tremblé
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_soif
Articles
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Autoportrait à la fragilité de la phrase
24 octobre 2012, par arnaud maïsetti -
[ phrases ] #2 — rêves de boue
4 octobre 2011, par arnaud maïsettiSeul, dans l’agitation historique
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[Tondi] | je meurs de soif
23 février 2014, par arnaud maïsettientre moi et la fontaine
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La Ville écrite | regarde le ciel
24 octobre 2011, par arnaud maïsettiJ’obéis aux ordres – sur le théâtre d’opérations,
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les lointains sont par trop loin
17 juin 2011, par arnaud maïsettiLe monde moderne La vitesse n’y peut mais Le monde moderne Les lointains sont par trop loin Et au bout du voyage c’est terrible d’être un homme avec une femme…
« Blaise, dis, sommes-nous bien loin de Montmartre ? »
Blaise Cendrars, Prose du Trassibérien
Dans Aix (il y a tant de fontaines que j’ai si soif tellement), marcher ne suffit pas pour éloigner la ville. Elle est si petite. Je la trouve à chaque pas devant moi. En rentrant si tard, si tard qu’il était déjà le lendemain, je n’ai trouvé que de (...) -
Naissances des fleuves
1er février 2013, par arnaud maïsettisept images où prennent racine les courants, les larmes
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Avignon | Mémoire d’anges
21 juillet 2013, par arnaud maïsettiété 13
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je marche (interminablement)
16 février 2012, par arnaud maïsettiLA SOIF
J’appelle l’éboulement (Dans sa clarté tu es nue) Et la dislocation du livre Parmi l’arrachement des pierres.
Je dors pour que le sang qui manque à ton supplice, Lutte avec les arômes, les genêts, le torrent De ma montagne ennemie.
Je marche interminablement.
Je marche pour altérer quelque chose de pur, Cet oiseau aveugle à mon poing Ou ce trop clair visage entrevu A distance d’un jet de pierres.
J’écris pour enfouir mon or, Pour fermer tes yeux.
L’épervier, (...) -
fonds obscurs des contes ancestraux
7 janvier 2012, par arnaud maïsetti« puis il retourna à son ouvrage comme si de rien n’était » : c’est là une phrase que nous citons souvent, venue, semble-t-il, d’un fonds obscur de contes ancestraux et qui peut-être ne se trouve dans aucun.
Kafka, aphorisme 108. Jamais plus que ces derniers jours je n’avais ressenti le besoin de la lumière – évidemment, c’est parce que j’en suis privé. Je compte sur les doigts d’aucune main les fois où j’ai vu le soleil, en deux semaines. Question de circonstances, de manque de chance ? Peut-être. On me (...)