violence et vie sont à peu près synonymes
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_Violence
Articles
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Jean Genet | « Violence et brutalité »
1er décembre 2018, par arnaud maïsetti -
La Ville écrite | Ridiculous
11 février 2016, par arnaud maïsettiThis is
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De Mai 68 à Mai 18 | la déprise de l’Odéon
9 mai 2018, par arnaud maïsettiOù est l’esprit de 68 ?
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Catherine Marnas | Entre les tombes
3 décembre 2012, par arnaud maïsettiSallinger de Bernard-Marie Koltès, mis en scène par Catherine Marnas [Strasbourg, TNS] - décembre 2012
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semaine des désirs furieux et du chaos fragile
22 novembre 2015, par arnaud maïsettiSemaine dans le décompte des morts, et comme arrêtée sur vendredi dernier des carnages. Semaine des bavardages ignobles, des avis, des appels. Que la vie continue. Mais laquelle ?
On entend prononcer le mot guerre. Pour s’autoriser le mot guerre, on demande à corriger les ordonnances de 1955, trop lointaines, trop guerrières aussi : une époque où ces ordonnances avaient été établies pour récuser le mot guerre, lui préférer celui d’événements. Cette histoire est la nôtre : elle renverse les mots pour en (...) -
La Ville écrite | il faut se plaindre
3 juin 2019, par arnaud maïsettiEst-ce contre un homme que se porte ma plainte ?
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Topor | la déchirure vive
19 janvier 2019, par arnaud maïsettientre terre et ciel
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Jrnl | D’accusation de violence
11 mai 2023, par arnaud maïsettiJeudi 11 mai 2023
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Antonin Artaud : « Et qui / aujourd’hui / dira / quoi ? »
1er avril 2018, par arnaud maïsettiArticle publié dans Incertains Regards, Hors-Série n°2 « Pratiques de la voix sur scène », paru aux Presses Universitaires de Provence – avril 2018
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au bord des quais
30 janvier 2015, par arnaud maïsettiOn rêve aux quais. On pourrait toucher ce qui de l’autre côté nous sépare de la mer. On se tient au bord, davantage encore. On tend alors la main, on ne touche que des murs. On se retourne, il y a seulement de la ville, qui s’étend plus loin. On rentre, on couche son corps contre son propre corps épuisé. On ferme les yeux sur un jour perdu dans la bataille qu’on n’a pas assez défendu.
Ces cris posés sur les murs sauvent, parfois ; ils disent tout n’est pas perdu, tant qu’il y aura ces cris, il y aura (...) -
Nuit et Jour, ZeigtGeist | Bruxelles (Marseille) #6
4 avril 2016, par arnaud maïsettiD’un bord du monde à l’autre
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Autoportrait aux yeux fermés
26 juin 2012, par arnaud maïsettidouleur
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Ladj Ly, Les Misérables
2 décembre 2019, par arnaud maïsettiDe Ladj Ly, Images brisées
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À la Place de la République
29 novembre 2015, par arnaud maïsettides fourgons et des matraques
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Jrnl | Égratignures du vent
2 mai, par arnaud maïsettiJeudi 2 mai 2024
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Janis Otsiémi | au nom d’une certaine absence
2 avril 2013, par arnaud maïsettiun auteur majeur gabonnais invité au Salon du Livre et interdit de visa, c’est nous-même qu’on humilie, aussi
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on sait le dehors hostile, et les foules déchaînées
12 juin 2016, par arnaud maïsettiOn a peu d’abri : on n’en cherche pas. On sait que le ciel est vide. On sait que la ville est inhabitable. On sait combien ne suffira jamais la nuit. On sait aussi qu’on ne lui appartient pas vraiment. Vraiment, on sait mille choses : la vitesse de la lumière au siècle près, et le bruit que font les balles, ou la date des morts. On sait aussi qu’on ne survivra pas à ce monde. Oui, on sait beaucoup de choses, comme par exemple : que le ciel est vide, et qu’on est sans abri.
On sait le dehors (...) -
Jean-Michel Rabeux | Mourir de son vivant
21 juin 2012, par arnaud maïsettiLes Quatre Jumelles, de Copi, par Jean-Michel Rameux [Paris, Théâtre de la Bastille] – juin 2012