le pire des gribouilles
Accueil > Mots-clés > _Écrire > _Poësies
_Poësies
Articles
-
Georges Bataille, entretien 1951 | L’intensité #4
27 avril 2015, par arnaud maïsetti -
William Blake | « Le Ramoneur »
18 juillet 2013, par arnaud maïsettiet nous nous sommes tous levés dans le noir
-
André Markowicz | traduire des voix
15 janvier 2009, par arnaud maïsetti« à chaque fois qu’il y a césure, il y a envol »
-
Allen Ginsberg | Howl
17 juin 2017, par arnaud maïsetticri de guerre
-
Kate Tempest | Europe is lost
16 février 2018, par arnaud maïsettiperdue
-
Germain Nouveau | Fin d’automne
16 novembre 2013, par arnaud maïsettiDéjà le cœur se serre, et, comme pour s’ouvrir,
-
William Blake | « Le Petit Garçon Noir »
6 juillet 2013, par arnaud maïsettiet alors il m’aimera
-
prélude
24 septembre 2004, par arnaud maïsettidu siècle passé
-
(au pied de la ville)
6 janvier 2012, par arnaud maïsettiAu pied de la ville, son ombre portée jusqu’à moi
-
enfer de la soif (partir)
16 avril 2011, par arnaud maïsettiPrends-y garde, ô ma vie absente !
Rimb.
« et le bruit neuf » : départ — rails, rides sur la main, toutes droites comme jamais le sont les départs ; et les affections : cette odeur de chaleur propre et ventilée des intérieurs (et pourquoi cette pensée sans douleur ni nostalgie, cette pensée toute là, immédiatement là quand j’entre dans le train, adressée à la brume de cendre qu’on traversait jadis dans les compartiments fumeurs du train vers Metz, l’odeur terrible du tabac sec jamais sorti d’ici, la (...) -
Nadia Tueni | « Crois-tu que la terre s’habitue à tourner ? »
3 décembre 2013, par arnaud maïsettic’est le bruit du jour sur le pavé
-
La Ville écrite | Au-delà des possibilités & des joies de mon esprit
30 avril 2015, par arnaud maïsettile temps du rêve
-
Hurlements en faveur de soi [# 1]
24 novembre 2011, par arnaud maïsettiVingt-huit variations : cris ; récits ; rêves
-
Jacques Dupin | « Comme si nous étions sur terre pour endurer la chaleur »
30 octobre 2012, par arnaud maïsettiJacques Dupin est mort
-
Aix | entre les toits, les draps défaits de la ville
24 août 2016, par arnaud maïsetti[/Ce toit tranquille, où marchent des colombes, entre les pins palpite, entre les tombes Paul Valéry, Le cimetière marin /]
D’où vient l’appel quand, de la fenêtre, on a vue sur les toits ? Cette chance qu’on éprouve quand on vit auprès de cette vue : d’où vient qu’on l’éprouve comme un privilège secret, un peu comme un sacrilège arraché aux foules ?
On surprend cette chance parfois chez d’autres : depuis Aix par exemple, cette chambre avec vue sur les collines, le ciel : et sur la ville. Ou depuis Paris, (...) -
Allen Ginsberg | Footnote to Howl
17 juin 2017, par arnaud maïsetticomme un cri de ralliement
-
XI.
24 septembre 2004, par arnaud maïsettiil s’agit maintenant
-
Aloysisus Bertrand | « Ainsi j’ai vu, ainsi je raconte »
2 juin 2010Il était nuit
-
« Des choses qui me rongent la nuit »
9 mars 2010, par arnaud maïsettiNotes sur les vies d’Aragon
-
Dimitri Vazemsky | Poésie/Poesia
31 décembre 2010, par arnaud maïsetti(et s’il n’y avait que ça…)