à distance du temps
hiver 15
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_visages
Articles
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Angkor, Cambodia #1 | visages des vivants et des morts
16 janvier 2015, par arnaud maïsetti -
Lyon | presque une île
15 mai 2013, par arnaud maïsettiOu presque
printemps 13 -
Personnages #1 | Onze fois trente-trois
28 juin 2017, par arnaud maïsettidécrit non pas en général, mais dans un moment précis d’une histoire
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Obscénité des visages
19 février 2020, par arnaud maïsettiaffiches électorales, disent-ils
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Vincent Van Gogh | à visage découvert
20 juin 2015, par arnaud maïsettiseptembre 1887
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Rimbaud | naissance de la mort
11 novembre 2014, par arnaud maïsettiles derniers jours
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A. Kechiche | Vénus Noire
2 novembre 2010, par arnaud maïsettiUn film de Abdellatif Kechiche | autome 2010
Histoires du regard -
ce châle effiloché (sur des coffres remplis d’or)
5 avril 2012, par arnaud maïsettiJe suis couché dans un plaid Bariolé Comme ma vie
d’avoir pour seule pensée parfois celle de se placer au bon endroit de soi, et surtout à égale distance précise et violente de la vie et de la mort (je veux dire : de ma propre vie), du désir de m’y tenir pour planter les dix doigts dans l’instant et la morsure sur la chair du désir, n’en avoir pas d’autre, celle de continuer à persister dans le désir de persister, et m’enfoncer dans chaque lumière, oui, me console parfois de n’avoir pas d’autres vies, (...) -
Louis Imbert | Faces
2 septembre 2011, par arnaud maïsettisous la couverture presque blanche, une profonde réflexion sur les visages, par un correspondant de presse sur les champs de bataille du vieux monde
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généalogie des masques
12 octobre 2020, par arnaud maïsetti12 octobre 2020
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corps dévisagés
13 septembre 2010, par arnaud maïsetti14 photographies de statues (Collégiale Saint-Martin-de-Candes)
sept. 10 -
dehors est le monde
22 mars 2012, par arnaud maïsettiJuste le temps de battre les cils, Un souffle, un éclat bleu, Un instant, qui dit mieux ? L’équilibre est fragile
J’ai tout vu Je n’ai rien retenu
Rien à ne retenir, pas une caresse, pas un temps qui le mérite, juste partout la lumière neuve, cela suffit.
Plus loin, ce qui crie, les carnages.
Rien à retenir de plus que l’interruption de l’interruption.
Juste partout la lumière partout neuve et lente jusqu’à mes pieds tombée, cela suffira toujours, mais pourtant.
Rien à retenir d’autre que la (...) -
les cheveux flagellés par le vent des tempêtes (la rage, la noirceur, et les visions premières)
15 mars 2012, par arnaud maïsettiEt, quand je rôde autour des habitations des hommes, pendant les nuits orageuses, les yeux ardents, les cheveux flagellés par le vent des tempêtes, isolé comme une pierre au milieu du chemin, je
Les nuits sont comme des morceaux d’étoffe où je m’enveloppe lentement : mais ce soir, pour le premier soir de l’année, pas besoin de manteau en plus, la nuit suffit, on sort dans la douceur, je marche sans sentir le dehors sur ma peau et ma chemise flotte sur moi sans me toucher vraiment ; je regarde. Ce (...) -
éperdument
14 septembre 2011, par arnaud maïsettile rêve de demain est une joie, disais-tu dans ton souffle perdu, mais la joie de demain en est une autre, ajoutais-tu dans le souffle suivant, et au mouvement de tes cheveux, j’ai deviné la suite, qui disait avec toi : rien heureusement ne ressemble au rêve qu’on s’en était fait ; car c’est différemment que vaut chaque chose — oui, alors il n’y aurait qu’à oublier, chaque jour, le jour suivant, pour n’accepter que le présent simplement parce qu’on l’aurait attendu comme la fin du monde, puisque la fin (...)
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Léa Bismuth & Claire Tabouret | L’espoir des spectres
3 octobre 2013, par arnaud maïsettilettres pour conjurer l’oubli — et visages qui en traversent l’écho
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À l’heure dite, soleils couchés
3 novembre 2011, par arnaud maïsettià la minute où le soleil se couche, image fixe
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BNF | je passai
16 novembre 2011, par arnaud maïsettiChaque lundi, je fais donc un détour de 498 Km (environ) pour les voir : me rendre ici, à midi (un peu avant) – je passe, les tours sont là. En passant, c’est autant pour la beauté des lieux que pour l’immobilité du temps ; je m’arrête et prends ces images. Ce n’est jamais la même lumière, évidemment. Ni les reflets sur les vitres ; jamais le même ciel. Plus loin, c’est le pont (je le regarde), et Rue des Frigos, la faim. Puis, midi. Il pleut, ou la lumière est aveuglante sur les tours, il fait si froid, (...)
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le buste au livre
28 août 2013, par arnaud maïsettiPlace Saint-Georges, Paris – un buste, qui lit. Le même livre peut-être, la page est dense, elle est en pierre. L’homme qui lit lentement, lit. On ne sait pas qui c’est. Il lit toute la vie durant.
Tourner autour de l’homme qui lit ne le met guère en mouvement. On devine peu ce qu’il lit, aux fronts, aux yeux, aux plis du visage immuable. On sait qu’il lit à cause du livre, c’est tout. Le livre est tenu à pleine main, et lui, regarde-t-il ce qu’il lit (à force, il sait ce qu’il y a sur la page, le (...) -
autoportrait à la fragilité de la phrase
24 octobre 2012, par arnaud maïsettitremblé
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Aube mouvante
27 mai 2011, par arnaud maïsettiquelque part entre Bordeaux et Angoulême