C’est un texte de coulisses. Un texte sur le sas que représente chacun de ces lieux, et le très bref chemin, avec ses stations, qu’on accomplit dans l’intérieur de ce sas.
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_François Bon
Articles
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Lieu | Bergounioux lieu public #4
15 janvier 2017, par arnaud maïsetti -
Écritures (numériques) | ceci n’est pas un bilan
2 avril 2018, par arnaud maïsettitoutes images prises à Nîmes – ici, lors de la géolecture proposée par Thierry Crouzet Notes sur. Nîmes : deux journées denses de colloque et d’échanges autour de l’auteur•e à l’ère numérique organisées par Marcello Vitali-Rosati et Stéphane Vial et l’équipe PROJEKT – dans le droit fil des travaux menés à Montréal par l’équipe d’Écritures Numériques (avec aussi Servanne Monjour). Moment d’un retour amont et bribes de pensées en désordre (on sait le prix de ce mot quand il faut penser le web, et ce qu’on lui doit).
On (...) -
José Corti | l’esprit des lieux
26 décembre 2016, par arnaud maïsettifermer une librairie, vider les lieux
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Bob Dylan et le Nobel | « Carelessness… »
14 octobre 2016, par arnaud maïsettipolitique de la négligence
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semaine des désirs furieux et du chaos fragile
22 novembre 2015, par arnaud maïsettiSemaine dans le décompte des morts, et comme arrêtée sur vendredi dernier des carnages. Semaine des bavardages ignobles, des avis, des appels. Que la vie continue. Mais laquelle ?
On entend prononcer le mot guerre. Pour s’autoriser le mot guerre, on demande à corriger les ordonnances de 1955, trop lointaines, trop guerrières aussi : une époque où ces ordonnances avaient été établies pour récuser le mot guerre, lui préférer celui d’événements. Cette histoire est la nôtre : elle renverse les mots pour en (...) -
« Qu’est-ce qu’elle dit Zazie ? » (1998)
1er décembre 2013, par arnaud maïsettiRetranscription de l’émission : « Qu’est-ce qu’elle dit Zazie ? » de 1998. Notes sur le roman
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Rabelais | Éloge de la dette
6 juillet 2015, par arnaud maïsettiRabelais, contribution au débat public sur la dette
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l’homme seul et la mer
7 juillet 2017, par arnaud maïsettiIl ne se rappelait pas quand il avait commencé à parler à haute voix quand il était seul. Dans les jours les plus anciens, quand il était seul, il chantait – et il avait aussi chanté parfois la nuit quand il était de veille sur les caboteurs ou les bateaux pour la tortue. Il avait probablement commencé à parler à haute voix, quand il était seul, au moment où le garçon l’avait quitté. Il ne se souvenait pas. Quand il pêchait avec le garçon, ils ne parlaient en général que lorsque nécessaire. Ils parlaient (...)
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Passages à la ligne | questions (numériques) autour du paragraphe
24 juin 2012, par arnaud maïsettià l’occasion de la publication de « Où que je sois encore… en numérique
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F. Bon dans Libération | « Google exacerbe Borges »
22 décembre 2011, par arnaud maïsettiEntretien sur la littérature numérique
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Koltès | « ÉCRAN DE NUIT », cinq lectures de François Bon
3 février 2018, par arnaud maïsettiune traversée
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rentrer dans la beauté terrible de cette nuit
7 novembre 2014, par arnaud maïsettiDehors, quelque part entre Aix et la mer, rentrer vers Marseille parmi d’autres et au milieu d’autres rentrant le soir par la route, la voiture remonte vers la mer — je sais bien qu’elle y descend plutôt, mais j’ai toujours cette impression, venant du nord, d’y monter. Nuit très noire, plus noire encore à cause de la brume, du froid nouveau sur ces terres qui après six mois de chaleur soudain vont geler. Phares rouges tout autour de moi, collines qu’on ne voit plus ; entre deux virages on perçoit (...)
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Lire & écrire en ligne | interruptions, appels
19 octobre 2011, par arnaud maïsettiretour sur soirée remue.net – le lire/écrire numérique
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François Bon | Une réorganisation du monde
2 novembre 2012, par arnaud maïsettiAffrontements — l’un des textes de Michaux qui m’importent le plus et au plus haut. L’été dernier et jusqu’à l’automne, l’ouverture d’un blog — que je ne signerai pas : on a parfois de ces besoins d’espaces et d’affranchissement — à partir de l’incitation de ce mot (et de plus loin aussi) avec fiction continue sur voix, visage, corps, combats, ceux qui se donnent contre soi aussi. Quand François Bon me propose il y a peu un échange pour les vases-communicants, c’est presque naturellement à partir de ce mot (...)
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Écrivain, public | « quelque travail impossible à réaliser »
8 mai 2013, par arnaud maïsettide l’écriture publique, de soi, des autres qu’on raconte
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un dépli — dans la chambre du mort
15 avril 2011, par arnaud maïsettiChorus - Since by man came death (Georg-Friedrich Haendel, ’Messiah’)
Texte écrit en écho, réponse, appel, à la séance 18 des ateliers d’écriture de la BU d’Angers proposée par François Bon. Je me suis dit qu’on écrivait toujours sur le corps mort du monde et, de même, sur le corps mort de l’amour. Que c’était dans les états d’absence que l’écrit s’engouffrait pour ne remplacer rien de ce qui avait été vécu ou supposé l’avoir été, mais pour en consigner le désert par lui laissé.
Marguerite Duras, La mort du (...) -
à lire | sites et écritures sur publie.net
4 juillet 2011, par arnaud maïsettiPublication d’un ouvrage collectif : avec I. Butterlin, L. Margantin, et F. Bon – réflexion commune
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Personnages #1 | Onze fois trente-trois
28 juin 2017, par arnaud maïsettidécrit non pas en général, mais dans un moment précis d’une histoire
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à venir | « avons-nous encore besoin du livre ? » – échanges
12 octobre 2011, par arnaud maïsettirencontres Remue.net : Autour et après Après le Livre de François Bon.
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vers Montpellier (et sa lumière nette)
29 novembre 2013, par arnaud maïsettiLong ciel de traîne, de Paris jusqu’à la neige : quand la neige apparaît sur la vitre du train, le ciel se lève, évidemment ; et c’est immense, on ne le mesure pas, c’est là. S’isoler des conversations vulgaires dans la rame de la voiture, cette personnalité qui tient salon au milieu de nous autres, bas peuple, qui nous fait tant sentir qu’on n’est pas du même monde. J’augmente la musique dans mes oreilles, doucement, ferme les yeux. Puis, c’est sur le quai, dehors, un froid plus vif de n’être protégé par (...)