Récit
rééd. Publie.net
juin 2012
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_François Bon
Articles
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« Où que je sois encore… | publie.net
20 juin 2012, par arnaud maïsetti -
José Corti | l’esprit des lieux
26 décembre 2016, par arnaud maïsettifermer une librairie, vider les lieux
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Contre | Performance, vers l’homme (François Bon, Philippe De Jonckheere, Dominique Pifarély)
27 avril 2013, par arnaud maïsettiMars 2013, notes sur, et tout contre
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Montpellier, en partant (de la grue, des bancs et des valises défaites)
30 novembre 2013, par arnaud maïsettiLa source et l’essence de notre richesse sont données dans le rayonnement du soleil, qui dispense l’énergie – la richesse – sans contrepartie. Le soleil donne sans jamais recevoir.
G. Bataille.
Dans les villes où ne passer que deux jours, il n’y a que des trajets et aucune mémoire : reste la trace de comment les directions s’organisent, et c’est tout. Deux jours à Montpellier, quand j’ai fermé la chambre d’hôtel, j’ai vérifié d’un regard n’avoir rien oublié : en réalité, j’avais à (…) -
François Bon | Sites et situations du monde
16 septembre 2006, par arnaud maïsettiFrançois Bon, Tumulte, Fayard – août 2006
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Lieu | à chacun sa rue Vilin #3
28 décembre 2016, par arnaud maïsettiC’est le lieu de la ville : le lieu de la rencontre et de l’écoute des signes arbitrairement laissés par les autres.
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histoires du jour (Zeppelin)
15 mars 2011, par arnaud maïsettiRock and Roll (Led Zeppelin, ’How The Best Was Won’, Concert 1972)
Ce soir, rien que des images diffuses de la journée, brisée, mais laquelle saurait la dire toute ? Après-midi, travail autour de Giambattista Vico : relever cette idée, qui appartient à sa conception de l’Histoire éternelle idéale — cherchant une nature commune aux nations, Vico dégage trois coutumes humaines qui les rendraient, au-delà des différences, communes ; coutumes existant depuis tous temps et pour tous temps. 1. (…) -
vers Montpellier (et sa lumière nette)
29 novembre 2013, par arnaud maïsettiLong ciel de traîne, de Paris jusqu’à la neige : quand la neige apparaît sur la vitre du train, le ciel se lève, évidemment ; et c’est immense, on ne le mesure pas, c’est là. S’isoler des conversations vulgaires dans la rame de la voiture, cette personnalité qui tient salon au milieu de nous autres, bas peuple, qui nous fait tant sentir qu’on n’est pas du même monde. J’augmente la musique dans mes oreilles, doucement, ferme les yeux. Puis, c’est sur le quai, dehors, un froid plus vif de (…)
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Lieu | mouvement, mais sans verbe #2
20 décembre 2016, par arnaud maïsetticomment un récit peut-il donner l’impression qu’on se déplace dans le réel qu’il représente ?
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Écrivain, public | « quelque travail impossible à réaliser »
8 mai 2013, par arnaud maïsettide l’écriture publique, de soi, des autres qu’on raconte
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Rabelais | Éloge de la dette
6 juillet 2015, par arnaud maïsettiRabelais, contribution au débat public sur la dette
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Koltès | « ÉCRAN DE NUIT », cinq lectures de François Bon
3 février 2018, par arnaud maïsettiune traversée
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image fiction | dans le jour, ce qu’on emporte avec soi
23 juillet 2013, par arnaud maïsettiimage fiction du rêve, de la ville, de la mémoire
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Lieu | point-virgule #1
18 décembre 2016, par arnaud maïsettiune suite de recharges d’énergie qui, combinées à la diversité des attaques et contenus, rendent l’avancée hypnotisante.
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« Qu’est-ce qu’elle dit Zazie ? » (1998)
1er décembre 2013, par arnaud maïsettiRetranscription de l’émission : « Qu’est-ce qu’elle dit Zazie ? » de 1998. Notes sur le roman
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Tiers-livre | François Bon à l’œuvre (colloque à Montpellier)
27 novembre 2013, par arnaud maïsettiColloque sur le tiers livre de François Bon
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à lire, à voir | usage littéraire de l’ipad
18 décembre 2010, par arnaud maïsettiEntretien de François Bon sur l’Ipad dans Libération : ouvrir l’atelier.
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le monde n’a pas fini (finalement)
31 décembre 2012, par arnaud maïsettice ne peut être que la fin du monde, en avançant — depuis combien de temps la phrase de Rimbaud m’accompagne, je ne sais pas, depuis toujours sans doute : mais l’origine aussi a ses commencements (seulement, le propre de l’origine, c’est d’avoir commencé avec son oubli) : et pourquoi, oh pourquoi. Peut-être parce que plus que ma vie, c’est la bascule de cette virgule qui m’importe le plus, peut-être parce que j’ai choisi, un jour (je me souviens bien, du ciel ce jour précisément), j’avais (…)
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François Bon | Du repliement des morts sur la ville
6 décembre 2013, par arnaud maïsettiVases-communicants — longtemps que je m’en étais tenu un peu loin, ces moments de retrait sont parfois des temps d’élan — ce premier vendredi de décembre, proposition de François Bon d’échanger, et c’est grand plaisir de lui ouvrir ces carnets.
Ce soir, il m’envoie ce texte : des hôtels de Cergy, et de la vie insistante des morts. Souvenir me vient alors, assez proche, de cet hôtel à Grenoble, juste un soir avant une audition, et ma crainte parce que j’arrivais après 23h de voir portes (…) -
Bob Dylan et le Nobel | « Carelessness… »
14 octobre 2016, par arnaud maïsettipolitique de la négligence