois trente-trois
28 juin 2017, par arnaud maïsetti -
Henri Michaux | « Comme un mur devant la race des hommes »
5 juillet 2018, par arnaud maïsettiÉpreuves, Exorcisme
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Marseille | République en carton (grave)
7 avril 2016, par arnaud maïsettirue de la République en carton
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Aragon | J’arrive où je suis étranger
29 mars 2016, par arnaud maïsettiRien n’est précaire comme vivre
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Hong Kong #2 | Ville Monde d’en bas
18 janvier 2016, par arnaud maïsettile 14 octobre
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la musique creuse le ciel
30 mai 2018, par arnaud maïsetti30 mai 2018
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La Ville écrite | Marseille : vivez,
31 mai 2016, par arnaud maïsettiréjouissez vous
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mémoire des jours à venir
16 avril 2018, par arnaud maïsetti16 avril 2018
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La Ville écrite | pour une vie avant la mort
8 avril 2016, par arnaud maïsettila vie est plus vaste
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anticipation #43 | stades où crier
18 octobre 2010, par arnaud maïsettiDes cris que la ville poussait plus haut qu’elle, et des endroits où elle se rassemblait pour cela, il ne restait que de la poussière entreposée au milieu des ruines, rien d’autre.
Lorsqu’on se retrouvait devant ces monuments, on ne savait pas s’il fallait entrer ou rester dehors. Au juste, où résider le monument, et où ce qui l’entourait : s’il fallait regarder les courbes, juger des hauteurs, ou pénétrer dans l’enceinte pour voir les gradins, ou la fosse — non, on ne savait pas au juste devant quoi on (...) -
Nuit et Jour, ZeigtGeist | rue de la République (de la colère) #7
5 avril 2016, par arnaud maïsettiJour de grève à Marseille
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Rue d’Aubagne | « À nos morts, à vos murs »
6 novembre 2019, par arnaud maïsetti5.11, un an après
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La Ville écrite | flânage interdit
4 juin 2016, par arnaud maïsettiêtre au centre du monde et rester caché au monde
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ruissellements, soleils (sommeil aux cris de la foule)
3 juin 2012, par arnaud maïsettiDans le lit tard Nous sommes là Nous recommençons Tout
J’ai du mal À y croire Je vois des bras De mer
Y. T.
Les premières gouttes de ciel tombent sur moi ce soir quand je rentre du soleil frappé si fort sur le visage et les yeux, que le sommeil en plein jour (cela ne m’arrive jamais) — comme si j’avais dû passer par le rêve pour continuer.
Mais je n’ai pas rêvé — juste déposer ma tête comme on se confie tout entier et sa peine et sa force à qui pourrait les consoler, et les accepter : s’y livrer tout (...) -
derniers jours des derniers jours [Avignon #4]
24 juillet 2018, par arnaud maïsettiAu théâtre s’accuse leur goût pour le lointain. La salle est longue, la scène profonde. Les images, les formes des personnages y apparaissent, grâce à un jeu de glaces (les acteurs jouent dans une autre salle), y apparaissent plus réels que s’ils étaient présents, plus concentrés, épurés, définitifs, défaits de ce halo que donne toujours la présence réelle face à face. Des paroles, venues du plafond, sont prononcées en leur nom. L’impression de fatalité, sans l’ombre de pathos, est (...)
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la dune — vestiges d’un désir
14 mai 2011, par arnaud maïsettiLa Plage (Yann Tiersen, ’Les Retrouvailles’ 2005)
… que tu te déplaces alors ou non
sur l’enjambée
la hauteur ici
reprend.
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… plage
du plus haut
comme
sans qu’ici le vent ait à reprendre souffle
moi-même arrêté.
André Du Bouchet, Ici en deux in ’Poèmes et proses’
Longue plage de temps et d’espace morts à atteindre comme l’endroit le plus reculé du monde : reculé, c’est le mot, puisqu’à chaque pas que l’on fait pour monter dans le sable, on (...) -
le dessein des villes
26 octobre 2010, par arnaud maïsettiOther Towns and Cities (Camera Obscura, ’My Maudlin Career’ [2009])
Ce que je crois – sans pouvoir alléguer de suffisantes raisons à cette croyance – s’énoncerait donc ainsi : le péché qui fit (et défit) l’enfance dispose de tous les mots sauf d’un seul pour tenter de se dire. Mais, parce qu’il est un mot qui manque, l’absence mine la phrase. Et la phrase ne peut se développer que d’une manière oblique et allusive, élaborant lentement ses circonlocutions, gyrovaguant à l’infini autour de son point de (...) -
il y était presque
1er mai 2017, par arnaud maïsetti1er mai
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un rêve #545 | mouvements de foule
25 août 2010, par arnaud maïsettiUn rêve : au milieu d’une foule compacte, marchant lentement au pas de la manifestation
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l’état de la France, juste avant la peau
11 avril 2017, par arnaud maïsetti11 avril