Kabaret Warszawski, mise en scène de Krzysztof Warlikowski [Avignon In, La Fabrika] – juillet 2013
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Articles
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Krzysztof Warlikowski | Libérer les peurs, politique de l’exorcisme
2 août 2013, par arnaud maïsetti -
Colloque | Entre monologue et dialogue
1er mai 2016, par arnaud maïsetticolloque à Paris VII et Paris 3 – 2 au 4 mai 2016
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Colloque Nantes | Atelier international de recherche & création « scène Europe - Europe sur scène »
14 février 2018, par arnaud maïsettiProgramme du colloque
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Krzysztof Warlikowski | Élégies féminines et monstruosités du mâle
12 décembre 2015, par arnaud maïsettiLe château de Barbe-Bleue / La Voix Humaine, d’après les opéras de Bartok/Belazs, et de Cocteau / Poulenc, mise en scène par Krzysztof Warlikowski, direction musicale d’Esa-Pekka Salonen [Paris, Opéra Garnier] – décembre 2015
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Krzysztof Warlikowski | Combattre les fantômes de l’histoire
15 juillet 2016, par arnaud maïsettiIl Trionfo del Tempo e del Distinganno, Pamphili, Musique de Georg Friedrich Haendel (1707), mise en scène par Krzysztof Warlikowski, direction musicale Emmanuelle Haïm [Festival d’Art Lyrique d’Aix-en-Provence] - juillet 2016
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Krzysztof Warlikowski | Là où la sortie n’existe pas
23 février 2011, par arnaud maïsettiLa Fin (Koniec) d’après Koltès, Kafka & Coetzee, par Krzysztof Karlikowski, Paris, Odéon, février 2011
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Pensées du théâtre de Warlikowski
1er mai 2015, par arnaud maïsettiArticle publié dans Incertains Regards, Hors-Série n°1, « Le théâtre pense, certes, mais quoi, comment et où ? », aux Presses Universitaires de Provence – mai 2015.
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Il n’y a pas de contradiction. Il y a une absence de ponctuation.
16 mars 2015, par arnaud maïsettiDans le passage des jours toujours plus rapide que moi, plus rapide que chaque jour même, rien n’est possible, à part peut-être s’accrocher à cette vitesse-là des jours, d’un théâtre à l’autre, et d’un matin à l’autre, le soir peut-être, arrêté sur lui-même.
Je possède certaines ruses. La ville en est une. Ou plutôt l’image et comment en retour elle peut appeler en moi ce qu’elle n’est pas. L’appareil photo est une arme : il suffit de le tendre, sur telles parois de la ville, tel ciel qui sur elle se pose et (...)