« Rien qu’à ton visage, je pourrais dire ton âge… »
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_une vague après l’autre
Articles
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adresse #6 | au visage
20 juillet 2010, par arnaud maïsetti -
Le ciel a fait son temps
21 juillet 2011, par arnaud maïsettiStrange weather (Keren Ann, 2011)
Wake up slowly, there are blue skiesCutting white lines in black matter !
« Ô saison Le vide du cœur s’emplira-t-il Parce que la pluie tiède d’un visage Est apparue entre les feuilles ? Deux bouches en s’unissant pansèrent leur déchirure saison d’oragesaison d’ombre »
Michel Leiris (’Présages’, in Haut Mal, ’’Failles’’)
Temps indéterminé, qui passe – de deuil, celui des jours qui tombent dans le jour qui raccourcit de plus en plus, des jours qui ne (…) -
morsures à l’appel du temps
12 avril 2011, par arnaud maïsettiSuck Young Blood (Your time is up) (Radiohead, ’Hail To The Theif’, 2003)
Ai-je le pouvoir de mourir ? Un Coup de dés jamais n’abolira le hasard est comme la réponse où demeure cette question. Et la « réponse » nous laisse pressentir que le mouvement qui, dans l’œuvre, est expérience, approche et usage de la mort, n’est pas celui de la possibilité — fût-ce la possibilité du néant —, mais l’approche du point où l’œuvre est à l’épreuve de l’impossibilité.
Maurice Blanchot, L’espace (…) -
adresse #8 | à ta croyance
12 septembre 2010, par arnaud maïsetti« D’avoir cru en toi me laisse inconsolable »
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Koltès | Au nom de mama
14 juin 2014, par arnaud maïsettiArticle paru dans Bernard-Marie Koltès, les registres d’un style, paru aux Editions Universitaires de Dijon, sous la direction d’André Petitjean – juin 2014
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des rives
15 juin 2005, par arnaud maïsettiimmobile se laisser porter
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Paul Claudel | « Sur le chemin du difficile avenir »
9 juillet 2010Me voici, Imbécile, ignorant, / Et je tourne la face vers l’Année
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invention du jour
11 juin 2009, par arnaud maïsettiBasculer de l’autre côté, une étoile après l’autre (une vague après l’autre) ; les angles qu’on choisit, comme une bête mourir, ici aussi — mourir. Comme en décembre, la pluie ramassée dans la main : un jour après l’autre recommencé comme on l’écrit, on l’invente ; on le disperse.
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anticipations #51 | se venger
6 novembre 2012, par arnaud maïsettic’était se venger qu’il fallait
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VIDÉO | lignes d’erre
4 mai 2012, par arnaud maïsettiSaint-Lazare
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l’arbre
20 mars 2009, par arnaud maïsettiarbre mouvant sur ciel immobile
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Rimbaud | Une lecture de ponts
25 janvier 2009, par arnaud maïsettilecture texte/image d’une expérience inépuisable
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D’une écriture qui va
15 avril 2005, par arnaud maïsettiLecture de la nouvelle "La presqu’île" de Julien Gracq ; article publié dans la revue Ecuador n°2 (2005)
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« La courbe d’une phrase »
22 décembre 2009, par arnaud maïsettiÀ propos d’un commentaire de J. Gracq sur la phrase chez A. Breton
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Respiration #0 | à présent
7 mai 2017, par arnaud maïsettiMarseille, Bain des Dames
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La Ville écrite | skatebording is (not) a crime
27 octobre 2013, par arnaud maïsettielement of a
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Il n’y pas si longtemps que j’ai revu la mer et foulé le pont des vaisseaux
31 janvier 2011, par arnaud maïsettiI Swam out to Sea - Return (Max Richter, ’Waltz With Bashir (BO), 2008) Alors les mers soulèvent leurs eaux, engloutissent dans leurs abîmes les planches ; les ouragans, les tremblements de terre renversent les maisons, la perte, les maladies diverses déciment les familles priantes. Mais, les hommes ne s’en aperçoivent pas.
De ce qui vient et revient à même hauteur, du jour, cette lumière qui passe la fenêtre pour me montrer mes mains tapant à la surface des touches ce qui saurait dire la (…) -
La Ville écrite | personne — dommage
8 novembre 2012, par arnaud maïsetti16h45 à chaque instant
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À l’heure dite, soleils couchés
3 novembre 2011, par arnaud maïsettià la minute où le soleil se couche, image fixe
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une vague après l’autre
16 février 2010, par arnaud maïsettiElle m’avait expliqué une vague après l’autre, le surf est histoire de patience, elle avait ajouté d’oubli, de négligence soigneusement arbitrée, d’élection et de précision, elle avait réfléchi pour lâcher comme pour elle même : de savoir quelle vague et pour quoi, et comment laisser passer derrière soi celle-ci pour s’emparer de la suivante, au bout de combien de temps : et parfois la suivante, c’est des heures après, on ne sait pas.
Alors — j’ai demandé — dans l’eau, on passe plus de (…)
