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_routes & chemins
Articles
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Peter Handke | « Accorde-toi le soleil »
31 janvier 2019, par arnaud maïsetti -
J.P Nataf | Les lacets
4 décembre 2013, par arnaud maïsettile jurer
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quelque lointain que puisse être ce qui l’a laissée
7 janvier 2020, par arnaud maïsetti7 janvier 2020
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sillons
27 septembre 2010, par arnaud maïsettiCreep (Scala — reprise de Radiohead, 2007)
Sous les seins de la terre hideuse Dieu-la chienne s’est retirée, des seins de terre et d’eau gelée qui pourrissent sa langue creuse
Antonin Artaud, L’Ombilic des Limbes (’Avec moi dieu-le-chien’)
Traces qui dessinent une route (c’est le mouvement qui a dessiné le chemin, et non l’inverse) : mais aux sillons superposés, dans la même direction pourtant évidente, mille chemins, mille petites routes à l’écart insensible, mille possibilités de prendre la route — (...) -
Vietnam #3 | dans les hauteurs des Hmongs
30 octobre 2015, par arnaud maïsettile 7 octobre
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Bertrand Cantat | Amor fati
29 décembre 2017, par arnaud maïsettija sagen
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La Bible | Les chiffres de la sagesse
24 juin 2012, par arnaud maïsettiIl y a trois choses qui sont au-dessus de ma portée
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Hurlements en faveur de soi [# 2]
4 décembre 2011, par arnaud maïsettiVingt-sept variations : violence ; corps ; désir
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« la lumière vient de ce qui se laisse détruire » (Supernova)
16 juin 2012, par arnaud maïsettiDu ciel ne nous parviennent que des nouvelles anciennes, déjà effacées, d’un monde éteint : et moi je marche à travers elles. Les lumières qui me permettent de voir et d’avancer dans la nuit noire d’un soir comme celui-là sont jetées par une étoile aujourd’hui morte, depuis des milliards d’années, morte et enterrée dans un noir plus grand encore que celui qui nous entoure. Appris il y a peu : en quoi une supernova nous est précieuse, parce que dans cette mort de l’étoile surgit une lumière telle qu’elle (...)
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le monde loin derrière nous | vers Lausanne
11 mai 2012, par arnaud maïsettichp. II — La Suisse
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Layla | reprise à la Loge, Paris
9 octobre 2017, par arnaud maïsettila route qui continue
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Passages à la ligne | questions (numériques) autour du paragraphe
24 juin 2012, par arnaud maïsettià l’occasion de la publication de « Où que je sois encore… en numérique
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Vietnam #2 | Vers Sa Pa
26 octobre 2015, par arnaud maïsettile 6 octobre
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[ phrases ] #3 — rêves de cendre
8 octobre 2011, par arnaud maïsettiÀ chaque carte retournée : toujours l’envers — le tarot ne ment pas, surtout quand il est divinatoire ; je suis seul dans ma chambre – je ne la connais pas, ne l’ai jamais vue, sûr cependant que c’est la mienne : il n’y a aucune photo, ni fenêtre, ni bureau, un seul lit minuscule, et une lumière qui vient du plafond haut : oui, c’est bien ma chambre –, et je tire les cartes, je sais la question que je leur pose (mais je l’ai oubliée au réveil), et les quatre cartes sont posées devant moi, face contre (...)
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Québec | Montréal, route
24 juillet 2012, par arnaud maïsetti61 images - entre Québec et Montréal
printemps 12 -
Que ma joie demeure | « la passion de l’inutile »
14 mars 2013, par arnaud maïsettitoujours au début, l’inutile (les oiseaux)
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Nuit et Jour, ZeigtGeist | L’île de la solitude (les étoiles) #5
21 mars 2016, par arnaud maïsettiC’est très au nord du monde
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Montréal | ville ouverte #1
13 mai 2012, par arnaud maïsettiMonde neuf
printemps 12 -
De Marseille à Marseille en passant par Cahors | la run de lait
23 mars 2017, par arnaud maïsettiDe Marseille à Marseille en passant par Cahors. Jeudi dernier, trajet vers l’Occitanie (j’apprends de nouveaux mots qui disent d’autres mondes) – je parlerai d’écritures et de théâtres, esquisserai un panorama, échangerai avec les énergies vives des dramaturgies d’aujourd’hui. Mais pour rejoindre Cahors, c’est la run de lait. Mot merveilleux du Québec pour dire ces trajets qui s’arrêtent dans le moindre village, dont on ne verra à travers la fenêtre du train que des gares semblables à toutes. Je déposerai (...)
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aller, retour
2 mai 2014, par arnaud maïsettice rêve — il y a cinq ans maintenant —, si présent encore et souvent, j’y pense : qu’à force de me réveiller, aller et retour dans le sommeil et la vie, j’ai pris peur de ne plus savoir si c’est dans le sommeil où le réel que j’étais, et j’ai dessiné un R sur mon poignet — puis je me levais, et j’avais ce R au poignet, mais soudain je ne me souvenais plus si le R voulait dire Réalité ou Rêve, et je me suis effondré sur le lit en espérant me lever le poignet nu, peut-être, et désirant l’inverse.
ces derniers (...)