novembre est éternel
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_merveille
Articles
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Max Richter | November
11 octobre 2013, par arnaud maïsetti -
Antonin Artaud | « et que ma Vie puisse ressusciter »
7 décembre 2013, par arnaud maïsettiLettre à André Breton
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Marseille | sud, sud-ouest
28 janvier 2016, par arnaud maïsettiface à l’île Maire (et à tout ce qui m’entoure)
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Aubes | XVI. (N’importe où hors du monde)
18 mars 2014, par arnaud maïsettiseizième chapitre
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légendes urbaines #1
27 octobre 2013, par arnaud maïsettisemaine du 21 au 27 octobre
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ces autres manières de vivre
10 mars 2017, par arnaud maïsetti10 mars
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Aut viam inveniam aut faciam (un trajet)
14 février 2014, par arnaud maïsettiPour me souvenir de ce jour, je n’ai rien d’autre : quelques images prises à la volée du ciel, en passant vite entre deux portes, deux heures, deux moments où la ville s’ouvre et où je m’engouffre, je crois que c’est cela : une brèche.
Je suis la brèche elle-même, et le mouvement en elle, et la force d’en retenir quelques fragrances, quelques épars dans l’étoilement des choses, la lapidation des regrets, et sur tout cela pèse comme le sentiment de ce qui passe, et ne reviendra plus, et pour cette raison (...) -
Naná Vasconcelos | Battre les eaux
11 mars 2016, par arnaud maïsettimort du percussionniste des vagues
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la foi seule (à commencer par le temps)
8 mars 2013, par arnaud maïsettiUn coup de ton doigt sur le tambour décharge tous les sons et commence la nouvelle harmonie. Un pas de toi, c’est la levée des nouveaux hommes et leur en-marche. Ta tête se détourne : le nouvel amour ! Ta tête se retourne, — le nouvel amour ! « Change nos lots, crible les fléaux, à commencer par le temps », te chantent ces enfants. « Élève n’importe où la substance de nos fortunes et de nos voeux » on t’en prie. Arrivée de toujours, qui t’en iras partout.
Rimb.
On ne sait pas (...) -
Rimbaud | Au mois de mai, « Si un rayon me blesse »
30 avril 2013, par arnaud maïsettiMai, et mourir sur la mousse
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le ciel, vu d’ici
4 janvier 2017, par arnaud maïsetti4 janvier, ombres
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pensées en remontant rue Tolbiac (dans la broussaille des flancs le bonheur)
19 avril 2013, par arnaud maïsettij’ai pensé à ce texte que j’écrirai en rentrant, pendant que je remontais la rue vers la chambre, immédiatement, et je l’ai vu défiler mentalement devant moi avec la précision définitive des textes qu’on lit dans les rêves, j’ai pensé qu’il ne me faudrait que penser à cette pensée, une fois rentré, pour en finir avec cette pensée, et que cela serait bien, que cela serait enfin bien, et immédiatement après j’ai pensé, parce que j’ai croisé le regard d’un vieil homme qui sans doute avait oublié où il habitait (...)
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raison merveilleuse et imprévue (le geste de nos mains)
7 mars 2013, par arnaud maïsettiIl est l’amour, mesure parfaite et réinventée, raison merveilleuse et imprévue, et l’éternité : machine aimée des qualités fatales. Rimb.
Vu du ciel, tout est si profond et net à la fois ; et depuis nos rues, les paysages sur lesquels on se cogne, les façades levées simplement pour arrêter la vie qui court, peut-être, quelque part, une rivière où on laverait notre linge et auprès de laquelle dormir pour attendre qu’il sèche ; mais la ville enfoncée dans nos gorges partout, ce garçon magnifique qui (...)