Il n’est nulle place pour le clair-obscur, pour l’ouverture au monde.
Accueil > Mots-clés > _Écrire > _un bout de notre monde
_un bout de notre monde
Articles
-
Juan Branco | la parole présidentielle fragmentée
18 août 2013 -
Babel ville morte
21 mars 2020, par arnaud maïsetti21 mars 2020
-
La Ville écrite | peut-être fous
3 février 2017, par arnaud maïsetticela seul sauverait
-
Personnages #1 | Onze fois trente-trois
28 juin 2017, par arnaud maïsettidécrit non pas en général, mais dans un moment précis d’une histoire
-
cet Avant-Garde du Monde
23 décembre 2014, par arnaud maïsettiparce que je suis la force de l’innommé
-
Liverpool | un jour, une nuit
6 mai 2013, par arnaud maïsetti95 images de Liverpool
printemps 13 -
Harry Pollard, nos visages premiers
20 octobre 2017, par arnaud maïsetti30 portraits Tsuu T’ina
-
Najaf | ville mausolée
12 août 2014, par arnaud maïsettile cimetière de Najaf : vues aériennes
-
à travers les laideurs, belle la nuit qui demeure
8 décembre 2014, par arnaud maïsettiCe qu’il faut, […] c’est sentir comme on regarde, penser comme l’on marche, et, à l’article de la mort, se souvenir que le jour meurt, que le couchant est beau, et belle la nuit qui demeure... Pessoa, Le Gardeur de troupeaux et autres poèmes, trad. Armand Guibert, p.71, NRF — Poésie/Gallimard Descendre jusqu’au soir — la journée comme cette pente, en haut de Saint-Charles, qui laisse voir toute la ville coulée à nos pieds ; mais ce qu’on voit d’abord, c’est la colline où domine Notre-Dame, là-haut, et le (...)
-
La Ville écrite | perpétuellement ici
22 janvier 2017, par arnaud maïsettije voyage
-
auprès du soir et de l’aube (tout ça pour ça)
31 octobre 2013, par arnaud maïsettiC’est aussi simple qu’une phrase musicale.
Rimb.
Il y aurait tout ce qui empêche, et les efforts que fait le monde pour plier contre soi, jusqu’à nous faire rompre — on ne rompt jamais ; tout ce qui autour de soi forme ce complot de forces qui minent, pourrait faire qu’un soir, on s’arrête, on s’assoit sur le bord, on pose les mains dans la terre, on ramasse la poussière comme du sable en jouant avec elle et disant : oui, j’arrête, et on regarderait le ciel passer au-dessus de soi, sans un regard (...) -
Octave Noire | Un nouveau monde
8 mars 2017, par arnaud maïsettiune seconde
-
nous vivons dans une fausse croyance
31 mars 2020, par arnaud maïsetti31 mars 2020